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L'Étrange Vie de Nobody Owens (BD... tome 2 sur 2
EAN : 9782756069449
176 pages
Delcourt (06/01/2016)
3.93/5   51 notes
Résumé :
La vie de Nobody Owens est étrange. Élevé dans un cimetière par des fantômes, il a pour père de substitution un vampire. Mais Nobody a grandi tout comme la menace qui pèse sur lui depuis sa naissance. Le Terrible Jack aurait-il enfin retrouvé sa trace ? Est-ce que ses amis seront suffisamment puissants et malins pour le protéger ? Réponses et révélations sont au menu du second tome de ce diptyque.
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Dans le tome 1, Scarlett avait 5 ans environ, quand elle rencontra dans un cimetière, Nobody, un étrange petit garçon, dont toute la famille avait été assassinée par un "Jack".


Scarlett a 15 ans et elle retourne par hasard, au cimetière...
- Tu peux me voir?
- Au début, je n'ai aperçu qu'une ombre, tu es comme dans mon rêve.
Scarlett voit au delà des apparences. Nobody est bien réel, mais s'il peut s'effacer et devenir invisible, aux yeux des vivants, lui qui a grandi avec les morts.


- Je peux te serrer dans mes bras? Demande Scarlett.
- Eh bien...OUCH!
- Désolée!
Scarlett voulait vérifier que c'était bien Nobody, (Je ne t'ai pas imaginé !)


Ce simple geste de deux adolescents va déclencher une cascade d'événements...
Silas le vampire millénaire, le tuteur de Nobody et gardien de la nécropole va partir en chasse...
Les " Jacks", les tueurs ont retrouvé la trace de Nobody, à cause de Scarlett...
Des personnes vont mourir, dont Mlle Lepescu et La Vouivre va trouver son... Maître !


Tout dépend de la façon de voir les choses. Scarlett a peur de Nodoby:
- Tu n'es pas une personne. Tu es aussi horrible que lui ( le "Jack"). Tu es un monstre.
- Non, ce n'est pas ça du tout.
Nobody vient de sauver Scarlett, d'une mort horrible... Et Silas le vampire va devoir encore intervenir!


Plus rien ne sera comme avant!
" Laisser la vie aux vivants est un gâchis. Nodoby Owens. L'un de nous est trop bête pour vivre, et ce n'est pas moi. Dis moi que je te manquerai."
Soupire Liza, en embrassant Noboby ( avec des lèvres tellement froides) puis elle s'évanouit, avec l'aube...
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Ce tome a été initialement publié en 2014. Ces 2 tomes constituent l'adaptation en comics du roman du même nom de Neil Gaiman. La transposition en bande dessinée a été conçue et réalisée par Philip Craig Russell. Ce tome comporte 3 chapitres. La mise en couleurs a été réalisée par Lovern Kindzierski. Il faut avoir lu le premier tome avant.

Chapitre 6 (dessins et encrage de David Lafuente, 42 pages) – Nobody (Bod pour les intimes) Owens fait la connaissance d'un nouveau fantôme du cimetière : Thackerey Porringer (1720-1734) qui n'est pas très prêteur. Son comportement finit par faire prendre conscience à Bod de ce qu'il souhaite vraiment : aller à l'école pour apprendre. Silas lui arrange ça, mais Bod se heurte aux 2 terreurs de l'établissement Nick Farthing et Maureen Quilling.

Chapitre 7 (dessins et encrage de Scott Hampton, 100 pages) – C'est le retour de la seule humaine avec laquelle Bod avait fraternisé. Les retrouvailles sont émouvantes. Cette jeune demoiselle fait également connaissance de Jay Frost, un monsieur qui relève les inscriptions sur les pierres tombales, et qui fait forte impression à Noona, sa mère. Bod se tourne naturellement vers le fantôme de Nehemiah Trot, un poète décédé, enterré dans le cimetière, pour qu'il l'aide à gagner le coeur de cette jeune demoiselle.

Chapitre 8 (dessins de P. Craig Russel & Kevin Nowlan, 22 pages) – Toutes les bonnes choses ont une fin et cette histoire aussi, mais pas sans avoir rencontré le fantôme de Alonzo Tomás Garcia Jones.

