Kim est une célèbre animatrice télé dont le mariage bat de l'aile. Après sa mort accidentelle, elle se réincarne en fourmi. Ses agissements égoïstes lui ont valu un mauvais karma. Et le seul moyen de remonter l'échelle de la réincarnation est de gagner des points en karma, avec de bonnes actions...
Ce roman est dans ma PAL depuis des années. Je l'avais acheté par curiosité mais sans grand enthousiasme. Et finalement, je suis contente de l'avoir lu. C'est à la fois drôle et émouvant. On va suivre les différentes vies de Kim, la voir évoluer. C'est humoristique, mais cela fait également réfléchir.
Je ne sais pas trop comment classer ce roman, peut-être un feelgood. C'est un roman original, différent de ce que j'ai l'habitude de lire. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant.
En bref, une lecture légère, très agréable, que je ne m'attendais pas à apprécier autant.
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C'est ma mère qui m'a filé ce bouquin et j'avoue que je n'aurais jamais sauté dessus par moi-même et ça aurait été bien dommage.
L'histoire d'une journaliste à qui il va arriver que des malheurs.
Une fois qu'elle aura compris le sens du mot "Karma" la roue va tournée pour elle, elle va gravir des échelons si je puis dire.
Je trouve que dans ce livre il y a une morale importante :
"Les choses les plus importantes de la vie ne s'achète pas".
La vie est faite de petits plaisirs et nous n'en prenons pas toujours conscience.
J'ai lu ce livre étant enceinte et j'avoue qu'avec les hormones, quelques larmes ont facilement coulées :').
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Quelqu'un d'apparemment très bon goût (non) a offert ce livre à ma soeur, et elle m'a plus ou moins laissé faire le cobaye pour savoir s'il valait la peine d'être lu...
La réponse a plutôt tendance à pencher vers le "non".
C'est une lecture à moitié Feel Good, à moitié roman à l'eau de rose mais les situations sont lentes à s'enchaîner et on peut regretter qu'il soit aussi long pour une histoire si simple. Et bien sûr, peu de traces d'originalité dans une histoire de réincarnation d'une méchante femme d'affaire en fourmi parce qu'elle a négligé sa famille.
Peut-être gagnerait-il à faire une centaine de page de moins pour condenser l'histoire ?
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- Les dictateurs ne sont pas des gens bien ! protestai-je. Les politiciens non plus, ni, à mon avis, les programmateurs de télévision, mais sûrement pas moi!
- C'est pourquoi les dictateurs se réincarnent en autre chose, répliqua Bouddha.
- En quoi ?
- En bactéries intestinales.
Dans le 173e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente L’homme qui en a trop vu, histoire basée sur le témoignage du photoreporter Ali Arkady que met en scénario Simon Rochepeau, en dessin Isaac Wens et qui est édité chez Futuropolis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Les Beatles à Paris, un titre que nous devons au scénario de Philippe Thirault, épaulé par Vassilissa Thirault, au dessin de Christopher et c’est publié aux éditions Robinson
- La sortie de l’album Les herbes sauvages que l’on doit à l’auteur Adam de Souza et qui est édité chez Gallimard
- La sortie de l’album Delta blues café que l’on doit au scénario de Philippe Charlot, au dessin de Miras et que publient les éditions Grand angle
- La sortie de l’album Des femmes guettant l’annonce que l’on doit à Fedwa Misk pour le scénario, Aude Massot pour le dessin et qui est édité chez Sarbacane
- La sortie d’Après, le troisième et dernier tome de la série Cadres noirs, adaptation d’un roman de Pierre Lemaitre par Pascal Bertho au scénario, Giuseppe Liotti au dessin et c’est édité chez Rue de Sèvres
- La réédition dans la collection La bibliothèque de Daniel Clowes des éditions Delcourt de Pussey, album que l’on doit à Daniel Clowes
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