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EAN : 9782290035726
158 pages
J'ai lu (01/06/2011)
2.92/5   111 notes
Résumé :
Drame écologique, guerre nucléaire, catastrophe naturelle... À plus ou moins long terme, toute civilisation est vouée à disparaître. Cela s'est d'ailleurs produit des millions de fois depuis la formation de notre planète.
Pour préserver l'humanité de ces inévitables apocalypses, des agents venus d'un lointain futur voyagent tout au long de l'histoire de la Terre : à chaque fin du monde, ils sauvent ce qui peut l'être, et permettent ainsi à notre espè... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
2,92

sur 111 notes
Bon, 2e livre de SF à la suite qui me déçoit. Vraiment pas de chance en ce moment...
L'histoire est très attractive : Une sorte de police du temps qui sauve ce qui peut l'être ou doit l'être. J'ai souvenir de "La patrouille du temps" de Poul Anderson que j'avais beaucoup aimé. Mais là, l'histoire est plutot décousue et on ne comprend pas bien les tenants et les aboutissants.
De plus, le style est d'une lourdeur peu commune. Presque pompeux.
Heureusement, le livre est court. Très vite lu. Mais il ne restera pas dans ma mémoire. C'est dommage car le sujet est vraiment sympa.
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L'auteur

Ecrivain britannique vivant en Ecosse, ses genres de prédilection sont la fantasy, la science fiction et l'horreur. Il a publié sa première nouvelle en 1987 et son premier roman, Crépuscule d'acier, en 2003. Ses romans ont été nominés plusieurs fois pour le Prix Hugo qu'il reçoit en 2005 dans la catégorie roman court pour La Jungle de Béton. Son roman Accelerando remporte le prix Locus du meilleur roman de science-fiction en 2006. palimpseste a été publié en 2009 dans le monde anglo-saxon.

Charles Stross est présenté comme l'un des principaux représentants du renouveau de la SF britannique.
Le livre

Drame écologique, guerre nucléaire, catastrophe naturelle... À plus ou moins long terme, toute civilisation est vouée à disparaître. Cela s'est d'ailleurs produit des millions de fois depuis la formation de notre planète. Pour préserver l'humanité de ces inévitables apocalypses, des agents venus d'un lointain futur voyagent tout au long de l'histoire de la Terre : à chaque fin du monde, ils sauvent ce qui peut l'être, et permettent ainsi à notre espèce de renaître de ses cendres. Mais toute intervention sur l'histoire a des conséquences, parfois tragiques... Pierce est l'un de ces agents, un patrouilleur du temps promis à une brillante carrière. Pourtant, sa vie bascule le jour où sa famille et l'époque qui l'abritait sont « effacées » par une nouvelle version de l'histoire, tel un palimpseste. Son seul espoir réside à la fin des temps, où sont archivés tous les pans disparus de l'histoire.
Ce que j'en ai pensé

Dès le début, j'ai accroché à ce roman, intriguée par le nouveau monde qui m'était offert dans les premières pages. Qui est Pierce ? Quel est son travail ? Que s'est-il passé sur Terre ? J'aime normalement énormément toutes les réflexions sur le cours du temps. Et puis je me suis rendue compte que la trame est somme toute assez classique : l'idée d'hommes à l'écart du temps, qui contrôlent les autres et ont un impact sur l'évolution de l'humanité. Je venais juste de lire La fin de l'éternité d'Asimov, que j'ai d'ailleurs trouvé bien meilleur (je vous en parlerai à l'occasion), sur le même thème, ce qui a un peu tari mon enthousiasme sur ce livre.