Dans le premier tome, le lecteur s'était habitué à voir évoluer Nobody Owens de 2 ans entre chaque chapitre, à découvrir une nouvelle étape de sa vie généralement accompagnée par une nouvelle découverte ayant trait aux habitants du cimetière. P. Craig Russell poursuit son remarquable travail d'adaptation. Au début de ce deuxième tome, le lecteur se demande un instant s'il n'a pas perdu la main : les textes sont plus volumineux. Très vite la fluidité de la narration est de retour, avec une forme vraiment BD, la sensation de recopiage d'un ou deux paragraphes ayant disparu. En fait l'adaptateur recourt à un texte plus écrit de manière chronique et espacée quand l'image ne permet pas de transcrire ce qui est exprimé par les mots. La preuve de la qualité de son adaptation réside dans la rareté de ces moments.

Après Kevin Nowlan, P Craig Russell, Tony Harris, Scott Hampton, Jill Thompson et Galen Showman, c'est au tour de David Lafuente de participer à la mise en images de ce roman. À nouveau, le passage de 2 ans entre 2 chapitres permet au lecteur d'accepter la différence de représentation qui suit l'évolution de l'enfant. Cet artiste est plus porté sur les détails que ses prédécesseurs, qu'il s'agisse du nombre de pierres tombales et des fleurs sauvages, de l'aménagement intérieur de l'établissement scolaire, ou encore des façades des immeubles. S'il n'est pas sûr qu'il ait été choisi pour ces qualités, elles donnent plus de consistance au monde réel (en dehors du cimetière), ce qui tombe à pic puisque ce chapitre correspond à un essai d'intégration dans le monde normal des vivants.

David Lafuente intègre une légère exagération sous la forme d'une petite déformation dans les proportions, en particulier dans les visages qui présentent une légère touche manga (discrète et digérée). Cela donne plus de vie aux personnages (Bod, Maureen, Nick), sans que le récit ne verse dans la farce. Cette forme d'amusement est moins sophistiquée que celle de Russell, Nowlan ou Hampton, mais elle fonctionne quand même dans le cadre de ce chapitre.

Pour le chapitre suivant, c'est donc le retour de Scott Hampton qui dessine plus de la moitié de ce tome. le lecteur retrouve sa manière étrangement éthérée de représenter formes et visages. Dans un premier temps, le lecteur peut éprouver l'impression que les dessins manquent un peu de consistance, comme s'il s'agissait plus d'une délicate esquisse au crayon que d'une image peaufinée. D'un côté, cette sensation se marie bien avec la nature du récit qui parle de fantômes et de l'au-delà. La consistance des revenants apparaît un peu moindre que celle des vivants, ce qui correspond bien à leur nature.

Un regard un peu plus attentif permet d'observer qu'Hampton délimite les formes avec un trait fin sans variation d'épaisseur, leur conférant cette apparence un peu fragile. D'un autre coté quand le regard s'attarde sur un élément concret, comme la voiture de Jay Frost, il constate que le contour reprend celui d'un véritable modèle de voiture, et que seul le minimalisme des éléments dans le contour lui donne cette apparence un peu fragile. Toutefois cette sensation n'est pas présente à chaque page. En particulier dans la maison de Jay Frost, ou dans le cimetière le lecteur retrouve des décors consistants. Cet état de fait est attribuable à la mise en couleurs de Lovern Kindzierski qui a choisi des teintes un peu plus délavée pour ne pas masquer les quelques ombrages au crayon d'Hampton, et pour compléter ses dessins. le résultat est remarquable : il transporte le lecteur dans ce monde aux frontières de la réalité et de l'onirisme.

Cela n'empêche pas que ce soit un grand plaisir de retrouver P. Craig Russell et Kevin Nowlan pour le dernier chapitre, avec leur capacité bien à eux de transcrire le ton fantasque et amusé de la narration.

Le lecteur s'en doutait : Nobody Owens devait fatalement finir par retourner dans le monde des vivants. de manière fort inattendue (et assez second degré), voilà que dans ce conte pour enfants, c'est Nobody Owens qui réclame de pouvoir aller à l'école, et pour apprendre, en plus (en total opposition avec le stéréotype de l'école comme corvée). le ton reste enjoué, les tactiques employées contre les 2 petits tyrans de l'école font sourire de par leur inventivité et leur efficacité. le lecteur sourit franchement devant la tactique employée par Silas pour arrêter un véhicule de police. le lecteur lit avec plaisir un chapitre de plus dans la vie de jeune garçon élevé au cimetière.

Toutes les bonnes choses ont une fin, et Nobody Owens doit se confronter au mystère du meurtre de ses parents et de sa véritable identité. le lecteur sent bien que P. Craifg Russell a dû souffrir pour trouver comment transcrire le texte de l'intrigue, sans que les dessins n'éventent tout suspense. La narration proposée s'en sort bien et le suspense monte petit à petit, alors que le danger va grandissant. Craig Russell ne perd pas le ton fragile de la narration mêlant le fantastique du cimetière et la nature posée de Nobody Owens.

