Teresa TotenMoi et les blondes tome 1 sur 1
EAN : 9782897332693
Ada éditions (15/02/2014)
/5
3 notes
Ada éditions (15/02/2014)
Résumé :
Depuis les six dernières années, Sophie Kandinsky tente de garder secrète sa vie familiale. Mais le diable se cache dans les détails. Premier détail : son excentrique mère bulgare plus vraie que nature. Deuxième détail, légèrement plus important: la condamnation de son gentil père poète pour meurtre. Sophie aspire seulement à être adorée et invincible dans la vie, ce qui s’avère vraiment difficile lorsque les gens apprennent que son père est en prison. Cette fois-ci... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Ouf... Enfin finit. de grande Difficulté à le finir. J'ai vraiment eu du mal avec ce livre. Par l'histoire, par le langage, par l'époque. Enfin bref par presque tout. Mais mine de rien, je me suis attaché aux personnages à tous les personnages. Surtout aux tantes loufoques, avec leur conseil complètement risible. Mais à part les personnages, je n'ai pas trouvé un grand intérêt au livre. L'histoire, en gros, c'est Sophie (Sophia pour sa mère), qui change souvent d'école parce que son père est un taulard. Enfin bref déjà, je trouve cela aberrant de faire 36 miles écoles pour ça, mais bref passons. Elle va essaye d'intégrer un groupe de blonde, pour la popularité et tout le tsointsoin. Mais bon au final, elle va lier une véritable amitié avec elle. C'est le côté amitié que je retiens surtout et qui fait que j'ai peut-être lu jusqu'au bout. L'écriture est plutôt un peu laborieuse, avec tous ses rrrrr à répétition et à rallonge. C'est fort dommage la déception que ce livre me procure au final. J'aime particulièrement la couverture, assez mimi et girly. Mais le contenu ne reflet pas du tout ce à quoi on s'attend. Certes, Sophie ment pour éviter de se faire évincer, mais une fois le superflue repérer rien ne passe réel. Sauf que les amitiés qu'elle a créées vont l'aider. Désolé, j'ai un peu l'histoire bateau en travers et du coup, mon avis ne devient pas forcement assez ouvert. Mais je pense qu'il faut surtout retenir des personnages, bien fait et bien construits. Chacun à une particularité qui fait qu'on accroche forcement à leurs tourments. Mais on peut aussi franchement bien rire par les bêtises de certains personnages, surtout les tantes, c'est assez drôle de voir leur scène. La fin est bizarre et ne conclut rien. En même temps j'ai fini les deux derniers en survolant c'est peut-être pour cela lol.
En conclusion, plutôt déçue par l'histoire. Mais j'ai trouvé de véritables personnages très intéressants. Mais malgré cela, je me suis ennuyé durant ma lecture et je n'ai franchement pas envie de découvrir la suite. Je ne peux que ne pas le recommander. Mais je sais qu'il peut plaire à d'autre personne alors le mieux c'est de le lire pour vous faire votre propre avis ^^.
Lien : http://plaisirdelire01.blogs..
En conclusion, plutôt déçue par l'histoire. Mais j'ai trouvé de véritables personnages très intéressants. Mais malgré cela, je me suis ennuyé durant ma lecture et je n'ai franchement pas envie de découvrir la suite. Je ne peux que ne pas le recommander. Mais je sais qu'il peut plaire à d'autre personne alors le mieux c'est de le lire pour vous faire votre propre avis ^^.
Lien : http://plaisirdelire01.blogs..
Léger, facile à lire, comique!
Citations et extraits (3)
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— Tu dois inspirrrer tes nichons. C’est ce que ferrra un beau soutien-gorrrge trrrop grrrand. Je te dis la vérrrité. Ça va les encourrrager à rrremplirrr les bonnets.
— Ya, renchérit tante Radmila en hochant la tête. Un bon soutien-gorrrge va leurrr montrrrer comment, c’est absolument cerrrtain ! Et, et… tu dois trrravailler pourrr attirrrerrr le beau garrrçon. On ne passe pas comme ça, continua-t-elle dans un claquement de doigts, d’invisible à belle. Le temps est venu que tu embrrrasses des garrrçons. Et ce serrrait bien que le beau garrrçon te voie faire, bien sûrrr…
— Pas avec la langue, cependant, nuança tante Luba en agitant le doigt. C’est trrrop difficile, au début. Peu imporrrte ce qui arrrive, garrrde les dents serrrées.
— Ya, acquiescèrent-elles toutes.
— Oh, allez, vous savez toutes que personne ne m’a jamais embrassée.
— C’est le moment, insista tante Luba.
— Ya, dirent les autres en hochant la tête.
— Tu dois trrrouver un garrrçon pourrr t’exerrrcer, dit tante Eva comme s’il s’agissait d’aller chez Loblaws et d’en prendre un sur une tablette.
Le visage d’Eva s’illumina d’enthousiasme.
— Tu es le plus bel ange, tu es parrrfaite en tout, sauf pourrr les nichons, qui, malgré tout, sont parrrfaits aussi. Ils tardent un peu à bourgeonner, c’est tout.