Et puis brusquement, cela se complique. L'auteur entre dans des considérations complexes lorsqu'il évoque les cours auxquels assiste Pierce, lors de sa formation, sur l'histoire du système solaire. J'avoue que j'ai décroché à ce moment-là. Cette longue énumération du travail de la STASE, la patrouille du temps, sur notre Terre qu'ils décrochent de son orbite, et isolent pour la sauver de l'impact avec la galaxie d'Andromède. Moi qui adore la science fiction, pour une fois je me suis dit : il va trop loin, c'est complètement délirant. Bref la deuxième partie du roman m'a laissé froide. du coup je n'ai fait aucun effort pour comprendre la fin, un peu embrouillée à mon sens, avec la rencontre par Pierce de son double futur, sa sortie du temps, etc. c'est trop pour moi ! Il faut dire aussi que le vertige donné par la réécriture de l'histoire de l'Univers a peut-être été court-circuité par la forme du roman court qui a été adoptée. Tout est finalement un peu trop rapide, surtout pour traiter un thème si important.

C'est vraiment dommage car j'étais très emballée au départ par ce roman, et puis finalement, j'en suis ressortie déçue. Je ne peux pas écarter l'idée que c'est peut-être de ma faute, je n'ai pas tout saisi...

Par la même occasion, en passant j'ai découvert le genre de hard-science fiction : c'est un genre dans lequel les technologies décrites, les formes sociétales présentes dans l'histoire et les découvertes ou évolutions ne sont pas en contradiction avec l'état des connaissances scientifiques au moment où l'auteur écrit l'oeuvre. Alors je m'interroge, dans mon inculture scientifique totale : déplacer la Terre à des millions de kilomètres, est-ce vraiment possible ? Peut-être est-ce finalement l'explication de ma déception : je n'ai pas saisi le côté sûrement génial des postulats de Stross sur l'histoire de l'univers ...ou alors est-ce lié à son écriture ? car je n'avais aucun problème en lisant Asimov dont les romans ont toujours un côté très scientifique.

Au final, je ne sais pas.

Cependant, je vous invite à le découvrir si vous êtes accroc de science-fiction pure et dure. Sinon, s'abstenir.
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Lourd, pesant, pédant, sans âme : du très mauvais Charles Stross aux antipodes du Bureau de la Laverie.

Le thème repris est celui de la patrouille du temps dont le rôle est ici de permettre à l'humanité de survivre à chacune de ses extinctions.

Les paradoxes temporels sont évacués grâce aux palimpsestes, sortes d'univers multiples réécrivant l'histoire.

La trame suit et colle à l'incarnation n°1 du personnage central sans beaucoup de rebondissements. Elle est régulièrement interrompue par des "diapositives commentées" censées nous faire comprendre l'évolution du monde au travers de milliards d'années.

Même si le roman est court (150pp), je me suis tellement ennuyé que j'ai du me forcer pour le terminer.

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Résumé

Pierce est un australien de début du XXe siècle. Enfin, était, plutôt. Il est maintenant un agent de la Stase, organisation de redresseurs de temps. Car l'humanité a une réelle et fâcheuse tendance à l'auto-destruction ou à l'extinction. La tâche de cette organisation est de garder une histoire humaine. Elle s'assure que chaque extinction n'est pas totale et pourra conduire vers un avenir.

Pierce est devenu un apatride temporel dans la multitude des Histoires possibles. Il intervient pour réécrire tel ou tel embranchement vers la direction voulue. Mais le temps est capricieux et l'homme imprévisible. Une intervention mal maîtrisée peut détruire une multitude de possibles ou créer un noeud, une boucle, un palimpseste. Heureusement les "Affaires Internes" veillent sur l'histoire et surveillent les agents de la Stase.

Mais qui sont ces ennemis qui s'égrènent dans les fils infinis du temps : les Affaires Internes, une organisation ennemie, ou peut-être d'autres lui-même qu'il n'a pas encore rencontrés ou qui ont divergé ?

Lecture

Ce livre m'a fait penser au diptyque "Les Falsificateurs, Les éclaireurs" de Antoine Bello de par son thème. Mais ici c'est le temps même qui est réécrit, pas la relation qu'en font les hommes. On pense aussi bien sur à la série "La patrouille du temps" de Poul Anderson. Pourtant le traitement est ici totalement différent, plus que l'aventure personnelle, c'est une réflexion sur l'aventure de la civilisation. On est bien ici dans la science-fiction plus précisément de la hard-science.

