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Christophe Claro (Traducteur)
EAN : 9782264047335
432 pages
10-18 (19/06/2008)
3.78/5   56 notes
Résumé :
Porter Wren, trente-huit ans, est journaliste. Il s'imprègne des histoires sanglantes, sordides ou tragiques des bas-fonds new-yorkais, pour alimenter la chronique de faits divers qu'il signe dans un grand journal. Sa vie bascule le jour où il rencontre Caroline Crowley, veuve d'un cinéaste surdoué retrouvé mort dans des circonstances mystérieuses. Quand elle lui propose de visionner des cassettes vidéo pouvant élucider la mort de son mari, Porter se retrouve entraî... >Voir plus
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traduit de l'américain par Christophe Claro (il est partout!)

Porter Wren , chroniqueur de l'horreur quotidienne dans un tabloïd new yorkais, avait jusque là réussi à se tenir à l'écart de ces histoires de cinglés qu'il racontait après témoignages bien croustillants.Il faisait avec l'époque et y gagnait sa vie ."Nous vivons une époque où tout ce qui est horrible a été recyclé en divertissement. Nous avons appris à dîner en regardant tomber les bombes."
Et puis sa rencontre avec Caroline Crowley ( la classique magnifique américaine, sortie de son trou et qui fait tout pour grimper l'échelle sociale) va changer la donne. Elle lui montre les photos du cadavre de son mari, cinéaste branché , dont la mort n'a jamais été élucidée. Et lui demande de regarder de nombreuses cassettes vidéos qu'il a tournées . Il voulait capturer la vérité de ce qui l'entourait...Sombre vérité.
Roman noir bien ficelé, mais aussi et essentiellement roman sur le voyeurisme et le triomphe du "poids des mots et du choc des photos", slogan bien connu d'un hebdomadaire français.
Difficile à lâcher avant la fin..

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Encore un auteur dont j'avais lu et adoré un de ses précédents romans. Il s'agit de Colin Harisson, dont le Havana Room, plongée crépusculaire et haletante dans le New York nocturne résonne encore en moi, plus de 10 ans après sa lecture.

Dans ce Manhattan Nocturne, sorti en France en 2008, mais dont je n'ai lu le poche que cette année, on retrouve la même ambiance typique des romans noirs où un type en perdition va toucher le fond dans une histoire sordide et flamboyante à la fois.

Le livre nous amène sur les traces du narrateur Porter Wren, un journaliste reporter spécialisé dans les « Faits divers » d'un grand quotidien new-yorkais qui va se retrouver plongé dans une histoire de manipulation mettant aux prises une veuve d'un cinéaste underground, dont Wren va tenter de découvrir les raisons de sa disparition.

Une écriture magnifique, qui nous restitue parfaitement l'ambiance poisseuse de ce New York de tous les possibles, ou les histoires les plus sordides, et en même temps les plus flamboyantes peuvent survenir.

Un engrenage parfaitement tenu, de la première à la dernière page de ce récit où les personnages, pleins de failles et d'humanité , existent pleinement sous la plume de cet auteur majeur de la littérature noire américaine.

Voilà donc si vous passez devant les rayons poches de votre librairie habituelle, ce qu'il vous reste à faire si vous souhaitez bronzer sous votre parasol tout en ne voyant pas le temps passer...
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Porter Wren est journaliste à New York spécialisé dans les faits divers. Ses chroniques décrivent les vies des victimes tuées dans les rues de la Grosse Pomme. Porter est confronté à la noirceur de l'homme, mais en dehors des scènes de crime, sa vie est plutôt paisible. Il vit dans une maison ancienne avec sa femme Lisa, chirurgienne de la main, et leurs deux enfants. Malheureusement, Porter fait la connaissance, lors d'une réception, de Caroline Crowley. Celle-ci se dirige vers lui pour lui parler de la mort de son mari Simon. Ce dernier était un jeune cinéaste et il fut retrouvé dans un immeuble quelques mois plus tôt. Porter se laisse totalement séduire par l'envoûtante Caroline. “J'étudiais attentivement son visage, le front lisse - plus jeune que celui de ma femme - les sourcils, les grands yeux bleus - pétillants, amusés -, les pommettes hautes, le nez légèrement accusé, la bouche à la moue suggestive, puis de nouveau les yeux. Si bleus qu'on pouvait s'y perdre. (…) Elle inspira légèrement, se figea, me regarda. Elle venait de ce lieu où je désirais aller ; elle savait pourquoi les gens s'y rendaient, elle était en mesure de me révéler mon moi véritable, mon trouble l'amusait, elle s'attendait à ce que je succombe à ses charmes, et cependant elle ne voulait pas me jauger à cette aune, car c'était dans l'ordre naturel des choses.“ Porter se trouve alors mêlé à une histoire complexe dont les différentes strates se révèlent au fur et à mesure de ses découvertes.

