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EAN : 9782205072549
96 pages
Dargaud (22/11/2013)
3.87/5   101 notes
Résumé :
Kevin Platon va faire son stage d'observation de 3è dans une entreprise de Communication : la COGITOP... La devise de la boîte c'est "Un service, des cerveaux"... et pour cause : tous les employés sont des philosophes célèbres ! De Nietzsche le DRH à Foucault, responsable de la vidéosurveillance, de Thérèse d'Avila secrétaire de Direction à Montaigne en période d'Essais, notre stagiaire va découvrir le monde du travail version philo. Jul et Charles Pépin nous offre... >Voir plus
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3,87

sur 101 notes
Par le plus grand des hasards, un de ceux qu'il ne convient pas de relater pendant trop longtemps, je me suis retrouvé à lire ce Platon La Gaffe sans trop savoir de quoi il retournait. Bien m'en a pris, finalement, puisque l'album concocté par Charles Pépin et Jul vaut le détour !

Notons d'entrée que ce duo d'auteurs a également La Planète des sages, une encyclopédie mondiale des philosophes et des philosophies. Autant dire, donc, qu'ils connaissent bien leur sujet (l'un est philosophe, l'autre s'est spécialisé dans la satire politique de notre société actuelle, notamment avec la série Silex and the City). Tous deux mènent une longue réflexion sur le monde de l'entreprise et la considération à avoir du travail. Ainsi, si vous cherchez une leçon de philosophie, accélérée mais très détaillée, sur le travail, c'est par là que ça se passe ! Sortez vos curriculums, car les places sont chères !
Et, en effet, quel casting nous proposent-ils ! Kévin Platon rencontre Jean-Claude Socrate, Jean-Philippe Dieu guide Thérèse d'Avila, Nicolas Machiavel côtoie Jean-Paul Sartre, mais aussi Frédéric Nietzsche, Michel Foucault, Baruch Spinoza, René Descartes, Héraclite, Sigmund Freud, Montesquieu, Leibniz, Manu Kant, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Soren Kierkegaard, Confucius, Alex Tocqueville, Bourdieu, Diogène, Walter Benjamin, Guy Debord, Sade, Aristote, Michel de Montaigne, Hannah Arendt, Schopenhauer, Blaise Pascal, Jacques Derrida, Épicure, Thomas d'Aquin, Jean-Karl Marx, et bien sûr BHL le coursier. Rien que ça, me direz-vous !
Même s'il met en scène des personnages qui n'auraient pas dû se rencontrer, cet album compose un certain réalisme teinté d'un fort pessimisme, mais d'une manière vraiment prenante. L'humour omniprésent active l'ensemble et nous laisse une impression de « finalement beaucoup trop courté : on en veut encore ! le contraste saisissant entre les philosophes, forme très abstraite de « métier », de « travail », et l'aspect très concret de l'entreprise remportera l'adhésion de la majorité des lecteurs. le déséquilibre en faveur du texte vis-à-vis du dessin (qui mériterait quelques ajustements) est dommageable, mais propose surtout de larges biographies décalées de la plupart des philosophes les plus reconnus, ce qui est finalement le but de cet ouvrage.

Ce Caméra Café au pays des philosophes de tous horizons ravira donc bien des profanes tout comme un bon nombre d'adeptes de la philosophie existentielle, c'est l'occasion pour vous de tenter l'expérience de la survie en entreprise par le simple biais de la bande dessinée.

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Moi quand j'étais petiot, j'ai vécu un peu chez ma grand-mère, beaucoup maraichère, beaucoup catholique et convaincue en plus, persuadée que je ne ferais rien de mes dix doigts, qu'elle braillait quand je voulais me sauver footballer (verbe du premier groupe) et judokater avec les copains du village…

« Mais menuisier ce n'est pas mal » qu'elle disait la vieille dame… enfin si je ne devenais pas un voyou…

Le mardi c'était permis, « Docteur Quinn » en tête liste, toute violence était proscrite et le vendredi lorsqu'elle était assoupie, affalée et bien ronflante, je me régalais devant "USHUAIA", Je voyageais avec "nico" à travers le monde, moi qui voulais devenir éleveur de dauphins…

Mais parfois la vie est cruelle, à Gaza plus qu'ailleurs certes, l'Afrique est perdue, et l'Asie c'est trop loin, donc en tant que Français moyen chanceux car bien née, je ne suis pas devenu éleveur de dauphins, ni policier, ni informaticien, non, Je suis devenu comme elle a dit mémé :

Menuisier…

Fin de troisième (je me répète), ma professeure de maths décide à elle toute seule qu'en tant que burne (spécialiste en burnage) ou branleur (spécialiste en branlage), ne comprenant rien aux « fonctions infines » et aux « vecteurs », que j'imaginais spatio-temporel… et bien d'après elle, je me devais d'apprendre un métier et vite si je ne voulais pas crever la dalle quand je serai grand un peu comme les somaliens qui commencent tout petits eux, plus habitués que l'on a l'habitude d'oublier par chez nous, mais en mieux quand même avec Resto du Coeur à volonté… donc moi bien flippé d'avoir le ventre qui gargouille, j'ai choisi un métier parmi la liste fournie et menuisier ça rimait avec néné...