Comme dans "Crépuscule d'acier", la place faite aux explications scientifiques, ou pseudo scientifiques, je ne suis pas capable de juger, et aux grandes envolées technologiques, m'a gêné. Les personnages sont par trop exogènes et succincts et je regrette ce manque d'humanité. Les motivations personnelles sont très peu développées. On suit plus une civilisation que des personnes. La science et l'exercice raisonnable prévalent. Je crois ne décidément pas être un fan de ce type de SF.

L'histoire est par contre parfaitement menée et maîtrisée. Malgré sa complexité, le récit reste logique et compréhensible. Les paradoxes temporels n'existent pas puisque le temps est admis ici non linéaire. La sociologie des civilisations et les technologies planétaires sont bien intégrées, bien que pour moi parfois rébarbatives. L'ensemble reste cependant ancré dans un monde qui nous est relativement familier, comme la similitude Stase/Stasi.

Ce livre a obtenu le prix Hugo 2010, La plus haute distinction pour un ouvrage de science-fiction. Ses qualités techniques et narratives sont indéniables.

Je n'arrive cependant pas à m'immerger totalement dans ce type de livre. Même s'il aborde la primauté de l'homme sur la société, même s'il montre le pouvoir de l'individu sur l'histoire et le caractère par nature corrupteur de tout pouvoir, l'ensemble se fait dans un monde désincarné qui repousse le lecteur. On sent d'ailleurs l'auteur bien mal à l'aise lorsque qu'il tente de s'aventurer sur le terrain des sentiments.

Conclusion

Un livre de grande qualité mais qui ne m'a pas vraiment plu.

Ma note : 13/20
Lien : http://www.atelierdantec.com..
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Un palimpseste est habituellement un parchemine que l'on a gratté pour pouvoir le réutiliser, ce que savent déjà les lecteurs de Baudolino d'Umberto Eco. Or dans cette grosse nouvelle de 150 pages, le palimpseste est plutôt une période temporelle qui a été plusieurs fois réécrite. Car oui, palimpseste de Charles Stross parle de voyage dans le temps. La fin du monde est arrivée. Plusieurs fois, même. Mais la Stase, organisme qui renvoit les différentes Fondations d'Asimov au rang d'amicales pour philathélistes, a pris les devants en bidouillant le temps et l'espace pour faire des boutures civilisationnelles. Et Pierce, jeune aspirant de la Stase, est confronté lors de ses premières missions à la logique spécieuse des faux paradoxes temporels.

Il y a dans ce Hugo tout ce que je déteste dans la SF : de longs passages où l'auteur fait péter sa hard science à grands renforts de théories et de principes qui en foutent plein la vue mais qui ne servent pas directement la narration. La Stase fait redémarrer des soleils morts, dévie la course des galaxies, catalogue l'univers dans des diamants… le tout avec une technologie à base de nano-turbo-pompons à induction inversée avec effet rétroactif sur la moyenne pondérée des n premiers trous noirs d'Andromède. C'est sans doute passionnant si on est un élève d'Hubert Reeves, ça l'est nettement moins quand on est un employé de bureau qui ne maîtrise pas les subtilités du rendement énergétique des naines rouges. Ce n'est pas didactique pour deux sous : le lecteur se cogne ce genre de résumé pompeux de la génèse du monde de la Stase entre deux chapitres focalisés sur le héros. C'est imbuvable et surtout, ça casse le peu de rythme que l'intrigue possède. Car l'histoire n'est pas non plus très folichone. Pierce est un personnage sans aucun relief et ses tribulations spacio-temporelles sont soporifiques. Il subit tout, ne comprend pas grand-chose et est au final totalement occulté par un personnage secondaire (Kafka) qui se relève bien plus intéressant que le protagoniste central.

