Katherine se réveille à l'hôpital et tente de mettre de l'ordre dans son esprit bouleversé et confus. Elle se souvient qu'elle a subi une violente agression dans son appartement et que son amie Lisa a été tuée. Les cambrioleurs cherchaient un coffre, dont elle ne connaissait pas l'existence. Rien de ce dont elle se souvient ne semble correspondre à sa personnalité, et le plus stupéfiant c'est qu'elle ne reconnaît même pas son visage dans la glace. La peur s'insinue en elle, elle se méfie de tout le monde et ne songe qu'à fuir, notamment son amant Ed, ponte de la CIA qu'elle craint plus encore, sans en connaître la raison .
Avec l'aide de son voisin, Dan, qui lui inspire moyennement confiance, elle parvient à fuir les agents que Ed a envoyé auprès d'elle à l'hôpital, mais ce Dan ne semble pas être aussi étranger au drame qu'elle vit, ni celui qu'il prétend être, et elle se méfie aussi de lui.
Roman passionnant que j'ai lu d'une traite : pas de temps mort, action et suspense au rendez vous !
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Un bon thriller rythmé qui mérite d'être plus connu. La fin est géniale, malgré toutes mes suppositions, j'étais complètement à côté.
Je ne lui ai toutefois pas mis la note maximale car j'ai été ennuyée par de nombreuses répétitions.
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Bien que doux, presque tendre et timide, le baiser se révéla chargé d’électricité. Katherine se contracta, absorba cette énergie positive, puis s’abandonna à l’ensorcelant manège des lèvres qui frôlaient les siennes, langoureuses et coquines à la fois. En un éclair, son corps se mit à vibrer de plaisir. Elle ne voulait pas de ce baiser, mais se découvrait incapable de lutter contre l’empire de ses sens.
Il ne suffisait pas de se sentir en sécurité pour relâcher aussitôt sa vigilance. Entre une impression et les faits, il y avait un monde.
Il savait stimuler une femme, même dans des conditions aussi peu propices. Baisers de feu, caresses audacieuses, mouvements mettant en exergue sa virilité triomphante... Toute la panoplie du parfait amant.
Il ne suffisait pas de se sentir en sécurité pour relâcher aussitôt sa vigilance. Entre une impression et les faits, il y avait un monde.
Ce serait si bon de se reposer sur quelqu’un, d’alléger ses problèmes en les partageant, d’avoir une épaule solide sur laquelle s'appuyer.