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EAN : 9782246858591
304 pages
Grasset (28/10/2015)
3.52/5   44 notes
Résumé :
4° de couverture (et rabat intérieur) :
(Edition source : Grasset / France Inter - 11/2015)
ISBN : 9782246858591


Doyenne de toutes les émissions de radio en Europe, Le Masque et la plume, diffusée le dimanche soir sur France Inter, fête, en novembre 2015, ses 60 ans. Avec le temps, ce programme culturel, où des critiques débattent de littérature, de cinéma et de théâtre, est devenu une mythologie française.

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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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« le Masque ce n'est pas de la radio, c'est du spectacle. Tu m'entends ? du spectacle » c'est ce que confie paternellement Georges Charensol à Jérôme Garcin lorsqu'en novembre 1989, Pierre Bouteiller lui confie l'animation de cette céléèbre émission mythique pour des générations d'auditeurs de France Inter, le Masque et la Plume.

Et depuis vingt-six ans à la tête du Masque Garcin n'a pas failli. Parce que tous les dimanches soirs, du spectacle il y en a sur France inter. Soixante ans de dimanches soirs à nourrir la passion de son public et gérer l'idiosyncrasie de ses chroniqueurs.

Pour fêter l'anniversaire de la plus vieille, mais la plus moderne des émissions de radio, Jérôme Garcin devient historien pour notre plus grand plaisir. Car tout cinéphile, tout dévoreur de livres, tout dingue de théâtre a quelque chose en lui du Masque.Ce cher Masque et cette chère Plume qui chassent le blues du dimanche soir.
Le livre fourmille de mille anecdotes :Bory dénonçant le complot des forces assoupissantes à propos du Corniaud de Gérard Oury, Jean-François Josselin complètement bourré ne se rappelant plus avoir participé à l'émission, André Degaine ce retraité de la Poste fou de théâtre qui devint chroniqueur au Masque, Frédérique Bonnaud ne supportant plus sa propre méchanceté, Pialat rendant hommage à Cyril Collard, du choix de « La fileuse » de Mendelssohn par Barenboïm en réponse à des lettres antisémites, l'étonnant Guillaume de Fonclare qui mystifia Garcin pendant plusieurs semaines en envoyant des courriers sous différentes identités et qui devint son ami, Pierre Murat le critique-qui-ose-raconter-la-fin-du-film.

Mille petites histoires drôles, cruelles ou tendres,Jérôme Garcin trouve toujours les mots justes pour nous parler de ceux qui ont fait et qui font le Masque et La Plume car, il a beau animer une émission parfois très méchante, Jérôme Garcin est un vrai gentil.

Je profite de cette chronique pour dire très fort que moi ma préférée c'est Patricia MartinVincent Josse n'est pas mal non plus…et que les archives Charensol-Bory c'est du velours.
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Jérôme Garcin Nos dimanches soirs Bernard Grasset France Inter
( pages 300 pages – 19€)

Commençons par féliciter Jeanne, l'initiatrice de ce livre-abécédaire qui lui est dédié.

A l'occasion du 60ème anniversaire, Jérôme Garcin remonte le temps, nous plonge dans les coulisses de cette émission culte qu'il définit comme un « moulin à paroles », son «  petit théâtre ». Vous saurez tout sur « l'hymne national de la critique» de Mendelssohn qui annonce et ferme «  le geyser de harangues ».

Vous ferez plus ample connaissance avec les trois «  bandes » de la trinité : cinéma, théâtre et littérature. Pour justifier les éclats de voix, les empoignades verbales, l'auteur se réfère à Oscar Wilde pour qui «  Une époque qui n'a pas de critique est une époque où l'art est immobile. »

Au fil des pages, l'autoportrait de l'auteur se tisse, par touches : depuis 1989 à la barre, au studio Charles -Trenet, avec le même enthousiasme renouvelé.
C'est à 15 ans qu'il eut le choc d'entendre « cette foire d'empoigne » qui orienta sa vie. Jérôme Garcin se remémore la première fois où il « monta à la tribune comme à l'échafaud », succédant à Pierre Bouteiller, soutenu par la bienveillance de Martine de Rabaudy et la « gentillesse paternelle de Régis Bastide ».
le Masque représentait pour le jeune « chef d'orchestre » une «  liberté d'expression, d'indignation, d'admiration sans limites ». Depuis, l'émission est devenue « une spécialité française » unique et reconnue, « une madeleine » pour François Morel.