Le lecteur a le plaisir de retrouver de nombreux éléments des chapitres précédents qui trouvent naturellement leur place dans la mécanique de l'intrigue, peut-être de manière un peu trop propre. le pot-aux-roses relatif au meurtre reste dans le ton et l'esprit du récit. le lecteur pourra éprouver un petit regret quant au fait que l'intrigue reste centrée sur Bod, alors que les agissements de Silas et ses compagnons semblaient tout aussi intéressants et mystérieux. le dernier chapitre conclut de manière logique et satisfaisante cette éducation d'un garçon par tout un cimetière.

Cette deuxième partie vient achever la transposition du roman de Neil Gaiman en bandes dessinés. P Craig Russell a su conserver le ton de l'auteur tout du long de son adaptation, sans le trahir. À quelques rares reprises, le lecteur voit affleurer les difficultés auxquelles il a dû être confronté, comme dans le chapitre sept pour maintenir le suspense quant à la véritable identité de l'un des personnages, ou encore quant à la quête de Silas et de ses compagnons. Malgré ces difficultés, le résultat relève bien de la bande dessinée, et pas d'une mise en images servile, avec de gros pavés de texte extrait de l'oeuvre originale.

Cette deuxième partie est l'occasion d'apprécier le travail d'un artiste supplémentaire (David Lafuente), plus concret que les autres, mais sans que cela ne mette en péril la dimension onirique du surnaturel. Scott Hampton reste au diapason de cette adaptation, avec une mise en couleur en phase avec son approche graphique. le lecteur se laisse gentiment transporter dans ce conte sympathique et bien troussé, finalement peut-être un peu trop inoffensif.
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J'ai continué ma lecture du tome 1 avec grand plaisir à suivre Nobody Owens devenu désormais adolescent, il va être scolarisé, devenir presque transparent aux yeux de ces professeurs mais il va aider beaucoup d'adolescents de son âge notamment à faire face au racket qu'ils subissent.

Les dessins sont toujours autant plaisants et l'univers de ce tome est toujours aussi gothique à mon plus grand plaisir, il y a un côté aussi ici mystérieux avec tous ces Jack qui sont à la poursuite de Nobody et puis il y a des personnages côtoyés dans l'opus précédent qui font leur retour ici.

Une bonne approche pour moi de l'auteur Neil Gaiman que je n' ai toujours pas lu pour le moment. Un roman graphique qui se lit avec plaisir et d'une traite tout comme le premier.

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Suite et fin des aventures de Nobody Owens en version bande dessinée, j'ai préféré ce tome qui offre plus d'action quand dans le premier on avait surtout la présentation des personnages et la mise en place de la quête du jeune orphelin. On part totalement dans le fantastique dans ce volume et ça me plaît beaucoup, Neil Gaiman sait construire une histoire et l'adaptation du roman est très bien réalisée. Les illustrations et couleurs sont toujours aussi bien faite, les dessins sont simples mais compréhensibles, il faut absolument avoir lu le premier tome pour comprendre l'intrigue.
Pour résumer, le jeune Nobody Owens a grandi dans un cimetière après le meurtre de ses parents par le terrible Jack, dans ce lieu lugubre il grandi au milieu de fantômes, vampires et autres créatures de la nuit, l'enfant a bien grandi et il est devenu adolescent, sa dernière aventure lui a permis de devenir plus adulte. Les adieux sont déchirants mais la fin répond à toutes les questions qu'on se pose dans le tome 1, belle conclusion tout comme dans le roman, l'adaptation est réussite.
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Tandis qu'une famille entière est assassinée par un tueur implacable, surnommé le « Jack », le plus jeune des deux enfants parvient à sortir de son lit à barreau et à trouver refuge dans un cimetière avoisinant. Même s'il fait encore partie du monde des vivants, les fantômes qui hantent le lieu acceptent finalement de le recueillir. Dame Owens et son mari seront dorénavant ses nouveaux parents et Silas, le charismatique vampire, son tuteur. Ayant pour unique consigne de ne jamais quitter l'enceinte, le jeune Nobody Owens grandit d'abord au milieu des morts, multipliant les aventures. Désormais adolescent, il souhaite néanmoins partir à la découverte du monde extérieur et cela, malgré la menace du Jack, qui n'a pas l'intention de lâcher sa mission…