Quel beau métier, je n'ai jamais regretté, l'histoire de l'art me fascinait : des Égyptiens à maintenant, le style renaissance, Louis XV, Louis XVI, l'Empire, l'Art nouille… concevoir, dessiner, débiter les billes de merisier, de chêne ou de noyer… dégauchir, raboter, assembler… l'odeur enivrante du verni, de l'huile et des bois toupillés… quel bonheur de travailler.

A 16 ans je n'étais pas très doué manuellement, mais motivé ça oui, alors j'ai bossé sans briller, de l'ébénisterie à la menuiserie, me voilà fraichement diplômé après sept années d'apprentissage … Je prenais mon pied à me lever le matin pour aller bosser de 6h30 à 20 heures dans le froid ou la canicule, les heures supp oubliées qu'ils disaient les patrons engraissés à la sueur de mes mains ( ..culé va…).

Mais moi je voulais gagner de l'argent, plus que le salaire d'un ouvrier, alors j'ai vendu mon âme au capitalisme , avec ambition mais sans conviction, juste pour le gain quoi… Et pis les croquettes des chats ça coute un bras surtout quand ils sont à la diet…

Aujourd'hui je suis cadre, avec un salaire plus que correct, mais je me réveille moins motivé, je traine des pieds, je me plains tout le temps même bourré à l'humour… les gens que je côtoie sont des machines de guerre, sans sourire, leur costume bien repassé, sans humanité, pantin du capitalisme moderne et de la mondialisation, moi pecno de gauche, défenseur des requins, amateur de sommeil, plein d'illusions, chaussé de converses choupinou, style plongeur-beau-gosse, je m'ennuie tous les jours un peu plus, laissant mon imagination voguer sous les jupes des filles qui défilent sur les champs d'Élysées, les jambes au vent, moi dans les embouteillages de la capitale… m'enfin en été, ça défile…

Moi qui voudrait devenir tripoteur de gonzesses, compteur de fleurette, poète pour nénettes, toucher des fesses, au lieu de ça je me bourre au coca, noyé dans cette déprime d'un métier sans vocation… mais de quoi je me plains, de rien allons bon, car j'ai conscience de mes privilèges, celui de pouvoir encore me plaindre…

Cette BD est intelligente, drôle, pleine de vérités sur le monde du travail, tous ces philosophes mis en scène pour dénoncer l'absurdité, le fossé qui existe entre l'antiquité et aujourd'hui, bref un petit bijou d'ironie que l'on devrait mettre entre toutes les mains, pour comprendre, apprendre tout en se cultivant, quel pied…

Donc si un jour quelqu'un avait besoin d'un penseur du dimanche, qui aime les tongs et le monoï, philosophant sur sa médiocrité, prêt a rire pour le plaisir de vous faire plaisir, je suis votre homme, je sais me servir d'Excel, de Word, d'un marteau et d'un burin, je fantasme de farniente, et me prélasse sur les seins des femmes nues prêtent à faire tomber leur robe pour satisfaire mes illusions lubriques…

Mais mon imagination ne fait pas gagner d'argent…Chienne de vie, alors laissez-moi pioncer bordel de dieu...

et FUCK le lundi...

A plus les copains

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Ah le travail c'est la santé !!! TRALALA... LALERE... joie et galère ?

L'entreprise, un collectif, mère de toutes les managements, de hiérarchie, de règles et de codes...Jul nous balade dans ce monde professionnel avec un stagiaire en "mode Gaston Lagaffe" et nous amène à digresser en compagnie de célèbres philosophes : Platon, Socrate, et d'autres personnages inattendus ! ils nous exposent leurs modes de pensée au travers de notre histoire jusqu'à nos jours, Illustrés par des mises en situations pleines d'humour.
C'est drôle, intelligent, un regard lucide et décapant sur le monde du travail qui tient une place prépondérante dans nos vies ....et une manière agréable de découvrir ou se rafraichir la mémoire sur la philosophie.

de nos jours, la vie professionnelle grignote insidieusement la vie privée grâce aux technologies de pointe : téléphones et ordinateurs ont pris le pouvoir...! Oui oui!!!impossible de ne pas répondre aux mails, aux courriels! en tout lieu et à toute heure .. tout est URGENT !..vive le télétravail? dans quelles conditions? L'open space : espace de liberté surveillée ou " convivialité"?
De burn out, en dépression...allons voyons, travaillons encore et toujours plus!! ! traversons la rue !

