AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Reine rouge (Juan Gómez-Jurado) tome 2 sur 3
EAN : 9788466666664
478 pages
Pinguin random house (24/10/2019)
3.98/5   141 notes
Résumé :
​Antonia Scott n'a peur de rien, sauf d'elle-même.
Antonia Scott est la pièce maîtresse du projet Reine rouge, créé pour résoudre les crimes les plus retors. Un soir, elle et Jon Gutiérrez, un flic à l'instinct aiguisé, sont sollicités sur une affaire urgente : la disparition de Lola Moreno, la femme de Yuri Voronin, trésorier d'un clan mafieux qui opère dans la zone de Malaga. Cette dernière s'est évaporée dans la nature juste après que quelqu'un a ten... >Voir plus
Que lire après Reine rouge, tome 2 : Louve noire Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (37) Voir plus Ajouter une critique
3,98

sur 141 notes
5
16 avis
4
9 avis
3
9 avis
2
3 avis
1
0 avis
Oh! Nom d'une pipe !!

Si j'avais trouvé le premier tome très bon et addictif, ce n'est rien à côté de celui-ci.
Même si je râle comme un chartier en ce moment parce que les dernières pages sont frustrantes.

Ce roman se lit tout seul.
Et quel plaisir de retrouver ce duo atypique. Les personnages sont vraiment très bien travaillés.

Le scénario est excellent, et le suspens incroyable.
Alors on a bien une fin a ce roman, très bien faite d'ailleurs.
Mais l'annonce d'un tome 3 de cette façon est vraiment frustrante surtout que le tome deux vient juste de sortir ( en français).

Donc un polar d'une grande qualité mais qui maltraite la patience de ses lecteurs.

Je recommande fortement cette série car pour le moment c'est un sans faute.
Commenter  J’apprécie          804
Suite de Reina Roja, Loba Negra est un bon cru. Les personnages, Antonia Scott, et Jon Gutiérrez, le Basque Bondissant, gagnent en profondeur, L'intrigue quant à elle, gagne en piquant quand l'improbable duo doit s'attaquer aux différentes mafias qui gangrènent Marbella. Et il y a de quoi écrire, tant la réalité dépasse la fiction. Corruption, racket, trafic d'êtres humains, prostitution, Juan Gómez-Jurado plante son intrigue dans une ville devenue au fil des années le territoire des Russes (prostitution), des marocains (haschisch), des Albanais (vols)… Loba Negra montre de quelle manière la Costa del Sol fonctionne comme une gigantesque machine à laver pour blanchir l'argent sale. Mais l'auteur fait aussi la part belle à l'humour et aux chansons, on s'amuse en tombant sur certaines paroles comme l'antique Veneno en la piel de Radio Futura au détour d'un chapitre.
L'intrigue est bien construite, la porte est ouverte pour une suite et fin de ce qui est donc la trilogie Antonia Scott (Rey Blanco prévu pour novembre 2020)
C'est le quatrième roman de Juan Gómez-Jurado que je lis. L'auteur s'améliore d'année en année, Loba negra est sans doute son meilleur roman.
Commenter  J’apprécie          600
Ha la Costa del sol, un vrai paradis. Malaga, Marbella, la mer, le soleil, le sable chaud, les bars, la musique, les boîtes de nuit, les restaurants, les boutiques, le chic et ...le moins chic.
Il y a toujours un revers non pour que le beau soit en vitrine? le revers ? C'est que la Costa del Sol est une destination de privilège pour les mafias de ce monde. Pour les trafics de drogue, le blanchiment d'argent, pour les trafics de femmes, pour la prostitution, pour la corruption. Et cela mène inévitablement à des guerres de bandes rivales, à des menaces, à la peur, à des règlements de compte, à des fusillades, à des attaques et à des morts.
Des mafieux connus, chacun sa spécialité: les Russes pour la prostitution, les Albanais pour les vols, les Marocains pour le haschich et ainsi de suite.
Voilà donc que Jon et Antonia seront appelés à se déplacer sur la Costa del Sol afin de retrouver Lola, la jeune épouse d'un truand russe assassiné et donc devront affronter tous ces bandits. Lola qui aime son mari, qui aime le bébé à venir, qui aime les boutiques chics, qui aime ce que l'argent lui apporte et qui lors d'une matinée de magasinage sera la cible des patrons de son mari, mari déjà bien mort.
Je vous dis d'emblée que j'ai adoré retrouvé notre inspecteur plus que musclé Jon et notre cerveau Antonia. On en découvre un peu plus sur eux deux et sur l'organisation pour laquelle ils travaillent.
Le sujet de l'intrigue aurait pu être des plus lourds mais grâce aux chapitres courts, bien rythmés, à l'écriture très visuelle, à l'humour et à la dérision, il n'en est rien. Au contraire, c'est très prenant comme lecture.
Je ne divulgâche rien mais je vous dis que la fin titille notre plaisir de curieux lecteur. Et oui, c'est une certitude, nous retrouverons Antonia et Jon dans le troisième tome « Rey Blanco » que nous attendons avec impatience en français.
Petit conseil, si je peux me permettre, lisez la série dans l'ordre. Vous y aurez plus de plaisir.