Jérôme Garcin retrace son parcours, ses débuts à la télé, évoque l'époque où il faisait « le paon », mais aussi en parallèle l 'historique de l'émission. Il rappelle le choc de perdre un parent à dix-sept ans et un frère jumeau à six ans . A noter de nombreux hommages dans le chapitre consacré aux quarante ans : Charensol, Polac, Bastide.
Parmi les anecdotes roboratives, celle contée par un agriculteur qui avait baptisé ses vaches « les Garcinettes », après avoir constaté qu'elles étaient sensible au « ton velouté » de la voix du modérateur.
Comme Jérôme Garcin l'a confié dans le magazine « L'Arche » : «  J'écris car je ne supporte pas que les morts soient oubliés, partis pour toujours.Il faut encore et toujours parler d'eux, dire les cicatrices que leur absence a gravées en nous ».

Comme Perec, Jérôme Garcin se souvient de ceux qui ont beaucoup compté pour lui, ses prédécesseurs :Bouteiller, Bory, Polac, et égrène une pléthore de réminiscences.
Quand l'émission se délocalise, les aléas sont à gérer ( grève des intermittents, vol, ville paralysée par la neige), mais « les vertus fédératrices » l'emportent.
Jérôme Garcin témoigne de son plaisir indicible de rencontrer « la foule de ses fidèles ». Il évoque les lieux impressionnants comme l'Opéra national de Lorraine, à Nancy. Si « Les livres ont un visage », les auditeurs aussi. Dans leurs sourires, il lit une « complicité inexprimée, de la gratitude ». Avec beaucoup de discrétion l'auteur évoque les tournées à travers la France de «  sa comédienne de femme », Anne-Marie Philippe pour véhiculer la voix de Claudel dans L'annonce faite à Marie.
Il revient sur le Jubilé, puis les 50 ans , célébrés « dans une ambiance électrique », « de prises de becs », «  à voler dans les plumes ». Pas toujours évident pour la « petite Comédie-Française » de se sentir décontracté, alors chacun a son remède.

L'animateur peut se targuer d'avoir fait naître des vocations, dont celle d'Ali Rebeihi.
Dans le chapitre Artisanat, on réalise le travail titanesque que demande « cette préparation de laborantin » pour chacune des séquences, sans compter la sélection du courrier qui sera lu. Jérôme Garcin, « à nul autre pareil » se définit à ce sujet comme «  maniaque et obsessionnel » et opiniâtre.

La Normandie, qui se révèle un vivier de sommités, occupe une place de choix dans cet ouvrage. L'auteur est admiratif du talent polymorphe de François Morel.

En survolant la table des matières , des titres de chapitres intriguent, comme :
« Élysée, justice, noyade ». Mais laissons le suspense.

Sidérant le feuilleton de l'inconnu japonisant ! On imagine la perplexité de Jérôme Garcin devant une telle assiduité jusqu'au jour où il découvre la véritable identité de cet usurpateur, poète, censeur ! On croise le fantôme du « spectateur absolu », « conteur et enlumineur » comparé à « un nouveau Facteur Cheval ».

Les gourmets testeront l'adresse de la « merveille » de Trouville , « baptisée le Masque et la Plume » qui fit fondre Jérôme Garcin. D'autres trouveront des remèdes pour chasser le spleen, car «  les vertus anxiolytiques » de l'émission culte sont démontrées. A l'ère du podcast, on n'a plus la crainte d'en manquer une.
Bien que son succès soit incontestable, cette émission draine parfois aussi son lot de mécontents , l'auteur soulignant que « La France du dimanche soir a vraiment l'oreille chatouilleuse, l'esprit séditieux et la répartie cinglante ».

L'ouvrage se termine par le chapitre des zeugmas. Si le mot vous est encore hermétique, une copieuse liste d'exemples vous permettra de briller en société.

Les miscellanées de Jérôme Garcin contiennent des souvenirs, des lettres ( bouleversantes , gratifiantes, ou parfois assassines) d'aficionados , de savoureuses ou insolites anecdotes, des hommages, des exercices d'admiration.
Last but not least, il exprime ses remerciements à ses deux collaborateurs et « complices » :Lysiane Sellan et Didier Lagarde, « au doigté de pianiste ».

Lire ce recueil qui transpire «  la jouissance » de l'animateur zélé, « à « officier à la tribune » depuis 26 ans, prolonge idéalement les dimanches soirs.
Le point d'orgue n'est-il pas d'avoir inspiré des poèmes qui déclinent les louanges du Masque ? Pour un certain Aloïs de Valloires« Tous les dimanches soirs, pour une heure seulement/La vie suspend son cours, elle s'arrête un moment./Les joutes et les combats des critiques habiles/Nous font croire un instant que rien n'est difficile ».
Pour Gérard Noiret, les chroniqueurs sont «  quelques dieux, moqueurs, pénétrants ».

