Les comparaisons entre les œuvres, facilitées par les regroupements, nous ont conduit à de nombreuses observations d'ordre technique, historique ou esthétique. Nous avons pu ainsi situer très exactement certaines toiles, notamment celles peintes à Osny en compagnie de Pissarro.
Dès cette première signature existent les deux points qui se trouveront dans plusieurs signatures des premières années et le trait qui subsiste plus longtemps et même reparaît de temps à autre, jusqu'aux dernières années, soit à la fin du nom, soit sous la date. Faut-il voir dans ces deux points et celui placé sur l'I la possibilité d'un signe maçonnique ? Il est curieux, à ce propos, de signaler que, dans « Avant et Après » (page 87 du manuscrit), Paul Gauguin a pris la précaution de dire qu'il n'a jamais été franc-maçon, ce qui laisse sous-entendre que certains contemporains ont cru à son appartenance.