Manhattan nocturne” est un roman noir, très noir, à l'instar des nuits new-yorkaises. Colin Harrison réussit à créer une atmosphère pesante, sans espoir. Porter Wren connaît la misère, la violence des nuits ; il côtoie pour ses chroniques le meurtre, la trahison, les accidents, les vies qui se terminent douloureusement. L'ambiance est d'autant plus sombre que Porter nous raconte son histoire a posteriori. Plane sur son récit l'annonce de ses futures péripéties, des futures catastrophes qui vont lui tomber dessus. “Comment débutent tous les récits malheureux ? Quand on ne s'y attend pas, qu'on regarde ailleurs, qu'on pense à d'autres problèmes, aux problèmes ordinaires. A l'époque - cela remonte à janvier dernier - la ville reposait sous des amoncellements de neige sale, les camions-poubelles passaient en gémissant dans les rues boueuses, des gens achetaient des billets d'avion pour Porto-Rico, les Bermudes, n'importe où loin de ce froid qui les gelait jusqu'aux os, loin de la vie trépidante de Manhattan.“

La construction du roman est extrêmement travaillée. Au fur et à mesure de son enquête sur la mort de Simon Crowley, Porter Wren rencontre d'autres problèmes notamment liés aux cassettes vidéos réalisées par la victime. Simon filmait les gens à leur insu, prenait sur le vif la vie des personnes qui croisaient sa route. Porter regarde ces cassettes et en trouve une sur le meurtre non élucidé d'un policier ; une autre concerne un magnat de la presse, M. Hobbs. Ces différentes affaires s'emboîtent comme des poupées gigognes sans que les lecteurs ne soient perdus. Colin Harrison prend son temps pour construire ses intrigues, pour décrire minutieusement tous les personnages.

New York a une place prédominante dans ce polar, il ne s'agit pas seulement d'un décor de fond. La ville est un personnage à part entière dans l'intrigue. Colin Harrison rend parfaitement l'atmosphère de cette ville en plein hiver : “Le taxi descendit l'avenue sous les lumières mouchetées de neige ; de rares silhouettes avançaient courbées sur les trottoirs entièrement blancs ; la ville avait quelque chose d'onirique, comme si l'aube n'allait jamais venir.” L'écriture de Colin Harrison est belle, très précise dans ses descriptions et d'une grande fluidité.

Je ne connaissais pas cet auteur avant ma lecture de “Manhattan nocturne” et je remercie Amanda pour cette découverte. Je reste imprégnée de l'atmosphère sombre de New York et de la force d'évocation de l'écriture de Colin Harrison. Un auteur que j'aimerais lire de nouveau.
Lien : http://plaisirsacultiver.unb..
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Meurtres, accidents, drames en tous genres... Porter Wren, chroniqueur de faits divers dans un tabloïd new-yorkais, est un habitué des turpitudes quotidiennes de l'humanité. Mais en observateur prudent, il s'est toujours gardé de s'embarquer dans le type d'histoire qu'il raconte. Jusqu'au jour ou il est abordé par une séduisante jeune femme, la veuve d'un cinéaste en vogue dont le meurtre n'a jamais été élucidé. Elle détient des secrets. Il n'aurait jamais dû accepter de les partager... À mesure que se noue ce drame étouffant, Colin Harrison révèle un à un les fils mystérieux qui, nulle part comme à New York, relient les bas-fonds les plus sordides aux sphères les plus élevées de la réussite.



Je vends le meurtre, la mutilation, le désastre... C'est par ces mots que Porter Wren commence le récit de cette affaire dans laquelle il sera aspiré.. Un récit sous forme d'analyse non dénuée de cynisme et de lucidité, d'introspection.. Au fil des pages, qui peuvent paraitre longues, nous découvrons 2 univers opposés, celui de la pauvreté et celui de la richesse, 2 mondes opposés par l'argent mais avec un dénominateur commun "l'immoralité".

Et par ces mots que Porter Wren termine "Peut-être ne sommes-nous plus désormais qu'une société d'assassins - d'assassins et de leurs complices" .

Happée je fus par ce livre, par cette noire histoire à la lenteur hypnotisante, un vrai coup de foudre...