Ce florilège nous plonge dans les coulisses d'une émission culte, qui perdure, plaît, de génération en génération, par sa qualité et sa vitalité et nous enrichit.
Rendez-vous sur les ondes de France inter le dimanche soir pour l'antidote du blues.
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Ce livre est un enchantement. Pourquoi ? Parce qu'avec "nos dimanches soirs" Jérôme Garcin a su se renouveler après le très beau livre du cinquantième anniversaire de mon émission radiophonique préférée : le Masque et la Plume sur France Inter le dimanche à 20 heures. Car je fais partie de la famille de ceux qui ont été bercés par les joutes verbales de Jean-Louis Bory et Georges Charensol, quand nous écoutions la radio en famille dans les embouteillages en rentrant de week-end. Depuis ce temps, je partage les coups de coeur, coups de gueule, emportements, mauvaises fois, éclats de rire, émotions, déclarations d'amour des critiques du Masque et la Plume.

Pour le soixantième anniversaire de l'émission la plus ancienne de France Inter, Jérôme Garcin propose un livre-abécédaire où il alterne anecdotes, histoire de l'émission, souvenirs, portraits des protagonistes et lettres d'auditeurs souvent courtes mais poignantes. Même si je connaissais déjà certaines anecdotes je ne m'en lasse pas. Je peux écouter à l'infini Jean-Louis Bory dire « Comment ça va, mes cocos jolis ? » mais aussi Olivia de Lamberterie faire partager sa passion pour une romancière anglaise ou les mémoires de Gilles Jacob.
Et puis, cette émission culturelle qui fait partie du patrimoine radiophonique, n'est pas neutre et c'est là son intérêt. Les positions des critiques à certains moments clefs comme en mai 68 ou le soutien des auteurs du manifeste des 121 pendant la guerre d'Algérie ont d'ailleurs eu pour conséquence l'arrêt de l'émission soutenue par le public.

Ce qui est important aussi, c'est que ce livre m'a fait rire et pleurer ; rire avec certains portraits et pleurer avec la lettre poignante d'un auditeur, Jean-Paul Siegel. Les portraits sont incroyables. J'ai l'impression de connaitre tout le monde et Jérôme Garcin sait très bien parler des autres, de ceux qui l'entourent.
J'ai participé occasionnellement à l'émission enregistrée en direct de la maison de la radio le jeudi soir et j'ai toujours l'impression d'en sortir plus intelligente.
Alors, je ne sais pas s'il y a une faute d'orthographe dans le titre comme le dénonce Lilie10 dans sa critique sur Babelio mais même si c'est le cas je ne changerai pas d'opinion sur ce livre que j'adore.


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Ecoutez La fileuse de Mendelssohn arriver.
Ecoutez raisonner la voix de Garcin : « le Masque… et la Plume ».
Ainsi commence la grand messe culturelle du dimanche soir sur Inter, le grand théâtre de la critique, une pièce improvisée qui crée la discorde au sein de notre foyer, l'Homme considérant qu'ils sont « dégueulasses », que leurs attaques sont « gratuites », alors qu'ils me font beaucoup rire. Parce qu'au fond ils s'amusent de leur méchanceté souvent très exagérée.
A l'occasion du soixantième anniversaire de l'émission (en 2015 donc), Jérôme Garcin compile ses souvenirs de l'émission dans une sorte de dictionnaire très subjectif. A lire le taulier depuis trente ans maintenant (vingt-cinq en 2015), on ressent l'émotion forte qui traverse l'homme et ô combien le Masque et la Plume a à voir avec l'enfance, madeleine proustienne pour beaucoup d'entre nous, même pour Garcin qui l'écouta religieusement avant de l'intégrer timidement et pieusement.
Quel régal que cette lecture où l'on parle tour à tour de cinéma, de théâtre, de littérature et des hommes, et des femmes, des auditeurs, avec une tendresse émouvante, le tout servi dans une langue magnifique, drôle et nostalgique.
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Je termine ce livre, écrit pour les soixante ans du Masque et la Plume en apprenant ce matin même, le décès de Michel Ciment ! D'ici quelques semaines se sera aussi le départ de Jérôme Garcin. Une autre page qui se tourne pour cette émission culte, que nous sommes si nombreux à apprécier. L'avenir nous dira quel en sera son avenir !
Ce livre de qualité inégale aura été l'occasion d'en découvrir un peu plus sur les coulisses de l'émission avec de nombreuses, histoires, anecdotes, etc., plaisantes à lire, plus ou moins intéressantes.
En général, critique et écrivain, ne font pas bon ménage. Il n'est pas donné d'être bon partout !
Quoiqu'il en soit, Jérôme Garcin sera très certainement regretté en tant qu'animateur. Pour ma part, en tout cas.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
"Tous les dimanches soirs, pour une heure
seulement,
La vie suspend son cours, elle s'arrête un moment.
Les joutes et les combats des critiques habiles
Nous font croire un instant que rien n'est difficile.

