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EAN : 9791090947214
450 pages
Muller Editions (28/02/2018)
4.18/5   38 notes
Résumé :
Un nouveau regard sur Le Pen : le sien
« Mes grands-parents ne savaient pas lire mais surent donner une vie décente à leurs enfants. Ma paysanne de mère était élégante et fière, mon père, patron pêcheur taciturne, avait navigué pendant la Grande guerre, à treize ans, mousse sur un cap-hornier, ces cathédrales de toile et de bois qui affrontaient les quarantièmes rugissants. A la maison, il n’y avait pas l'eau courante mais on aimait sa famille, son pays et... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Premier tome des mémoires de Jean-Marie le Pen de sa naissance en 1928 à la naissance du Front National.

Après la lecture de ce livre (bien écrit) ce qui saute aux yeux c'est évidemment la position à l'extrême droite de l'échiquier politique Français dans les idées et l'opposition systèmatique à tout.
(tout ce qui ne va pas dans le sens voulu par l'auteur), Son parcours personnel peut « peut-être expliquer » cela, né dans l'entre-deux-guerres pupille de la nation très tôt il se sent redevable à la France (côté obscur) mais il n'y a rien de constructif dans les idées développées il a une vision passéiste de notre pays.

Ce qu'il y a de certains ce sont que les idées développées dans son livre sont celles qu'ils développent depuis 40 ans dans les médias.

En fait ce livre me donne une drôle d'impression celle d'un homme d'une froideur extreme et qui aime « briller » en société, se montrer en s'opposant...brr...

Mais en politique comme dans la vie il faut faire des compromis sinon on ne construit rien, du vent !!

En fait je ne suis pas surpris je ne m'attendais à rien de spécial de sa part.

