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EAN : 9782757888124
288 pages
Points (03/06/2022)
3.67/5   2198 notes
Résumé :
Connell et Marianne ont grandi dans la même ville d'Irlande. Il est le garçon en vue du lycée, elle est la solitaire un peu maladroite. Pourtant, l'étincelle se produit : le fils de la femme de ménage et l'intello hautaine connaissent ensemble leur premier amour.

Un an plus tard, alors que Marianne s'épanouit au Trinity College de Dublin, Connell s'acclimate mal à la vie universitaire.
Un jour, tout est léger, irrésistible ; le lendemain, le dr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (272) Voir plus Ajouter une critique
3,67

sur 2198 notes
Un million d'exemplaires vendus, un prix, une série télé, ♫ et moi, et moi, et moi ?♫
Il m'a fallu beaucoup de temps pour rentrer dans cette histoire d'amour et d'amitié - suis-je normale ? ;-).

La narration est particulière. Un peu plate. Les dialogues ne ressortent pas du texte, ils sont noyés dans les paragraphes. Ce roman censé se passer en Irlande, dont Dublin, pourrait se dérouler n'importe où. Il est comme aseptisé, privé d'identité, d'ADN....

Connell et Marianne vont dans le même lycée, ils sont tous les deux extrêmement intelligents, et tout indique qu'ils auront une mention très bien au bac .
Là s'arrêtent leurs points communs et commencent leurs différences.
Il est très beau , pas elle..
Le père de Marianne est mort , celui de Connell est absent du paysage depuis sa naissance, sa mère travaille comme femme de ménage chez celle de Marianne, laquelle habite un immense manoir.
Il est bon en foot, a pleins d'amis, est parfaitement intégré ; elle, pas du tout. Elle est froide distante, subit de la maltraitance chez elle et au lycée où elle n'est proche de personne.
Et pourtant, un jour, ils se rapprochent : attirance intellectuelle ? attirance sexuelle ?
Un peu des deux ,mais aussi parce que Connell ne se sent pas aussi à l'aise avec les autres filles qu'avec Marianne. Mais le garçon impose à la jeune fille, le secret, car il a du mal à assumer cette relation devant ses amis.
Grace à Marianne, il visera haut pour le choix de son université et il se retrouveront à Dublin tous les deux, seulement voilà , leur relation a pris fin avant la fin des cours à cause de ce secret, et à la fac, tout a changé, Connell se sent emprunté, pas à sa place au milieu des gosses de bourgeois. Marianne, grand seigneur, lui tendra la main...

Quatre ans d'amitié, de relations amoureuses interrompues , souvent pour incompréhension, d'autres partenaires, de dépression...
C 'est que ces deux là sont compliqués...
C'est en cela que ce roman d'apprentissage est loin d'être universel car peu de gens se reconnaîtront dans ces portraits... Ils se reconnaîtront dans les hésitations, dans le manque d'assurance, dans les balbutiements, dans le fait de vouloir faire partie d'une bande, d'un tout. Etre normal : qu'est ce que ça veut dire ?

J'ai trouvé que les portraits psychologiques des deux personnages étaient inégaux. Autant l'évolution, les errements les doutes, de Marianne s'expliquent par sa famille ( les rapports entre elle et sa mère, elle et son frère) , autant j'ai eu plus de mal avec l'évolution de Connell. J'ai bien compris que c'était un taiseux, qu'il y avait un gouffre financier entre lui et ses nouveaux "collégues", mais ses qualités intellectuelles, le plaisir qu'il pourrait tirer de l'enseignement, de se retrouver avec des personnes qui le tirent vers le haut, la stimulation intellectuelle devrait être vécue comme quelque chose de positif.
L'auteure a oublié cet aspect là de la vie estudiantine, de même qu'elle a oublié en route qu'il était très sportif (foot au lycée) , il me semble qu'il aurait dû continuer à faire du sport dans le post bac, cela aurait contribué à son bien-être (endorphines) et à sa côte de popularité . Comment a-t-elle pu oublier cela en route ? La construction de ce personnage n'a aucune logique, aucune continuité.
Mais sans doute avait-elle besoin de faire monter la sauce au niveau névroses, ses personnages ne savent pas comment se faire du bien en dehors d'un lit, Attirés l'un par l'autre mais se fuyant toujours, s'aimant mais voulant n'être que des amis...
Mais que ces deux là sont compliqués !