d'abord l'ineffable, voilà Jean-Louis Ezine,
le lecteur suprême, celui qui seul devine,
D'un coup d'œil assuré qualités et défauts,
En ouvrant un livre, en en lisant trois mots.

(...)
Il aime des livres chacun des paragraphes,
Dont il prend le meilleur, lecteur jamais repu,
Qu'il récite le soir à sa Dame Girafe.
Dans l'ombre d'un bosquet se tient
Michel Crépu.

et pour habilement souligner les larcins
de ceux qui ne se tiennent qu'aux lectures
virtuelles
il en fallait bien un, ni trop bon ni cruel,
A nul autre pareil, voici Jérôme Garcin" ( Aloïs de Valloires- p. 273-274)
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Alors un soir avec Jean-Louis, dans la régie du studio 04, on a décidé d’un commun accord de reprendre les choses en main. Désormais, tous les deux, et même si il n’y avait pas matière à dissension, même si nous aimions d’une même passion Bresson, Rohmer et Truffaut, eh bien on s’engueulerait, on s’enverrait des noms d’oiseaux, on mettrait—pardonne-moi le mot—le bordel, et cela dans un seul but : réveiller le public, le faire rire, crier, applaudir, huer. Et ça a marché bien au-delà de nos espérances. »
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A coup sûr ils sont quelques dieux,
moqueurs, pénétrants, dignes de foi l'occasion,
mais tombés pêle-mêle de mythologies très diverses,
qui, de toutes façons, ne leur convenaient pas.
La difficulté est de s'y retrouver.
L'un gronde comme Zeus
après l'impudent qui enfreint ses lois
l'autre soupèse les âmes et n'agrée
que celles plus légères que la plume
un troisième défend les mots qui se réincarnent.
Un quatrième parle de sacrifice et de sang
et magnifie ce que le précédent prohibe.
De loin, on écoute ces paroles en sachant
que pour d'autres un peu de leur sort se joue là
( mais juste un peu car ceux qui comparaissent
restent maîtres de leur destin)
au bout du compte on vaque
dans son propre Eden
incapable de savoir à la fin des fins
s'il s'agit de mains qui applaudissent
ou d'une pluie sur les toits."
Gérard Noiret, inspiré par Le Masque et la Plume. Pages 78/79
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Dans sa longue traversée de l’histoire moderne de la France, qui a vu se succéder le gaullisme, le pompidolisme, le giscardisme le mitterrandisme, le chiraquisme, le sarkosysme et le hollandisme, Le Masque toujours exercé, le dimanche soir, une manière de contre-pouvoir à la fois feutré et acéré. Pas seulement en raillant l’art officiel, le conservatisme, l’académisme, et en condamnant, à l’étranger, les régimes qui oppriment les créateurs, mais aussi en prenant fait et cause, à travers les films, les pièces, les livres qui les expriment, pour les changements de société et de mentalité, pour la nécessaire et inéluctable révolution des meurs. Parce que si, en soixante ans, Le Masque a toujours été culturel, il n’a jamais cessé d’être politique.
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« Expliquer, donner à voir et à comprendre, persuader, entraîner, séduire et, en définitive, donner la vie. N’est-ce pas là le destin même de notre métier ? » demandait Jean Vilar, le patron du bien nommé Théâtre national populaire, lequel, en 1955, lorsque naquit l’émission, triomphait à Chaillot et sous le ciel étoilé d’Avignon. Et il ajoutant : « Convaincre, sans humilier l’œuvre choisie. L’éclairer et non l’endimancher. Evitant de l’encanailler, la rendre belle et accessible à tous. » Cela pourrait être aussi la devise du Masque et la plume, dont seul le traitement fragmentaire de l’abécédaire pouvait rassembler la mémoire éparpillée : pour servir les œuvres, ne pas les endimancher le dimanche soir.
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Jérôme Garcin vous présente son ouvrage "Écrire et dire : entretiens avec Caroline Broué" aux éditions des Équateurs. Entretien avec Jean-Claude Raspiengeas.
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