Comme le dit la quatrième de couverture il s'agit de Sa vérité, A chacun de se faire sa propre opinion.
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M. le Pen est bien meilleur écrivain qu'homme politique. C'est toujours très délicat de faire une critique d'un livre où la politique y est fortement impliquée. Cela dit c'est très bien raconté, riche en tournures ironiques, des choix très aiguisés de mots placés au bon moment. La lecture est très facile, rapide, captivante et ironique où le vécu et la nostalgie transpirent à travers les lignes. Je ne suis pas étonné, connaissant le personnage politique avec le talent d'orateur qu'il cultivait lors de ses différents meetings. On peut lui reconnaître objectivement ce don qui a capté l'attention des militants, observateurs et autres journalistes. Sur certains points, n'importe qui ne peut être que d'accord avec des constats tels que la disparition progressive du petit commerce de centre ville au profit des centres commerciaux périphériques, la baisse de la qualité des programmes scolaires, l'obtention du diplôme du second degré validée par simple formalité fabriquant ainsi des lauréats nuls en orthographe et en lecture. Beaucoup d'entre nous le pensent sans passer pour des poujadistes ou des conservateurs radicaux. Pourquoi s'approprier ces remarques et les mettre au crédit du corpus du Front National ?
Les premiers partisans de son mouvements au passé parfois douteux font que ce parti occupera toujours une place à part sur l'échiquier, un parti qu'on a fini par le laisser s'exprimer dans les médias afin que les débats qui en découlent donnent au citoyen le libre arbitrage. Une organisation qui pratiquera une politique boutiquière sans jamais atteindre la Graal Présidentiel, malgré la possibilité de disposer d'un soutien non négligeable et d'une tribune pour se faire entendre.
A travers le prétexte d'un livre mémoire, Fils de la Nation reste malgré tout un livre militant d'une pensée idéologique à laquelle Jean Marie le Pen croit toujours, de facto le prétexte subtil du livre mémoire me parait un peu facile et trompeur sur la marchandise éditée, l'objectif étant de justifier sur 400 pages la légitimité du parti qu'il est parvenu à créer dans les années 70. Cela dit puisqu'on est pris par le prisme du lecteur, on a de l'empathie pour le personnage au parcours riche et mouvementé, et la magie du roman captivant fonctionne et barre la route au reflexe du recul intellectuel dans le paysage de la politique contemporaine.
Le Pen ne se prends pas du tout pour ces historiens auquels il reproche parfois la soit-disant honnêteté objective, mais il se fait apparaitre plutôt comme le Julien Sorel du XXe siècle, grâce au talent du récit romanesque, sorte de héros romantique écorché vif, regonflé par les aventures, aigri par les déceptions et à ma surprise doté d'une certaine popularité dans le milieu étudiant et politique, notamment à Paris. On découvre la nature impulsive et très volontaire du personnage qui permet de comprendre l'attitude provocatrice, cynique, parfois agressive de l'animal politique. Animal qui profite à cette occasion de rétablir la vérité quand il expose sa propre vision de l'histoire récente.
Le mépris pour le Général de Gaulle et la haine chevillé au corps du communisme sont ses 2 principaux aveux très assumés, et qui sont rappelés régulièrement, constituant les 2 principaux ingrédients pour l'élaboration du personnage politique qu'il a su forgé depuis les années 60 jusqu'à aujourd'hui. Il présente le personnage De Gaulle comme étant un simple sous-secrétaire d'état de l'ancien cabinet Reynaud, ensuite juste un colonel nommé général temporairement dans l'urgence de guerre, un faux grand homme dont le destin fut d'aider la France à devenir petite : « Il me parut laid ….Il n'avait pas une tête de héros. Un héros doit être beau. Comme saint Michel ou le maréchal Pétain ». Pourquoi donc vouloir souligner cette comparaison physique ?
Dans le récit transparait en filigrane un air du « c'était mieux avant » : abandon du latin et de la soutane dans les églises, abandon de l'éducation sévère pour les jeunes. Des abandons qu'il relie aux usages décadents d'aujourd'hui qui ne font que diminuer la splendeur de la maison France. Tout cela avec une pointe d'humour certes mais surtout avec une aigreur qui jalonne toute la lecture. Le mot imposture revient souvent notamment pour désigner des faits officieusement gravés dans le marbre par l'Histoire ainsi que les actions politiques de ses adversaires présumés. A cette occasion il n'épargne pas Pierre Mendès France qu'il méprise en le qualifiant d'aussi suffisant qu'insuffisant, sans aucun vécu sur le terrain de la guerre d'Indochine.
L'ambivalence du personnage s'illustre par plusieurs aspects que j'ai remarqués: la variété des chansons qu'il connait par coeur allant de la variété, en passant par les chants de la Wehrmacht jusqu'à ceux d'extrême gauche, la variété des personnages célèbres croisés (Chabol, Zizi Jeanmaire, Michoux, Mouloudji, Olivier de Kersauzon..) sans nécessairement en avoir fait ses amis. Enfin je note aussi la sympathie qu'il a su lier avec certains sympathisants de gauche avec qui il trouvait des points communs comme le syndicaliste Alexandre Hébert (méfiance vis-à-vis de ceux qui décident de la guerre, être né du peuple et avoir travaillé de ses mains, haine du communisme, partage des bénéfices entre investisseurs et travailleurs).
L'amour de la mer et des marins semblent avoir construit chez cet enfant de la Trinité ce caractère volontaire et combatif, notamment lorsqu'il raconte ses voyages en mer avec son père et plus tard avec ses amis, sa famille et ses relations. Un passage au chapitre 5 sur les Quarantièmes rugissants raconte très bien le courage des marins assoiffés de liberté et prêts à affronter une mer sans pitié. Belles descriptions comparable au « vingt mille lieux sous les mers ».
Je ne m'étais jamais vraiment intéressé à l'histoire de la guerre d'Indochine et d'Algérie dans laquelle le Pen s'est engagé. Il en profite bien sûr pour en redessiner les contours d'après ses observations sur le terrain et ses souvenirs, redéfini le contexte des évènements, en recadrant au passage les «faux » historiens, pour nous livrer sa « vrai » version. Même si ces guerres sont assez complexes (aucune guerre n'est simple) c'est toujours intéressant, avec le recul nécessaire, d'avoir les détails sur les différentes étapes des conflits quel que soir le narrateur.
Dans le même esprit de recul, j'ai trouvé très intéressant la notion de résistancialisme, terme qui évoque que toute action criminelle peut se réfugier derrière l'alibi de résistant quel que soit le mobile et l'appartenance partisane de l'auteur du crime. Le contexte plus ou moins déjudiciarisé de la société en pleine guerre facilite cette formalité, une attitude que l'auteur dénonce très fermement.
J'aurais aimé avoir plus d'explication sur la fameuse affaire du détail en 1987, qu'il survole volontairement pour la réserver dans son prochain volume.
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Il était temps que Jean-Marie le Pen sorte son autobiographie, lynché par les médias et le système bien-pensant, qu'en est-il de la réalité de cet homme ? Qui est-il vraiment ? Est-il le monstre présenté régulièrement par les journalistes, seuls représentants du « camp du bien » ?