La morale de l'histoire, c'est qu'ils seront toujours là l'un pour l'autre. Reste à savoir si les deux entendent ce "là" de la même façon, au même moment et avec autant d'intensité...
Ce roman a fait un carton, je ne comprend pas pourquoi un tel engouement !
Je ne pense pas regarder la série.
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« Normal People » est le deuxième roman d'une jeune auteure irlandaise, Sally Rooney, dont le premier livre, « Conversations entre amis », esquissait le portrait doux-amer de la génération des millennials.

Le roman nous narre les années charnières qui marquent la fin de l'adolescence et le début de la vie adulte de Connell et Marianne, qui ont grandi ensemble à Carriklea, une ville de province irlandaise. Son titre est teinté d'ironie, tant les failles de Marianne sont béantes, et tant la normalité de Connell n'est qu'apparence. On peut également y lire l'aspiration sincère de ses deux héros à entrer dans la ronde, à intégrer le cercle des « gens normaux ».

Issue d'une famille aussi aisée que dysfonctionnelle, Marianne est une lycéenne introvertie et un peu hautaine qui n'a jamais intégré les codes que maîtrise à la perfection Connell, beau jeune homme en vue du lycée, footballeur et élève émérite. Ce dernier est élevé par Lorraine, mère célibataire employée comme femme de ménage par la famille de Marianne.

L'alchimie improbable entre Connell et Marianne est une évidence, et les deux adolescents deviennent rapidement amants. S'ils partagent d'indéniables facilités intellectuelles ainsi qu'un goût sincère pour la littérature, le gouffre qui sépare leurs classes sociales et leurs réputations lycéennes respectives semble immense. C'est d'ailleurs pour respecter les codes implicites qui régissent la vie des lycéens que le couple ne s'affiche pas, et que Connell n'invitera pas Marianne au bal de fin d'année.

Il décidera néanmoins de suivre cette dernière au Trinity College de Dublin pour y étudier les Lettres. Les jeunes amants vont rompre, devenir amis et les rôles vont s'inverser. Tandis que Marianne évolue enfin comme un poisson dans l'eau parmi les étudiants aisés de la célèbre faculté, Connell cherche sa place dans ce milieu particulier où des étudiants discourent sans fin sur des livres qu'ils n'ont jamais lus.

Les mois, les années passent, Connell et Marianne vont continuer à s'aimer à leur façon, à évoluer en miroir inversé. Ils affronteront l'un et l'autre les fêlures tapies dans l'ombre depuis le début de leur histoire, et pourront compter sur le lien intangible qui les relie depuis la fin de leur adolescence.

« Normal people » permet à Sally Rooney de disséquer au scalpel cette période clé qui va de la fin du lycée aux premières années passées à l'université. L'auteure dévoile avec une finesse étonnante l'importance du qu'en-dira-t-on, la cruauté inouïe qui s'abat sur celui ou celle qui sort un tant soit peu de la norme, la nécessité presque vitale de faire partie des « Normal People ».

Au fur et à mesure des revirement successifs qui marquent l'évolution de la relation entre Marianne et Connell qui oscille inlassablement entre amour et amitié, l'intrigue devient à la fois plus sombre et plus lointaine. L'auteure approfondit les non-dits, les fêlures, les failles qui menacent d'emporter ses héros. le roman glisse ainsi sur une pente psychanalytique en explorant les méandres de la dépression qui frappe Connell et les pulsions masochistes qui hantent Marianne.

« Normal People » séduit par la facilité déconcertante avec laquelle l'auteure instaure une atmosphère, une forme d'intimité entre le lecteur et ses héros, ainsi que par l'acuité parfois cruelle du regard qu'elle porte sur une certaine jeunesse irlandaise.

Et pourtant, les trop nombreuses oscillations de la relation entre Connell et Marianne, le développement aussi sombre que psychologisant de l'intrigue m'ont davantage décontenancé qu'ému. A l'instar des héros du roman, je suis resté à distance, je ne suis pas parvenu à entrer dans la ronde, à intégrer le monde un peu froid des « Normal People ».
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J'ai eu une curieuse expérience avec ce roman, reçu de mon fils en 2019.

