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Ravenwood tome 1 sur 2

Frédérique Fraisse (Traducteur)
EAN : 9782732445779
430 pages
Editions de la Martinière (10/03/2011)
3.63/5   27 notes
Résumé :
Ark est un jeune apprenti plombier vivant dans la cité d'Arborium, construite à des kilomètres du sol, dans les arbres géants de la forêt du même nom. Un jour où il se trouve chez le Haut Conseiller Grasp pour débloquer un tuyau d'égout, il surprend une conversation entre ce personnage détestable et Lady de Fenestra, émissaire secrète d'un autre pays. Ils sont en train de fomenter un coup d'état contre le roi d'Arborium afin de livrer la citée aux mains de l'Empire ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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[ Livre reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique. Je remercie les trois ours et Pierre Krause pour leur confiance.]

Arktorious Malikum exerce la respectable profession de plombier. Ce qui peut être en soi quelque chose de remarquable quand on vit dans les arbres de la Forêt d'Arborium. Des arbres si immenses qu'on y vit sans toucher terre. On y dort, on y mange, on y apprend... Et on y utilise les sanitaires...
Arktorious Malikum est un jeune homme de quatorze ans qui a surpris LA conversation qu'il ne fallait pas surprendre. Ce qui peut être en soi quelque chose de problématique car cela procure des ennemis décidés à vous voir disparaître. A ma droite la démoniaque ambassadrice Lady Fenestra de l'Empire de Maw ; Super-puissance technoïde 100 % artificielle qui rêve de s'emparer des champêtres ressources de Royaume d'Arborium. A ma gauche, le Haut Conseiller Grappin prêt à vendre son pays contre la place de Calife à la place du Calife.
Arktorious Malikum est un enfant trouvé, seul jumeau survivant adopté par de nobles mais pauvres parents. Ce qui peut être en soi quelque chose de bien mystérieux. Et qui permettra à un jeune homme plus que modeste d'acquérir les puissants pouvoirs à même de l'aider à accomplir son immense destin : sauver son mondes de la convoitise des forces du mal...

Du jus de raisin ; Insipide, ultra-sucré, à la rigueur frais l'été, pourquoi pas. Mais bon, quand on a l'habitude de boire du Bourgogne,c'est un peu – voire très – léger...
Voici ma position sur ce livre. Alors probablement qu'en vieux lecteur du genre fantastique ce livre ne m'était en fin de compte pas destiné. Et je n'y est pas trouvé grande saveur. Mais tout de même on use les poncifs... Les méchants sont très méchants, mais pas trop non plus, c'est de la litté. jeunesse. le héros a un ami genre " gros-costaux-au-grand-coeur-et-au-nom-ridicule ", juger vous même Mucum – palindrome – Gladioli. le Roi est un gentil naïf qui ne voit rien venir sauf à lui foutre les preuves sous le nez. et je vous épargne le fils du méchant, qui est allé à l'école avec le héros, qui s'allie aux méchants technoïdes et qui " déchoit " pendant que le héros " s'élève "...
Probablement que ce livre trouvera son public – dans les jeunes et les moins aguerris du genre – Moi je sais déjà à qui je vais l'offrir...

(...)

Et sinon, je ne résiste pas à soulever puérilement un détail. le chef des plombier, le méchant contremaitre du noble héros et de son costaux acolyte s'appelle K. K. Jones...
Merci au traducteurs pour cette perle...
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Lu dans le cadre de masse critique, j'ai été agréablement surprise!
C'est en fait, le premier livre d'aventures "fantastiques" que je lis, j'avais été tentée par le résumé mais n'avais pas vu que ça s'adressait aux jeunes à partir de douze ans.
J'avais donc de gros doutes en commençant ma lecture mais j'avoue qu'après le premier chapitre, je me suis retrouvée absorbée par les aventures d'Ark et de son compagnon Mucum, dendriens chargés de sauver la cité d'Arborium.
L'histoire est très bien écrite, n'oublions pas qu'elle s'adresse aux jeunes lecteurs, le style et le vocabulaire ne sont pas sans humour et font appel à de nombreuses références. J'ai beaucoup aimé la magie et le côté fantastique qui m'ont fait penser aux légendes Arthuriennes et à la forêt de Brocéliande.
Une lecture que je recommande donc aux jeunes, et aux moins jeunes qui ont gardé leur âme d'enfants.
Par contre, je ne sais s'il peut plaire aux adultes habitués à ce genre de lecture puisque je n'ai pas de comparatif!
Merci encore à Babelio pour m'avoir fait découvrir ce style, c'était une première pour moi mais je n'en resterai pas là!
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Je suis une passionnée des arbres, la superbe couverture (signée Steve Rawlings) et le thème de ce roman jeunesse m'ayant attirée, j'ai commencé ma lecture avec enthousiasme.

Une cité sylvestre, une île dans un océean de verre, est menacée par la civilisation technologique et les peuples dévoreurs de ressources. On veut transformer ces arbres millénaires, créatures vivantes et douées de pouvoirs, en fagots, en énergie et que sais-je encore.

Les divinités et esprits bienveillants n'y changeront rien, à moins que parmi ce petit peuple des Dendrien se cachent des héros déterminés à sauver leur monde.

Inutile de compter sur les adultes, trop mous et apathiques, trop indifférents et faciles à corrompre. Heureusement, les arbrolescents ont bien plus d'audace et de courage. Surtout le jeune Ark, qui malgré un métier bien difficile et peu reluisant (il est plombier), possède des dons que même les gens de la haute société ignorent. Il lui faudra, avec l'aide de quelques amis, déjouer un complot, affronter des soldats, échapper à lady Fenestra, l'envoyée des Maws (le peuple qui souhaite réduire la forêt en cendres) et même des ennemis au sein de son propre peuple, comme l'horrible fils Grappin, et pour finir participer à une bataille. Ouf.