Pertinent sujet et à l'heure du bac pour les bacheliers un sujet en philo très intéressant
le travail : une aliénation de l'homme ? Un déterminisme et un marqueur social ? Une absolue nécessité vitale...ou un carcan dont on peut se sortir pour vivre autrement ?
Voilà, quel bonheur que de lire cet album sur son transat, une glace à la main...! aujourd'hui j'ai piscine !!

A déguster sans modération !BONNE LECTURE à tous et toutes !




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Marre du train-train quotidien au bureau ? de vos collègues ? de votre tyrannique de patron ? de vous sentir sous-estimé, voire totalement invisible, aux yeux de votre hiérarchie ? Alors jetez-vous sur ce guide de survie ayant pour noble ambition de vous faire appréhender dans toute sa complexité l'une des jungles les plus sauvages et redoutables de notre XXIe siècle : celle du monde de l'entreprise. Au moyen d'une ingénieuse alternance de dessins humoristiques et de textes explicatifs plus sérieux consacrés à des thématiques propres au monde du travail (les collègues, le boss, les codes vestimentaires...), Charles Pépin (le scénariste) et Jul (le dessinateur) nous proposent ici une critique acerbe mais néanmoins lucide du monde de l'entreprise tel qu'il existe aujourd'hui. de la supercherie qu'est l'open-space à la multiplication des caméras de surveillance au bureau, en passant par la « dictature de l'urgence » ou le renforcement de la pression patronale, les deux auteurs se font un malin plaisir d'aborder en détail tous les tabous liés au travail, et ce par le prisme de la philosophie.

Car la véritable originalité de l'ouvrage réside en la mise en scène de certains des plus grands philosophes de l'histoire, pour l'occasion reconvertis en employés du XXIe siècle. Voilà donc Platon devenu stagiaire un peu paumé découvrant l'entreprise, Socrate maître de stage, Sigmund Freud employé de l'année, Thérèse d'Avila assistante de direction... L'occasion pour Charles Pépin et Jul de revenir de façon simple et concise sur les principales thèses élaborées par chacun de ces penseurs et de proposer une belle réflexion quant à ce qu'est aujourd'hui le travail en entreprise et de la place qu'y tient chaque individu. N'allez cela dit pas croire qu'il s'agit là d'un ouvrage purement théorique, bien au contraire, car l'humour y est présent à chacune des pages qui fourmillent de petits clins d'oeil ou jeux de mot savoureux que les amateurs d'histoire et de littérature ne manqueront pas d'apprécier relever. de Diogène militant dans son tonneau contre l'open-space à Montaigne ne parvenant pas à sortir de sa période d'essai, en passant par Foucault devenu un obsédé de la surveillance, il faut avouez qu'il y a franchement de quoi rire.

Avec ce « Survivre au travail avec les philosophes », Charles Pépin et Jul signent un ouvrage d'une drôlerie et d'une lucidité remarquables, à la fois défouloir et support de réflexion. Idéal pour mieux appréhender votre vie professionnelle et les théories des grands philosophes de l'histoire, tout en découvrant d'amusantes anecdotes qui enrichiront votre culture générale. Tenez, saviez-vous par exemple que le mot « travail » venait d'un terme latin désignant un instrument de torture à trois pieux capable d'infliger le plus atroce et le plus lent des supplices ? de quoi faire réfléchir, non ?
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Le monde du travail m'intéresse. Parce que j'aime travailler, d'abord, mais aussi et surtout parce que je me régale à y observer les petits travers, les grosses hypocrisies, les mélodrames et les jeux de pouvoir qu'il créé ou exacerbe chez tout un chacun.

La philosophie me paraissait une nouvelle clé d'entrée, amusante et intelligente, pour à la fois rire de nos vanités et comprendre au-delà de l'ironie. J'avais donc tous les atouts en main pour apprécier cette BD platonicienne.

Pourtant, le premier rdv fut plutôt raté : j'ai lu quelques pages dans la voiture en attendant et... bof, pas ri, pas appris grand chose, pas compris les parallèles. Alors j'ai tout repris au début, tranquillement, sur mon canapé et j'ai vraiment pu rencontrer Platon La Gaffe et tous ses collègues philosophes.