Je ne l'avais pas aimé, lui attribuant deux étoiles et demi mais, faute d'arriver à développer mon ressenti, ne l'avais pas critiqué ici.

J'ai néanmoins éprouvé le besoin de le relire récemment - bizarre me direz-vous pour un livre que je n'avais pas aimé.
Durant près de quatre ans, Il est resté à portée de main, je ne pouvais me résoudre a le ranger tant que je n'aurais pas rédigé mon avis…
Ma seconde lecture entérinait toutefois mon opinion initiale, ce livre n'est pas pour moi, ne ressentant aucune empathie avec les deux personnages principaux dont les chemins ne font que se croiser et se séparer: suis-je à ce point en décalage avec cette jeune génération ?

Lors de la rédaction de ce billet, j'ai entamé une troisième lecture et là, surprise : j'ai été charmé par cette dernière lecture tout d'abord par l'écriture de Sally Rooney, très fluide, parsemée de nombreux dialogues, et avec de touchantes descriptions des lieux ou des sentiments :

« Il y avait dans tout quelque chose de sensuel : l'odeur de renfermé des salles de classe, le timbre métallique de la sonnerie de fin de cours, les arbres sombres et maussades qui se dressaient telles des spectres autour du terrain de basket.”

“Parfois, il a l'impression que Marianne et lui sont des patineurs artistiques, improvisant leurs discussions avec une adresse et une synchronisation si parfaite qu'ils s'en étonnent tous les deux.”

J'ai eu un véritable plaisir de relire le livre en entier au point de totalement changer de point de vue !

J'ai pu dépasser mes réticences devant les moments de parfaite symbiose entre Connell et Marianne suivis de ruptures dues à une mauvaise communication entre eux, le roman va en effet plus loin et aborde de nombreux thèmes tels l'opinion des autres, la soumission et le consentement dans les relations sexuelles, les violences familiales, l'alimentation, la santé psychique, la dépression et les envies suicidaires et bien évidemment le capitalisme, l'argent et les différences de classe sociale.
“Tout le monde fait semblant de ne pas savoir que leur vie sociale obéit à une hiérarchie où certains sont tout en haut, où d'autres se bousculent à mi-hauteur, et où les derniers se débattent tout en bas”.

Les deux protagonistes sont cultivés, lisent Proust, Baldwin, Mao, Salter, Austen,…, s'intéressent à la politique, à la Syrie, à Gaza et la crise souveraine en Europe.

le roman se structure en chapitres donnant tour à tour un regard sur les pensées des deux jeunes, avec des intervalles de quelques mois. Et se livrent à des introspections

Bref, ce fut au total un renversement total de mon opinion et je passe à quatre étoiles !

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«  Elle a passé la plupart de son enfance et de son adolescence à élaborer des plans sophistiqués pour s'épargner les conflits familiaux » .

«  À l'école , les garçons avaient tenté de la briser à force de cruauté et de mépris » .
Deux extraits de ce roman qui conte les années charnières marquant la fin de l'adolescence , puis le début de la vie adulte de Connell et Marianne .

Ils ont grandi dans la même ville d'Irlande .

Elle , la solitaire plutôt intello, assez maladroite : les garçons avaient tenté de la briser, à l'école comme à la fac soit par le mépris et l'irrespect soit , à la fac à l'aide du sexe et de la popularité , tous dans le but commun de dompter sa force de caractère .

Sans cesse , le bouc émissaire ..
Personne ne lui adresse la parole , elle a peu d'amis
Connell , au contraire est le joueur de foot , en vue, très populaire.
L'étincelle se produit : le fils de Lorraine , femme de ménage , et l'intello sophistiquée connaissent ensemble leur premier amour .

Un an plus tard , Marianne s'épanouit au Trinity Collège de Dublin , Connell lui , a beaucoup de difficultés à s'adapter à la vie universitaire .
Entre eux, le jeu commence : un jour tout va bien , le lendemain ,le drame pointe et les sentiments vacillent ….

Deux personnalités différentes, deux milieux sociaux opposés , les deux personnages sont indécis, compliqués .

Ils intellectualisent trop : d'où des relations tourmentées , des allers et retours tissés de hauts et de bas.