Ark connaîtra son lot d'aventures et d'émotions dans un cadre époustouflant.

C'est la principale force du roman : cette cité dans les arbres est admirablement reconstituée, son élaboration, son énergie, toutes les choses astucieuses agencées pour faire fonctionner une ville sylvestre. Les vieilles croyances ont encore un peu d'intérêt aux yeux de certains Dendriens, et les différences sociales ne sont pas oubliées dans ce roman au thème écolo. Tandis que le roi se prélasse dans son palais, certains de ses sujets ont à peine de quoi vivre... Certes, la vie n'est peut-être pas idéale pour tous, mais les Dendriens vivent loin de la pollution et des technologies qui rendent la vie si artificielle.

Autre bon point, j'ai adoré l'hommage rendu aux corbeaux. Ces oiseaux ont un rôle d'importance dans ce roman et nous sommes bien loin des clichés habituels.

Mais, parce qu'il y a mais hélas, je n'ai pas été transportée non plus. Malgré les bonnes trouvailles de l'auteur (dont les Racineurs, j'ai failli les oublier ceux-là), le livre est clairement destiné aux adolescents. Les dialogues sont un peu faibles à mon goût, de même que certaines situations, qui feront certainement sourire des gamins, m'ont fait lever les yeux au ciel. Parvenue aux deux tiers du roman, j'ai failli décrocher, avant qu'un rebondissement original ne me fasse changer d'avis. Enfin, et ça doit être de la déformation professionnelle, aïe, j'ai plus d'une fois grimacé en lisant certaines phrases un peu...maladroites. Je parle bien évidemment de la traduction.

Malgré ces réserves, peut-être dues à mon grand âge, hum, je reconnais qu'est un bon roman jeunesse car le thème abordé me tient particulièrement à coeur. du reste, pour sauver Arborium, nos héros doivent faire preuve de compassion de pitié, s'appuyer sur l'amitié et le courage, bref, mettre en avant des valeurs souvent oubliées dans la vie réelle.

C'est une série en trois tomes, j'espère que le second me semblera moins..."ado".
Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
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Une petite brique sympathique qui plaira à un jeune lectorat pas encore trop exigeant.
Personnellement, j'ai eu du mal à en arriver à bout. Je n'arrivais pas à entrer pleinement dans l'histoire. le livre fonctionne grâce à des mécanismes stéréotypés bien huilés utilisés dans malheureusement pas mal de livres jeunesses : héros pure, gentil et loyal, acolyte un peu lourdeau mais avec un coeur en or, une famille adoptive aimante, un méchant machiavélique et cupide, son fils, le vrai méchant, cruel et orgueilleux,... enfin, peut-être est-ce moi qui est perdu une partie de mon âme d'enfant car mes petits cousins ont beaucoup aimé.
Tout l'univers du roman sylvestre est recherché, super intéressant et bien exploité, c'est le coté que j'ai le plus apprécié du roman. Et il y a un fort message écologique (pas très caché d'ailleurs) véhiculé. le combat entre l'équilibre de la forêt et des êtres qui y vivent et le monde de verre froid et aseptisé qu'est Maw.
En résumé, une lecture sympathique, à conseiller à des jeunes lecteurs avides d'aventures!
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J' ai aimé ce livre car il permet de s' évader.
L' histoire est intéressante car elle raconte qu' un nommé Arktorious Malikum, surnommé Ark, jeune apprenti plombier de quatorze ans, va découvrir un complot contre sa cité qui s' appelle Arborium.
Avec ses amis et sa soeur Shiv, ils vont devoir unir leurs pouvoirs pour sauver la cité d' Arborium des traîtres du roi.
Pendant le voyage, ils vont rencontrer des personnages étranges,des arbres qui ont des pouvoirs étranges, Ark va découvrir aussi que Corwenna, la reine de Ravenwood (la forêt d' Arborium) est en fait ...Je vous laisse lire l' histoire et vous saurez qui est Corwenna, qui sont les amis d' Ark et les traîtres d' Arborium.
Mes personnages préférés sont Ark et ses amis, Shiv car ils vont risqués leurs vie pour sauver Arborium.
Les personnages que je préfère le moins sont les traîtres du roi qui sont du coté du mal.
Les personnages évoluent en découvrant des pouvoirs qu' ils ne connaissaient pas.
Je conseille ce livre car il permet de s' évader, de découvrir des choses inimaginables et ce livre est intéressant à lire.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Les Dendriens naissaient sous toutes les formes, tailles et couleurs. Leur seul signe distinctif consistait en des doigts plus longs afin de mieux agripper les branches et les brindilles.
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A Arborium, les enfants de tous les milieux sociaux fréquentaient ensemble la crèche et l'école primaire de la forêt jusqu'à l'âge de sept ans, riches et pauvres mélangés comme du compost. Ensuite, l'éducation coûtait beaucoup d'argent. Le roi aimait employer des mots comme "égalité" mais la réalité était tout autre.
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Les arbres sont des sanctuaires. Celui qui sait leur parler, les écouter, apprendra la vérité.Ils n' enseignent ni doctrines ni recettes, ils proclament la loi originelle de la vie.
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Le destin est parfois plus dur que le bois de coeur.
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C est pour cette raison que nous nous rendons toujours dans la forêt, pour soulager notre cœur sombre.
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