Platon La Gaffe, c'est le stagiaire naïf qui arrive dans une entreprise et enchaine les boulettes dans de courtes BD de 2 pages. C'est aussi et surtout le prétexte à des explications, courtes également, sur quelques théories philosophiques et principes du monde du travail, en vrac des rappels sur le rôle du travail pour les sages antiques ou chrétiens, l'absence de morale chez Nietzsche, l'arnaque de l'open space, Machiavel et le pouvoir, le grand cinéma des prétendues urgences, le changement de perspective entre vie publique et vie privée...

Si le lien entre BD et texte est souvent pertinent et parfois très drôle (ah les bulles de textes de BHL le coursier ! ah Diogène qui danse le gangnam style pour fêter le Friday wear !), l'ensemble est plutôt succinct (92 pages bulles comprises), et surtout très pessimiste. Heureusement qu'il nous reste les caricatures des philosophes sur la couverture pour sourire !

Challenge Petits plaisirs : 24/xx
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critiques presse (3)
ActuaBD
10 janvier 2014
Le duo Pépin/Jul fait encore merveille. Leur esprit humoristique est une belle mécanique plaquée sur ce que l’entreprise a de plus vivant : un ramassis d’incapables qui conduit le char du capitalisme droit au bûcher des vanités.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Bedeo
26 décembre 2013
Les deux auteurs traitent chaque aspect du monde l’entreprise sous la moulinette de concepts philosophiques appliqués et expliqués. Cela donne un livre intelligent, intéressant et bourré de prises de positions philosophiques.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Culturebox
18 décembre 2013
Un livre divertissant et bourré de références.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Avoir l'air débordé est devenu un signe extérieur de réussite. Et c'est ainsi que passent les jours, puis les semaines, sans que jamais soit simplement posée la question de ce qui est important. Nous avons tous les moyens, dans notre travail, de distinguer l'urgent de l'important. Il suffit d'y penser : la distinction s'imposera d'elle-même et, peu à peu, nous nous émanciperons de la tyrannie de l'urgence. Alors nous comprendrons la fonction même de l'urgence : nous empêcher de repérer ce qui est important.
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Finalement, comme le dénonce Marx, nous risquons de n’avoir le choix qu’entre la simple exploitation et la pure aliénation. Le travail peut être une humiliation ou une déception, un esclavage, un naufrage ou un enfumage. Le bureau peut vite devenir une prison, un cimetière d’ambitions, une cour des miracles où n’apparaîtra jamais le visage d’aucun Dieu. Tout cela est vrai. Mais il y a probablement pire que le travail : ne pas en avoir.

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Savez-vous que le mot 'travail' vient d'un terme latin 'tripalium', qui désigne un instrument de torture à trois pieux capable d'infliger aux esclaves rebelles le plus atroce et le plus lent des supplices ?
Savez-vous que, chez les Grecs aussi, le travail était loin d'avoir bonne presse ? Ils y voyaient une agitation assez vaine, comparée à la noble activité du sage contemplatif. Il y avait tellement mieux à faire que de travailler : discuter entre amis, boire du vin entre amants, admirer des vérités éternelles, débattre du bien commun sur l'agora...
(...) Même combat chez les chrétiens : le travail n'est rien de plus qu'une punition. C'est un contresens que de lui attribuer une fonction rédemptrice : le travail ne répare rien ; il ne sauve de rien. Tout cela est clair dans la Genèse. Adam et Ève ont péché : ils vont devoir payer.
(p. 7)
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Montaigne, avant Rousseau, se confronta à l'énigme de l'intériorité humaine. Tentant dans ses Essais de se « peindre lui-même », il comprit combien l'identité de chacun est mouvante. Il fut l'un des premiers à démasquer ce leurre de l'identité. A chaque nouvelle tentative pour en cerner le mystère, elle se déplace un peu. Notre intériorité est chaque jour à reconquérir, c'est d'ailleurs à cela que sert la littérature.
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C'est toute l’ambiguïté de la notion de "ressources humaines". Terme scandaleux d'une part : l'humain n'y est qu'une ressource parmi d'autres. Magnifique idée, d'autre part : que le travail soit pour chacun, l'occasion de développer tout l'éventail de ses "ressources humaines".
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Vidéo de Charles Pépin
Augustin Trapenard accueille Charles Pépin, pour son essai "Vivre avec son passé", publié chez Allary Editions, Laure Murat, pour "Proust, roman familial", un essai sur le pouvoir émancipateur de la littérature édité chez Robert Laffont, Agnès Desarthe, pour "Le Château des Rentiers", paru aux Editions de l'Olivier, Nathacha Appanah, pour "La Mémoire délavée", publié au Mercure de France, et Neige Sinno, pour "Triste tigre", paru chez P.O.L. et récompensé par le prix littéraire "Le Monde 2023.
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