Né en 1928, il est issu d'une famille bretonne de pêcheurs, famille pauvre en somme. Encore enfant, il subira les affres de la Seconde Guerre mondiale et connaîtra l'invasion allemande. Son père sera tué lors d'une sortie en mer par une des nombreuses mines allemandes lâchées dans les eaux. Par vengeance, ce jeune pupille de la nation pointera une arme dans le dos d'un allemand et hésitera à tirer, avant de finalement se rétracter. Il ira, malgré les injonctions de sa mère, rejoindre le maquis pour combattre l'ennemi lors d'une de ses sorties. S'il ne dépeint pas les allemands comme des êtres cruels et assoiffés de sang, nous sommes donc, tout de même très loin de l'image du nazi qui lui colle à la peau via les médias.

Suite à la Seconde Guerre mondiale, il partira sur Paris et découvrira la vie citadine en tant qu'étudiant tout en travaillant comme pêcheur ou dans les mines pour financer sa vie étudiante. Il y découvre aussi la vie politique et devient président de corpo. Il y fera ses premières armes. Son engagement pour la France, il ne la porte pas uniquement dans des discours, il se risquera en Indochine, mais partira aussi aider les Hollandais avec un petit groupe lors d'une inondation mémorable.

Bien sûr, il s'engagera en Algérie (après avoir porté la campagne de Poujade en vue des élections). Il y décrit les actes terroristes du FLN qui s'en prend à tout le monde, y compris aux civils. Et les tortures dans tout ça ? Cheval de bataille des médias à son encontre depuis tant d'années, il avoue bien naturellement qu'elles ont eu lieu, tout en respectant un certain cap de violence qui a été largement franchi par l'autre camp, celui du FLN. Lui, en tout cas, n'était pas dans la compagnie chargée de la « question ». Il n'a donc jamais torturé et les accusations à son encontre sont fallacieuses (il a même été accusé d'avoir torturé deux hommes le même jour, à la même heure, à 100 km de distance !). Entre l'Indochine et l'Algérie, le Pen aura connu deux grandes trahisons de la part du gouvernement français. Clairement, il n'acceptera pas cet affront fait aux combattants français et cela inférera dans sa vision politique.

Alors, les gens d'aujourd'hui se gaussent de cet homme et de ses idées, mais qui peut prétendre avoir eu ne serait-ce qu'une once de sa vie ? Peu de gens peuvent se targuer d'avoir eu son parcours. Une chose est sûre ; l'enfant issu d'une famille de pêcheurs est parvenu à se hisser tout en haut de la politique française et même si cela reflète une époque où l'ascenseur social n'était pas encore en panne, son ascension reste remarquable. Nous sommes bien loin de l'image d'un riche héritier que l'on donne de lui, son élévation dans les hautes sphères de la politique, il ne la doit qu'à lui-même et à sa fougue.

Ce qui est certain, c'est qu'il est l'un des derniers hommes d'une génération de français, peut-être même est-il l'un des derniers français tout simplement. Un menhir qui restera ancré dans la mémoire collective. Il est de ceux qui ont été prêts à tout sacrifier, y compris leur vie, pour préserver leur patrie. Il aurait très bien pu se trahir en acceptant de mettre de l'eau dans son vin et rejoindre d'autres partis plus politiquement corrects et accéder à un poste de ministre, voire plus. Mais contrairement à beaucoup d'hommes politiques, il ne trahira pas ses idéaux pour une carrière politique plus glorieuse. On peut le taxer, lui et son parti, de faire le jeu du pouvoir en n'étant qu'un fusible qui va forcément sauter au dernier tour des élections, mais il est le seul véritable élément d'opposition (contre l'immigration, contre la perte de la souveraineté, contre la dictature des minorités…).