Amateurs d'histoires sanguinolentes, aux rythmes endiablés, aux tueurs fous et vicieux passez votre chemin..
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Bien construite, cette enquête pourrait être assez classique, si le narrateur n'était pas un journaliste, complètement impliqué dans cette histoire, ce qui rend sa recherche de la vérité tout à fait plausible, car il se trouve emberlificoté à un point tel qu'il est obligé d'enquêter pour s'en sortir. Porter Wren rédige habituellement des chroniques de faits divers, en y cherchant le petit détail qui va toucher le lecteur : une femme meurt dans un Lavomatic, c'est déjà suffisamment original, oui, mais elle tenait sa robe de mariée à la main, l'image en est bien plus forte ! Porter Wren n'est pas un héros récurrent, son aventure est de celles qui ne peuvent arriver qu'une fois dans une vie. Une femme l'aborde lors d'une réception pour lui demander de continuer une enquête sur la mort de son mari, cinéaste indépendant dont les oeuvres originales commençaient à être reconnues. Il s'avère assez rapidement que l'affaire est plus compliquée qu'il n'y paraît et que Porter dérange certaines personnes.
Voilà pour l'intrigue. Quant au style, j'ai beaucoup aimé le recours, dans les scènes d'exposition, à l'énumération, qui ne peut que convenir au foisonnement d'une ville comme New York. J'ai éprouvé de l'empathie pour le personnage principal, même si parfois, on ne réagirait pas forcément comme lui ! Un très bon polar, ou roman noir, donc, que je verrais bien adapté au cinéma par James Gray, un réalisateur dont j'adore tous les films (Little Odessa, The Yards, La nuit nous appartient, Two lovers...)
Lien : http://lettres-expres.over-b..
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
Je vends le meurtre, la mutilation, le désastre. Et ce n'est pas tout : je vends la tragédie, la vengeance, le chaos, le destin. Je vends les souffrances des pauvres et les vanités des riches. Les enfants qui tombent des fenêtres, les rames de métro qui flambent, les violeurs qui s'éclipsent dans la nuit. Je vends la colère et la rédemption. Je vends l'héroïsme musclé des pompiers et la poussive cupidité des chefs de la mafia. La puanteur des ordures, les espèces sonnantes et trébuchantes. Je vends le Noir au Blanc et le Blanc au Noir. Aux démocrates, aux républicains, aux anarchistes, aux musulmans, aux travestis, aux squatters du Lower East Side. J'ai vendu John Gotti et O. J. Simpson et les poseurs de bombes du World Trade Center, et je vendrai tous ceux qui suivront. Je vends le mensonge et ce qui passe pour la vérité, et tout le spectre des nuances qui les séparent. Je vends le nouveau-né et le mort. Je revends la misérable et splendide ville de New York à ses habitants. Je vends des journaux.
Le maire me lit au petit déjeuner, les vendeurs d'obligations qui prennent le train dans le New Jersey me feuillettent, idem pour les dockers italiens à la retraite qui mâchent leurs cigares éteints sur leurs porches à Brooklyn, les infirmières qui vont en bus de Harlem au Lenox Hill Hospital. Les types de la télé me lisent, et parfois me volent mes histoires. Les Pakistanais qui attendent dans leur taxi devant Madison Square Garden, et qui, bien décidés à déchiffrer l'Amérique, lisent tout. Les jeunes avocats, le midi, pendant leur pause du déjeuner, après avoir parcouru les publicités vantant les boîtes de strip-tease. Les portiers des immeubles de l'East Side, qui lèvent les yeux chaque matin quand passent en coup de vent les femmes d'affaires, brillamment happées par leur avenir. Et les flics - tous les flics me lisent pour savoir si j'ai bien écouté ce qu'ils m'ont dit.
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Chaque semaine, ou presque, je parle à des gens qui viennent de perdre quelqu’un qu’ils aimaient, et cela m’attriste toujours, Caroline, cela me… cela me rappelle que nous, nous tous, sommes… que tout cela… peut nous être ôté. Vous êtes belle, vous avez vingt-huit ans environ et vous devriez ne connaître que des moments heureux. Si je n’étais pas marié, je devrais, non j’éviterais, il serait peut-être mieux que… disons que peut-être vous m’avez choisi, moi, ce soir, parce que vous vous êtes dit que, en bon plumitif d’un journal à scandales, j’avais dû voir une quantité peu ordinaire de catastrophes humaines et que je pourrais par conséquent vous offrir quelques paroles utiles de réconfort ou d’espoir. Mais je vous assure (et là je désirai toucher sa joue avec mes doigts, juste un instant, en manière de réconfort, comme je l’aurais fait avec ma fille) que je ne suis pas à la hauteur de la tâche. Je suis aussi perplexe devant la mort, aussi effrayé par elle que n’importe qui, Caroline. Je ne peux vraiment rien vous dire d’utile… surtout dans un état aussi, aussi amoindri… si ce n’est que je vous invite à embrasser la vie, à aller de l’avant et épouser votre fiancé, si c’est un type bien, et à penser que certaines pertes sont compensantes, que la vie a en fin de compte… pardonnez-moi, vraiment, je suis complètement saoul, que la vie a réellement… un sens, quel qu’il soit.