On suit leur histoire d'amour de janvier 2011 à février 2015, : leurs espoirs , leurs doutes , leurs errances affectives et intellectuelles , leurs complexités mêlées , leurs tourments ,leurs indécisions .
L'auteure nous livre un roman d'apprentissage , sur l'humain , le devenir, .le sexe , la jeunesse, l'amitié .
Le style me paraît plat …
Je vais décevoir les inconditionnels …
Je n'ai pas été vraiment convaincue , trop de longueurs , de mollesse , je me suis ennuyée ….à suivre le première amour entre Marianne, la solitaire, et Connell le taiseux .

On nous dit que c'est un roman phénomène , il m'a plutôt déprimée !
Mais bon, ce n'est que mon humble avis , bien sûr.
Je ne suis pas le bon public .
Emprunté par hasard à la médiathèque .
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L'histoire de Connell et de Marianne, c'est une histoire d'amour mais aussi celle du chat et de la souris. On les rencontre en janvier 2011 alors qu'ils sont encore lycéens. Connell est un jeune footballeur, aussi bon et populaire dans ses études que dans ses activités sportives et qui bénéficie d'un certain succès. Marianne, bien que riche, est une jeune fille solitaire, qui – malgré sa réussite scolaire – ne parvient pas à se faire des amis. Tout porterait à croire que rien ne les pousserait à se fréquenter à part Lorraine, la mère de Connell qui travaille pour la riche famille de Marianne. Vient ensuite l'université, ses codes mais aussi le renversement de popularité.

C'est tout un pan de leur vie que nous conte Sally Rooney jusqu'en février 2015, aux travers des moments de bonheur mais aussi de leurs failles. D'abord au sein du lycée puis à l'université où les chamboulements se multiplient pour cette jeunesse qui n'est pas encore prête à affronter sa vie d'adulte. Ayant connu aussi cette période de l'université où, à peine âgée de 18 ans, toutes nos certitudes s'effondrent et qu'on quitte doucement les chemins de l'enfance pour l'âge adulte, j'ai pu ressentir les émotions et sentiments que l'auteure a souhaité condenser dans ses personnages.

Sally Rooney nous conte une histoire contemporaine d'amitié et d'amour, dans laquelle Connell et Marianne se perdent pour parfois mieux se retrouver mais aussi parfois mieux se quitter. C'est un récit sensible, sans pourtant tomber dans le mièvre que cet apprentissage de la vie. Très actuelle, l'histoire parvient à attirer le lecteur qui ne peut que se demander si les chemins des deux personnages principaux arriveront à devenir plus qu'un seul.

Souvent le lecteur pourra être frappé par la justesse des émotions, par l'essence des échanges. Écrit avec un style assez direct et clinique, c'est alors parfois malaisé de s'attacher aux protagonistes. le fait que le regard des autres importe beaucoup pour ces deux jeunes ne fait que nous renvoyer à notre société actuelle où on étale sa vie sur les réseaux sociaux, cherchant en quelque sorte l'approbation de nos concitoyens.

Une petite originalité dans la forme de ce livre est que les dialogues ne sont pas édités comme les livres traditionnellement, ce qui ne permet pas de les distinguer clairement par rapport au reste. Cela m'a quelque peu déstabilisée au départ car j'ai dû m'y habituer et je pense que ce style risque de rebuter plus d'un lecteur.

Pour les aficionados de films et séries, sachez que ce livre « Normal people » a déjà été adapté sous le format d'une série irlandaise de 12 épisodes d'une trentaine de minutes chacun. Je compte bien la regarder très prochainement et vous ferai part de mon ressenti quant à cette adaptation.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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critiques presse (5)
De temps à autre, il y a des livres qui sortent complètement du lot. Normal People, le deuxième roman de l’Irlandaise Sally Rooney, en fait partie.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LaPresse
10 mai 2021
Difficile d'écrire sur Normal People sans avoir en tête les images de la série. Pour toujours, les visages de Marianne et de Connell porteront les traits des acteurs Daisy Edgar-Jones et Paul Mescal.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Elle
05 mars 2021
Peu importe d'avoir vu ou pas la série, ce deuxième roman phénomène de Sally Rooney et son adaptation sur petit écran possèdent chacun un charme différent.
Lire la critique sur le site : Elle
SudOuestPresse
05 mars 2021
Un premier amour, entre Marianne la solitaire et Connell le taiseux, deux personnages complexes et touchants, raconté par une jeune romancière dont la voix commence à compter.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
LeFigaro
04 mars 2021
Cette belle histoire d'amitié amoureuse confirme le grand talent de la jeune romancière irlandaise.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (144) Voir plus Ajouter une citation
« Marianne answers the door when Connell rings the bell. » is the first sentence of the book.