Nous attendons impatiemment son deuxième tome pour connaître la suite. Suite nécessaire, puisqu'elle permettra, tout comme ce premier livre, de remettre les choses à plat et de donner sa vérité, LA vérité, qu'il admet être, la quête de sa vie.
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Jean Marie le Pen, né en 1928, vient de publier le premier tome de ses Mémoires, qui va des années de guerre jusqu'en 1972, date de création du Front national. C'est une façon habile de s'expliquer quand on est mis en cause par sa propre famille, et par sa famille politique : on peut, sur chaque sujet, présenter librement son point de vue.
On peut aussi, et l'auteur ne s'en prive pas, exposer pourquoi et comment on a forgé ses propres convictions. Ainsi la pauvreté d'une famille de petits pêcheurs côtiers, pourtant courageuse et dure au travail, explique nombre de positions de l'ancien président du Front national ; de même, les désordres politiques, sociaux, ou militaires qui ont accompagné la Libération en Bretagne et autour de Saint Nazaire, ont alimenté chez le jeune le Pen un scepticisme sur les « politiques » français, que sa participation aux guerres coloniales n'a évidemment pas nuancé.
Ces convictions, le Pen les exprime de façon directe, mais souvent moins provocatrice que dans son action politique ; il paraît même prudent, par exemple, sur les méthodes de maintien de l'ordre en Algérie. le problème est qu'il n'a pas fondamentalement modifié les idées qui l'ont irrémédiablement séparé du personnel politique républicain, notamment sur la « solution finale » mise en oeuvre par les Nazis, ou sur le régime de Vichy – à propos duquel il légitime le coup d'Etat parlementaire du 10 juillet 1940 -.
Le Pen, à force de critiques, finit par apparaître comme un « anti tout » : anti De Gaulle, anti parlementaire, anti américain (opinion toute faite, bien française), et opposé à tout compromis responsable. Ce n'est pas sur ce socle que l'on peut fonder des projets politiques constructifs.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Une personne honnie des médias et des politiques, souvent trainé dans la boue, instrumentalisé à l'extrême pour tout ce qu'il représente. Mais qui est-il vraiment ? Comment en est-il arrivé là ? Ce livre nous narre la vie de Jean-Marie le Pen de sa naissance à la création du fameux FN, ce qui met en lumière son vécu et, d'une certaine mesure, ses prises de position. A lire si vous aimez ou détester ce personnage, pour une question d'honnêteté intellectuelle.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Les poujadistes avaient remplacé le RPF comme bouc émissaire des modérés et ennemi prioritaire de la gauche, nous étions entourés d'un cordon sanitaire au Palais Bourbon comme le RPF l'avait été et comme le serait plus tard le Front National. L'interdit est encore la meilleure arme d'un système qui n'a de démocratique que le nom.
Hélas, les coups vinrent aussi de l’intérieur du mouvement. Le succès électoral avait fait élire de braves gens, mais souvent inaptes au métier de député. Le système et ses médias, avec un mépris social affiché, se moquèrent de la « république des crémiers ». En souvenir des restrictions de la guerre, les BOF (beurre œufs fromage) focalisaient les moqueries que la bourgeoisie intellectuelle devait réserver plus tard à leurs successeurs les beaufs. Le mépris du peuple est une constante de la gauche, souvenons-nous de la tirade que devait lancer Louis Mermaz, président de l'Assemblée Nationale socialiste sous Mitterrand, contre la « populace » du Front National.
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Des militaires égyptiens qui avaient fui devant l'offensive israélienne, des civils, hommes ou femmes, qui s'étaient trouvé là au mauvais endroit au mauvais moment. Avec la chaleur, il est urgent de les enterrer. J'en suis chargé avec ma section et je pare au plus pressé en creusant de vastes fosses communes, mais, Breton et catholique, j'ai le respect des morts. Je sais qu'un musulman doit être enterré la tête vers la Mecque, je les oriente comme il faut, les fait déchausser et enrouler dans des guenilles dégottées sous des huttes en guise de suaire. Quelques gars sèment le souk dans ces cabanes de pêcheurs. En voyant les filets sécher au soleil comme chez moi à La Trinité, j'interviens pour arrêter un début de saccage imbécile, ces gens sont d'une pauvreté terrible. Un chose me frappa, il n'y avait pas d’ustensile en métal. Rien que de la terre cuite. On est pas mécontent quand les fosses sont enfin refermées.
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L'Islam faible est pacifique, voire indolent, l'islam en expansion veut conquérir et imposer sa loi.
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