— À pousser, rectifiai-je. Ils tardent un peu à pousser. — C’est ce que j’ai dit. Quand les nichons de ta maman sont apparrrus, elle aurrrait pu avoirrr n’imporrrte quel garrrçon de Budapest, ou du monde entier ; elle était fantastique à ce point-là. Toi aussi, tu es fantastique à ce point-là.
Tante Eva me serra le genou et se leva pour faire d’autre café.
Eh bien, c’en était là. Me trouver un garçon pour m’exercer, me faire pousser les seins, et Luke serait mien. Je n’en doutais pas une seule seconde. Les tantes l’avaient dit.
— Ya, renchérit tante Radmila en hochant la tête. Un bon soutien-gorrrge va leurrr montrrrer comment, c’est absolument cerrrtain ! Et, et… tu dois trrravailler pourrr attirrrerrr le beau garrrçon. On ne passe pas comme ça, continua-t-elle dans un claquement de doigts, d’invisible à belle. Le temps est venu que tu embrrrasses des garrrçons. Et ce serrrait bien que le beau garrrçon te voie faire, bien sûrrr…
— Pas avec la langue, cependant, nuança tante Luba en agitant le doigt. C’est trrrop difficile, au début. Peu imporrrte ce qui arrrive, garrrde les dents serrrées.
— Ya, acquiescèrent-elles toutes.
— Oh, allez, vous savez toutes que personne ne m’a jamais embrassée.
— C’est le moment, insista tante Luba.
— Ya, dirent les autres en hochant la tête.
— Tu dois trrrouver un garrrçon pourrr t’exerrrcer, dit tante Eva comme s’il s’agissait d’aller chez Loblaws et d’en prendre un sur une tablette.
Le visage d’Eva s’illumina d’enthousiasme.
— Tu es le plus bel ange, tu es parrrfaite en tout, sauf pourrr les nichons, qui, malgré tout, sont parrrfaits aussi. Ils tardent un peu à bourgeonner, c’est tout.
— À pousser, rectifiai-je. Ils tardent un peu à pousser. — C’est ce que j’ai dit. Quand les nichons de ta maman sont apparrrus, elle aurrrait pu avoirrr n’imporrrte quel garrrçon de Budapest, ou du monde entier ; elle était fantastique à ce point-là. Toi aussi, tu es fantastique à ce point-là.
Tante Eva me serra le genou et se leva pour faire d’autre café.
Eh bien, c’en était là. Me trouver un garçon pour m’exercer, me faire pousser les seins, et Luke serait mien. Je n’en doutais pas une seule seconde. Les tantes l’avaient dit.
— Quand ? Comment ?
J’avais peut-être commencé à geindre.
Pause silencieuse.
— Quand tu aurrras des nichons, tu aurrras ce garrrçon, annonça tante Luba.
— Bon, eh bien !
Je pris une lampée de mon verre vide.
— Je suis l’élève la plus planche à pain de toute l’école, et ça inclut la plupart des garçons.
Elles jetèrent un regard accusateur à ma poitrine.
— C’est à cause de l’azote qu’ils mettent dans les cérrréales, dit tante Eva. C’est un complot communiste.
Seigneur Jésus.
— Ya ! s’exclama tante Radmila en cognant sa main sur la table. C’est ça ! Les cérrréales peuvent rrrester 200 ans dans la cuisine et goûter exactement la même chose. L’azote, c’est vrrraiment mauvais.
— Ya, acquiesça tante Luba en hochant la tête. Tu manges trrrop de Cheerrrios.
— Mais tout ça n’a aucun…
J’avais peut-être commencé à geindre.
Pause silencieuse.
— Quand tu aurrras des nichons, tu aurrras ce garrrçon, annonça tante Luba.
— Bon, eh bien !
Je pris une lampée de mon verre vide.
— Je suis l’élève la plus planche à pain de toute l’école, et ça inclut la plupart des garçons.
Elles jetèrent un regard accusateur à ma poitrine.
— C’est à cause de l’azote qu’ils mettent dans les cérrréales, dit tante Eva. C’est un complot communiste.
Seigneur Jésus.
— Ya ! s’exclama tante Radmila en cognant sa main sur la table. C’est ça ! Les cérrréales peuvent rrrester 200 ans dans la cuisine et goûter exactement la même chose. L’azote, c’est vrrraiment mauvais.
— Ya, acquiesça tante Luba en hochant la tête. Tu manges trrrop de Cheerrrios.
— Mais tout ça n’a aucun…
Je sortis de la file.
Je me dirigeai avec confiance vers le quai numéro 3, destination Toronto. D’accord, ça fait 12 fois. C’est correct. Treize est assurément mon chiffre chanceux. Alors, chiffre 13, à la prochaine fois.
La prochaine fois, c’est sûr.
Je me dirigeai avec confiance vers le quai numéro 3, destination Toronto. D’accord, ça fait 12 fois. C’est correct. Treize est assurément mon chiffre chanceux. Alors, chiffre 13, à la prochaine fois.
La prochaine fois, c’est sûr.
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