Reste quelques idées sur le voyage temporel, avec une ou deux scènes marquantes (le rite d'acceptation au sein de la Stase et l'épreuve ultime pour obtenir son diplôme), mais au final palimpseste est une longue et mauvaise nouvelle qui ne raconte rien en faisant de l'esbroufe scientifique.
Lien : http://hu-mu.blogspot.com/20..
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
30 juin 2011
Si vous voulez réveiller les neurones qui sommeillent toute l'année sauf quand vous lisez de la hard-science, penchez-vous sur cette novella très recommandable. Mais pas besoin d'être un génie en math, ce texte réjouira tout autant les amateurs d'aventures temporelles qui n'ont le défaut que d'être trop courtes.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Des gens qui l'auraient suivi dans la rue à quelques pas de distance n'auraient perçu qu'un vague scintillement entre le moment où il avait levé le pied pour entrer dans le parc et celui où il l'avait reposé à l'intérieur. Son costume était plus lourd qu'une fraction de secondes plus tôt, le tissu plus raide au toucher, et avec la légère charge cachée sous sa veste, il marchait légèrement voûté. Il y avait d'autres changements, dont certains l'affectaient dans sa chair. Les gens qui le surveillaient s'en apercevraient peut-être, mais... nous nous occupons du reste. Il avait les yeux qui piquaient un peu parce qu'il avait choisi un affichage superposant à sa vision l'image haute définition de ce qu'il regardait. Dans le ciel, des drones-caméras invisibles et silencieux connectés à son centre nerveux observaient la scène à sa demande.
Que Kafka aille se faire foutre, se dit-il, furieux. Qu'ils aillent tous se faire foutre ! Pendant les trois heures passées dans sa planque du cryptozoïque, son état dépressif avait viré à la colère. Je veux des réponses !
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"Je suis venue vous remercier. Vous n'aviez pas besoin d’agir comme vous l'avez fait. La diversion, je veux dire. Je ne sais comment vous remercier."
Ce discours hésitant sentait le préparé, mais Pierce ne s'en formalisa guère. Cette jeune femme était incroyablement désirable, même dans l'uniforme sévère des agents confirmées. "Vous seriez morte à nouveau, lui fit-il remarquer. J'étais là) en renfort, et ça ne se fait pas de laisser mourir l'agent en immersion. Et en plus, j'avais une dette envers vous.
- Comment ça, une dette ? Nous ne sous sommes jamais rencontrés ! Il n'y a reine sur vous dans mon dossier ! " Les pupilles de al fille se dilatèrent.
"C'était un "vous" plus âgé", lui expliqua-t-il avec douceur. La Stase conservait des dossiers sur chacun, mais les agents n'étaient autorisés à consulter - et annoter - que les détails de leur passé.
Après un court instant, il ajouta : "J'espérais qu’un jour nous nous rencontrerions à nouveau.
- Mais je..." hésita-t-elle. Elle le fixa, le front plissé. "Je ne suis pas libre. J'ai déjà un partenaire.
- C'est drôle, ce n'est pas ce qu’elle m'a raconté." Il ferma les yeux quelques secondes , puis reprit : "Elle m'a raconté que nous avions eu une histoire. Et elle m'a chargé de lui dire à notre première rencontre que son premier animal de compagnie - une chatte nommée Chloé - avait été tuée par un chien sauvage. Pierce rouvrit les yeux et contempla le plafond baroque. "Je n'aurais pas dû vous poser cette question, Yarr... estimée collègue. je vous présente mes excuses. Je n'ai jamais considéré que vous étiez à vendre. Mon cœur n'est pas à la bonne place, voilà tout."
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Mais la Terre est en sécurité. La terre est sereine. La Terre n'est plus dans la ligne de mire.