Re reading it after finishing the book is pure magic. It’s crazy how it tells everything about them.
And, as we say in French : La boucle est bouclée.
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Elle demande à Joanna si elle ne trouve pas étrange d’être payée pour ses heures de travail - de négocier, en d’autres termes, des tranches de son temps extrêmement limité sur Terre en échange de cette invention humaine qu’on appelle l’argent.
C’est du temps que tu ne pourras jamais récupérer, ajoute Marianne. Je veux dire, le temps, c’est réel.
Commenter  J’apprécie          350
Il lui a dit qu’il l’aimait. Il l’a fait par réflexe, comme on retire la main d’un geste vif quand on se brûle. Elle pleurait, il a parlé sans réfléchir. Est-ce que c’était vrai ? Il n’en savait pas assez pour être sûr. Au début, il a songé que ce devait être vrai, puisqu’il l’avait dit, d’ailleurs pourquoi lui mentirait-il ? Et puis il s’est souvenu qu’il lui arrivait de mentir, même sans l’avoir calculé, même sans savoir pourquoi. Ce n’était pas la première fois qu’il éprouvait le besoin pressant de dire à Marianne qu’il l’aimait, que ce soit vrai ou pas, mais c’était la première fois qu’il avait cédé et l’avait dit.
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Cette citation pour illustrer mon propos...

"On ne peut pas dire qu’elle soit la plus belle femme du monde, loin de là. Sur certaines photos, elle est non seulement quelconque mais d’une laideur incontestable, dévoilant pour l’objectif des dents qui se tordent comme de la vermine."

Bon, pour moi, c'est too much... La littérature n'est pas une suite de phrases ciselées, au scalpel comme ils disent, pimentée de dents tordues... C'est du niveau de l'école primaire, tout ça, à mon avis.
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J"ai sans doute cru qu'en venant ici j'aurais plus de chances de trouver ma place. Vous savez, je me suis dit qu'il y aurait plus de gens avec la même façon de penser que moi.. Mais, franchement, les gens ici sont bien pires que ceux que je connaissais au lycée. La seule chose qu'il font à Trinity, c'est comparer les revenus de leurs parents.
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Le fil rouge de ce nouvel épisode ? L'amour.
Sept conseils de lectures, proposés par sept libraires de Dialogues, des livres pour tous les âges, pour tous les goûts, pour toutes les sensibilités, et qui, chacun, nous parle d'amour à sa façon.
Voici les livres cités dans cet épisode :
Normal People, de Sally Rooney (éd. de l'Olivier) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/18431293-normal-people-sally-rooney-editions-de-l-olivier ;
Ada et Graff, de Dany Héricourt (éd. Liana Levi) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23009211-ada-et-graff-dany-hericourt-liana-levi ;
J'ai péché, péché dans le plaisir, d'Abnousse Shalmani (éd. Grasset) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23136090-j-ai-peche-peche-dans-le-plaisir-abnousse-shalmani-grasset ;
Forough Farrokhzad, oeuvre poétique complète (éd. Lettres persanes) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/13210169-forough-farrokhzad-oeuvre-poetique-complete-forug-farroh-zad-persanes ;
Je serai le feu, de Diglee (éd. La ville brûle) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/19776423-je-serai-le-feu-diglee-la-ville-brule ;
Les Choses de l'amour, de Dorothée de Monfreid (éd. Misma) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16724027-les-choses-de-l-amour-dorothee-de-monfreid-misma ;
Le Chevalier aux épines, tomes 1, 2 et 3, de Jean-Philippe Jaworski (éd. Les Moutons électriques) : https://www.librairiedialogues.fr/recherche/?q=le+chevalier+aux+%C3%A9pines ;
Sans crier gare, de Gary D. Schmidt (éd. École des Loisirs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23027151-sans-crier-gare-gary-d-schmidt-ecole-des-loisirs ;
Plein ciel, de Siècle Vaëlban (éd. Castelmore) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128671-plein-ciel-edition-reliee--siecle-vaelban-bragelonne.
+ Lire la suite
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