J'ai d'abord été animé par une approche environnementaliste : comme la nature nous séduit, on a envie de la protéger. Puis j'ai réalisé l'accélération des phénomènes qu'il fallait combattre et le décalage de cette approche avec la traduction concrète de la prise de conscience.
Moi, je ne demande pas qu'on parle d'environnement tous les jours, mais bien qu'on agisse.
Je fonctionne à l'instinct. Mon engagement ne s'arrêtera jamais.
Nicolas Hulot - un modèle incompatible avec l’urgence climatique ?