La Longue Combustion est de loin le programme le plus ambitieux de la Stase. Les Empires Scientifiques vont croître et prospérer, puis décliner et s'éteindre, mais ils auront fourni la matière première numérique dont les Navigateurs ont besoin. La tâche délicate consistant à éjecter un système stellaire de sa galaxie sans faire dévier les lunes et les planètes de leurs orbites est monstrueusement difficile. Les planètes ne sont pas reliées physiquement à leurs étoiles et la gravitation est faible. Il faudra apporter d'innombrables ajustements aux orbites de toutes celles qu'on voudra entraîner. Le débit massique de Cérès ne peut suffire à lui seul. Mercure la rocailleuse a déjà été démantelée pour alimenter les mécanismes de contrôle qui assurent une combustion régulière du disque d'accrétion de l'étoile morte, et c'est maintenant au tour de Vénus de pourvoir à l'approvisionnement des innombrables remorques de matière se déplaçant à l'énergie lumineuse. Une naine brune dix fois plus grande que Jupiter va allumer la "fusée", un embryon stellaire injecté dans la gueule ardente en un million d'années.
La vitesse de libération de l'attraction galactique est élevée ; la vitesse de libération de l'attraction du groupe local le sera plus encore. La Longue Combustion va durer dix mille siècles. Tous les ans, l'étoile morte va accélérer d'un mètre par seconde. Et quand la Combustion arrivera à son terme, un système solaire radicalement reconfiguré s'éloignera du groupe local de galaxies à presque un millième de la vitesse de la lumière, direction le Vide du Bouvier.
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Le ciel est noir. L'âge de la naissance des étoiles touche à sa fin dans les galaxies délaissées par la Terre. Aucune pépinière d'étoiles ne brille plus dans le vide. Tous les soleils aveuglants à combustion rapide ont explosé et se sont éteints. Les étoiles les plus petites de la séquence principale ont enflé, sont devenues des géantes vermeilles dyspeptiques, puis ont épuisé leur carburant et se sont effondrées sur elles-mêmes. En dehors de quelques naines blanches ou rouge terne, plus rien ne brille.
Les astres plus petits - planètes, lunes et comètes - abandonnent peu à peu leurs galaxies. D'abord rejetés par leurs étoiles quand leurs orbites deviennent chaotiques, ils sont expulsés de leurs galaxies par les autres étoiles dont ils croisent la trajectoire. Et comme pour les molécules de gaz dans les couches supérieures de l'atmosphère d'une planète réchauffée par une étoile, ce sont les plus légers qui s'en vont les premiers. Le processus est inexorable. Le nombre moyen de planètes par étoiles chute lentement.
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L'humanité finit toujours par disparaître, ne l'oublie pas.
[...]
Toujours, Pierce. ça peut prendre mille ans, cent mille ans, deux cent cinquante mille ans... peu importe. Tôt ou tard, c'est l'extinction.
[...]
Tu viens de la période de la première extinction, c'est ça ? On n'avait pas encore découvert cette récurrence en ce temps là. [...] Tu dois absolument comprendre que ça finit toujours par arriver, et pourquoi nous agissons ainsi. Nous avons raison de sélectionner les sauvages et de laisser mourir les gens civilisés, tu dois le sentir dans tes tripes.
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Entrez au c?ur de la démesure techniciste ! Prix Locus du meilleur roman de science-fiction 2006. En ce début de XXIe siècle, être courtier en idées de technologies de pointe n?est pas sans risque. L?idéaliste Manfred Macx en sait quelque chose : depuis qu?il milite pour l?open-source et pour les droits civiques de tout humain numérisé ou des non-humains, il est harcelé par un agent du fisc ? son ex-petite amie ? et par la Mafiya. Des années plus tard, sa fille Amber et quelques amis font route, à bord d?un micro-vaisseau, vers une naine brune, lieu d?un signal extraterrestre. Premier contact ou piège alien ?
Dans un Système solaire méconnaissable, Sirhan, le fils qu?Amber n?a jamais connu, convoque le clan Macx sur Saturne alors que le débat politique entre les humains et les posthumains fait rage. L?humanité est-elle en danger ? Une troisième voie est-elle possible ? Entre ressentiments et non-dits, il est temps que chacun s?explique. Et si Aineko, le cyber-chat des Macx, tirait les ficelles ? Sur fond d?économie et démocratie 2.0, Accelerando est un roman sur l?avenir de notre civilisation et la difficulté des relations familiales face à l?accélération technologique. Se situant entre Gibson et Egan, Charles Stross interroge le posthumanisme avec intelligence et humour.
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