Mamada, l'étonnante migrante, est coincée à Paris mais compte bien arriver à maîtriser son grigri pour revenir au pays et ne pas rester cette tonitruante résidente.
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Alors que le premier tome était vraiment excellent et l'histoire tordante, j'ai trouvé cette suite un poil en dessous.
Bien sûr Mamada n'a pas changé, toujours aussi effarée par le mode de vie qu'elle découvre (ah, les chiens inutiles ! ) si peu compréhensive et aux répliques cinglantes.
Son duo avec sidonie marche bien et même si leur objectif n'est pas assez clairement exprimé au départ, l'idée de "rendre le monde meilleur" à coup de claques est appréciable ;)
L'oiseau super seyen est toujours aussi génial et obtient une place de choix dans l'histoire.
J'ai regretté la place des "jaunes" et de leur employeur : assez mal amenée, ça n'est ni fun, ni intelligent, ni utile. Mais ça doit servir la suite...
De même, la fin est un peu décevante car trop abrupte.
Avec de nombreux jeux de mots, traits d'humour, références détournées dans le dessin (vincent gazoil dans rapide et furieux^^) ça peut parfois être un peu gros.
Le ton général de ce tome est très bon, avec ce côté critique de notre société de consommation, du paraître et de l'égoïsme qui émerge (ah, les Unes du kiosque...).
Une suite agréable.
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(AP976) Grand coup de coeur pour le premier tome, la suite est délectable : loin du politiquement correct, un regard sur l'Afrique et les relations nord-sud qui dérange les clichés habituels. Le personnage de Mamada est à la fois insupportable, drôle, attachant et émouvant. Oui, oui et oui !
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Tout simplement hilarant! le scénario est pour le moins inattendu. Une excellente découverte. Mamada a un caractère terrible et pourtant, on ne peut s'empêcher de la trouver attachante tellement elle est "à côté de la plaque" dans cet univers qui n'est pas le sien.
Ce tome 2 est dans la continuité du premier: désopilant !
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L’auteur du Voyage des Pères réussit, une fois de plus, une subtile synthèse entre l’esprit décalé de sa célèbre saga et les ressorts comiques de Toxic Planet.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Une intrigante et bidonnante aventure à suivre. Une lecture plaisir !
Lire la critique sur le site : Sceneario
On rit beaucoup en emboîtant le pas (pas toujours léger) de Mamada, mais on s'interroge aussi - avec le sourire - sur les notions d'essentiel et de superflu, et sur de fausses "valeurs" érigées en références dans notre société consumériste. Et puis, elle a quand même un côté un peu paumé, touchant et attachant, Mamada, et il y a aussi une certaine tendresse dans sa relation avec Sidonie, qu'elle décide d'adopter... à sa manière ! Difficile d'y être insensible, et de ne pas s'y attacher.
Lire la critique sur le site : Auracan
Ratte a un style graphique semi-caricatural où l’effet comique est engendré par le contraste entre le réalisme des décors et l’aspect cartoonesque des visages des protagonistes. Les planches les plus drôles de l’album sont celles mettant en scène l’irascible volatile. La bande dessinée tombe alors dans le portnawak assumé, usant d’un humour visuel sans dialogue hyper efficace. Vous ne regardez plus les hippopotames de la même façon !
Lire la critique sur le site : BDGest
-Hiiiiii!! Hiiiiiii!!
-Sérieux Mamada, arrête un peu de t'afficher!
-Voyager sous terre telle la taupe... Vous les blancs, vous n'avez aucune dignité!
Le Parigo :
Attentat en Somalie.
250 morts, 600 blessés,
2 FRANÇAIS CHOQUÉS.
[sur un kiosque]
Le Moule :
Crash aérien en Inde : 300 morts DONT UN FRANÇAIS !!!
La petite voleuse de la Tour Eiffel