Elle ne répondit rien, se contentant de me fixer, ses lèvres pincées en une moue amusée, et je regrette aujourd’hui de n’avoir point vu que cette moue amusée n’était aucunement l’expression d’un quelconque amusement. Elle me vit me débattre avec moi-même. Je me levai et me dirigeai vers la porte, surveillant mes pieds pour être certain qu’ils me conduisaient là où je voulais qu’ils aillent. Elle me suivit et m’aida en silence à mettre mon manteau, puis passa mon écharpe autour de mon cou. Elle était d’une beauté stupéfiante.
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J’étais las de sa bonté, de ses souffrances muettes.
J’étais las de sa pauvreté. Je me détestais et me sentais coupable, je dissimulais nos souches de chéquier, nos relevés bancaires et nos versements retraite et tout ce qui témoignait du gouffre financier qui nous séparait de Joséphine. Et elle ne nous révéla jamais que sa famille vivait dans des conditions épouvantables, entassée dans une cahute délabrée perchée au-dessus d’une rivière qui gelait sur ses rives ; on pouvait compter sur elle, elle prenait soin de sa personne (d’une façon empesée très catho, d’où j’en déduisais qu’elle ne s’était jamais beaucoup marré), mais elle avait eu deux maris et faisait de temps à autre allusion à un cousin ou un neveu qui s’étaient mis dans un sale pétrin, sur quoi elle secouait la tête comme si quelqu’un allait essayer de la rendre coupable de cet état de fait, par-dessus le marché, et ça il n’en était pas question, mais alors pas du tout. Je l’avais raccompagnée un jour chez elle, dans le Bronx – des gamins vendaient du crack dans la rue, d’énormes radios beuglaient, la totale. Son mari travaillait aux cuisines dans une maison de santé ; c’était un colosse, presque deux mètres, une sacrée bedaine, une tension artérielle impressionnante, aussi, et quand je fis sa connaissance je sus qu’il pouvait me broyer instantanément, prendre ma petite main blanche et la briser comme une brassée de bâtonnets. Mais quand nous nous serrâmes la main, il eut un sourire respectueux et ses doigts se replièrent à peine autour des miens ; ce n’était pas de la politesse – non, j’étais le patron blanc de sa femme et il ne s’agissait pas de m’offenser ou de m’intimider accidentellement par une poignée de main un peu trop ferme.
J’étais à présent dans la salle de bains et j’écoutais Joséphine préparer Sally pour l’école.
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D'autres soucis nous attendaient, d'autres crises, d'autres espérances. Un jour où l'autre, la vie nous apporte notre lot de souffrances. Comme il serait bon que nous fussions tous égaux à cet égard. Mais peut-être une telle pensée n'est-elle qu'un naïf mensonge. Peut-être sommes-nous plus désormais qu'une société d'assassins – d'assassins et de leurs complices.
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Elle vieillit comme un beau voilier ancien – des traces d’usure mais toutes les lignes intactes, une maintenance accrue à chaque saison. (Ma façon de vieillir à moi s’apparente plus au glissement lent et inexorable d’une coulée de boue. Dans le miroir, j’examine mes cheveux gris, en arrache quelques-uns, et me trouve ridicule.) Elle refuse pour l’instant de cotiser à un organisme privé médical assurant un forfait santé.
Elle est souvent fatiguée, mais en général veut quand même faire l’amour, histoire de ne pas rater une occasion. Depuis la naissance de nos enfants, elle est devenue de plus en plus vorace au lit. D’une année sur l’autre nous semblons expérimenter une nouvelle trouvaille dans notre vie sexuelle ; récemment Lisa apprécie de me sucer pendant qu’elle se caresse. Cela peut durer un certain temps, et, finalement, comme elle jouit, elle m’enfonce dans sa gorge l’espace d’une ou deux secondes. Ou c’est moi parfois qui m’enfonce.
Puis nous changeons de position et je la pénètre. Elle me demande souvent d’y aller aussi fort que je peux, et je lui réponds que c’est difficile de faire mieux, mais elle en veut toujours plus.
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Vidéo de Colin Harrison
A l'occasion d'une interview exclusive, Colin Harrison revient sur l'oeuvre de Georges Simenon qu'il reconnaît comme l'une des plus grandes figures de la littérature française du XXème siècle. Pour en savoir plus sur "Manhattan Vertigo" : https://bit.ly/2JrqiXR
Sexe, pouvoir, argent et ?uvres d?art, ou quand le mirage de l?amour se heurte au vertige de la possession. Après huit ans d?absence, le plus new-yorkais des auteurs de polars livre un thriller sophistiqué, personnel et tendu à l?extrême, dans la lignée de Havana Room.
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