Cet album des éditions Delcourt est la suite et fin de l'adaptation en deux tomes du roman éponyme (The Graveyard) écrit par Neil Gaiman en 2008. Dès les premières pages, le lecteur y retrouve immédiatement l'atmosphère particulière qui caractérise les récits de l'auteur britannique. Baignant dans le fantastique, ce conte gothique à l'ambiance onirique et poétique invite à suivre les pas d'un jeune orphelin contraint de grandir au milieu d'étranges personnages. En situant l'éducation du jeune garçon dans un lieu particulièrement saugrenu, l'auteur livre sa propre version du Livre de la Jungle de Rudyard Kipling, offrant au passage un décalage intéressant entre l'innocence du héros et la morbidité de son environnement. Chacun des cinq chapitres du tome précédent narrait un passage marquant de la vie de ce personnage qui grandissait au fil des épisodes. Si la vie de Nobody Owens, alias Bod, n'était pas de tout repos dans ce lieu où il est pourtant censé être éternel, il n'est dorénavant plus un petit garçon et sa soif de partir à la rencontre des vivants devient finalement plus forte que tout. D'une première tentative d'intégration en se faisant scolariser dans une école de la ville jusqu'à son départ définitif, en passant par la vérité sur son passé et sur les motivations du Jack, ce deuxième volet conclut avec brio l'étrange vie de Nobody parmi les morts… reste maintenant à affronter tous les dangers de notre réalité…

Si le jeune Nobody Owens est immédiatement attachant, les personnages secondaires ne sont pas en reste. de l'énigmatique Silas à l'ensorcelante Liza Hempstock, le jeune héros multiplie les rencontres insolites et fait plus ample connaissance avec les nombreux habitants du cimetière, alimentant ainsi constamment l'atmosphère fantastique absolument fascinante imaginée par Neil Gaiman. Malgré le retour inévitable du Jack, ce sont surtout les retrouvailles émouvantes avec la jeune demoiselle Scarlett qui marqueront les esprits lors de cette conclusion.

Visuellement, plusieurs illustrateurs (Jill Thompson, Kevin Nowlan, Scott Hampton, Tony Harris et David Lafuente) se succèdent au fil des chapitres de ce diptyque sans que cela nuise trop à l'unité de l'ensemble, le tout sous la houlette de Philip Craig Russell. Ce dernier, qui a déjà travaillé avec Neil Gaiman sur le cultissime « Sandman », assure lui-même le dessin de deux épisodes (le deuxième du tome 1 et le dernier de celui-ci) et se charge de la transposition de cette oeuvre de Gaiman en bande dessinée, le tout rehaussé par la colorisation experte de Lovern Kindzierski.

Un diptyque qui ravira les fans de Neil Gaiman et les amateurs de récits oniriques à la frontière du réel.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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critiques presse (3)
Bedeo
12 mai 2016
Bien écrit, bien transmis, l’étrange vie de Nobody Owens laisse donc une impression étrange. Un envoûtement s’est petit à petit fait, puisque l’on est rapidement happé par cette ambiance gothique.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDZoom
18 janvier 2016
Intelligent, sensible et beau !
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
18 janvier 2016
Un second volume qui clôt en beauté l'Etrange vie de Nobody Owens. Un récit à ne rater sous aucun prétexte !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Tu es vivant, bod. Cela signifie que tu as un potentiel infini , que tu peux tout faire, tout créer, tout imaginer, que si tu affectes le monde, le monde changera . Un potentiel . Quand on meurt, cela s'arrête .
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p.17.
- Dis-leur que la police sera plus intéressée par deux gosses qui forcent les plus jeunes à voler pour eux et à leur donner leur argent que par un gamin qui a dû voler un CD contre sa volonté. Que s'ils te touchent encore une fois, tu appelles la police, que tu as tout écrit, et que s'il t'arrive quelque chose, tes amis enverront immédiatement la lettre à la direction de l'école et à la police.
- Je ne peux pas.
- Alors tu leur donneras ton argent de poche tout le reste de ta scolarité, et tu auras toujours peur d'eux.
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p.11.
- J'ai beaucoup appris, dans le cimetière. Je sais m'effacer, ouvrir une poterne des goules, et je connais les constellations. Mais il y a un monde, là, dehors, que je ne connais pas, et j'aurai besoin d'en savoir plus si je dois y survivre un jour.
Hors de question ! On peut te protéger, ici. Comment te protéger, là-bas ? Tout pourrait arriver.
- Oui, c'est ce truc potentiel dont tu parlais.
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p.140.
Les gens préfèrent oublier l'impossible. Cela rend leur monde plus sûr.
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