Commenter  J’apprécie          300
Après avoir terminé Reine Rouge, il me tardait de lire la suite. C'est chose faite après avoir refermé la dernière page de Louve noire. Et je ne suis pas déçue. C'est dans la même veine. Maintenant il me tarde de lire le dernier opus de cette trilogie, mais il va falloir que je patiente un peu ...

Dans ce 2ème opus, nous retrouvons avec plaisir le binôme formé d'Antonia Scott et de Jon Gutiérrez. Pour ceux qui n'ont pas lu Reine rouge, quelques lignes en introduction rappellent brièvement la situation. Mais, même s'il est toujours préférable de lire les précédents opus, celui-ci peut se lire indépendamment.

Lola Moreno, diabétique et enceinte, vient d'être victime d'une tentative d'assassinat, son garde du corps ayant eu moins de chance a été tué et son mari russe, Yuri Voronin, également. Ce petit monde appartient à un clan mafieux russe, dont le grand patron en Espagne est Aslan Orlov, un homme impitoyable. Notre attachant binôme se reforme pour partir à la recherche de Lola, mais ils ne sont pas les seuls à rechercher cette jeune femme. Orlov a engagé la louve noire, une tueuse à gage redoutable, craint des plus endurcis. Une course contre la montre est déclenchée.

On ne fait pas dans la dentelle et on ne compte plus les morts. Ça ne rigole pas. Antonia, à l'intelligence hors norme qui accroît ses capacités en avalant des gélules chimiques et Jon, policier gay, un tantinet protecteur envers elle, ne ménagent pas leurs efforts et ne sont pas au bout de leur peine.

Ce roman ne manque pas d'action. L'histoire est bien pensée, cohérente, crédible, efficace, le suspense tient la route (et le lecteur), le rythme est soutenu, l'écriture fluide et la fin, un brin frustrante, s'entre ouvre sur le 3ème et dernier opus de cette trilogie, qu'il nous tarde donc d'avoir entre les mains.


Commenter  J’apprécie          210
J'avais beaucoup aimé le tome 1, la reine rouge, et j'ai été ravie d'apprendre la parution en français de ce tome 2. J'ajoute, pour faire bonne mesure (et sans spoiler le dénouement) que j'ai été ravie d'apprendre qu'Antonia et Jon reviendront pour une nouvelle enquête. Yes !!!

Cette enquête n'est pas la suite de la précédente – même si Antonia y pense toujours, il faut dire qu'elle pense beaucoup – mais elle nous plonge dans le pire de ce que l'être humain est capable pour s'enrichir en asservissant d'autres êtres humains – le trafic de drogues, le trafic d'êtres humains, et ce, sans aucun état d'âme. Avec, parfois même, une once de bonne conscience : chacun a droit à sa part du gâteau, non ? Non.

Cette enquête, qui mènera Antonia sur le terrain, la fera basculer. Elle est submergée parce qu'elle voit, par ce qu'elle doit faire, parce qu'elle ne veut pas s'avouer, même si elle en a conscience depuis longtemps. Elle qui n'a pas les codes sociaux et est même à côté; largement, de ceux-ci, a pour contrepoint humain, si humain, Jon, celui qui lui a été assigné comme co-équipier et qui remplit parfaitement sa tâche, simplement parce que ce n'est pas une simple mission, des liens se sont créés avec Antonia.

Louve noire – derrière ce nom, se cache l'étape ultime de la deshumanisation. Les différents camps, celui que l'on pourrait qualifier du bien, celui que l'on pourrait qualifier du mal, sont renvoyés dos à dos parce qu'ils emploient quasiment les mêmes moyens. le tout est d'être le premier camp à les maîtriser. Et tant pis pour ceux que cela choque, comme Jon Gutiérrez, être humain terriblement et profondément humain.

Dans une Espagne qui a lutté contre les violences faites aux femmes, qui se montre féministe dans le vote de certaines lois, la place des femmes n'est pourtant pas aussi assurée que cela. Je ne parle même pas de la place des femmes dans la police : pour monter en grade, il est attendu (encore et toujours) que les femmes doivent se comporter comme des hommes – la référence, comme en beaucoup de domaines, restant encore et toujours l'homme. Lola Moreno est recherchée, menacée parce qu'elle était la femme d'un mafieu – la mafia n'est plus italienne, mais russe. Louve noire est une tueuse, la meilleure qui soit, paraît-il : elle sera là où on ne l'attendra pas, et c'est tout de même bien de lire une intrigue policière qui n'est pas prévisible, ce qui se confirmera encore avec le dénouement.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          120

Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
Jon Gutiérrez n’aime pas les cadavres dans le Manzanares.

Ce n’est pas une question d’esthétique. Celui-là est très déplaisant (il semble avoir passé un certain temps dans l’eau), avec sa peau bleutée couverte de taches violacées, ses mains pratiquement détachées des poignets. Mais il ne peut se permettre de faire la fine bouche.

La nuit est particulièrement sombre, et les réverbères qui éclairent le monde des vivants, six mètres au-dessus d’eux, ne font que densifier les ombres. Le vent arrache d’étranges murmures aux roseaux, et les quatre-vingts centimètres d’eau sont plutôt frais. Après tout, nous sommes dans le Manzanares, il est 23 heures, et février montre déjà sa patte grise à la porte.

Rien de tout cela ne dérange Jon outre mesure, pour la bonne raison qu’il est habitué aux eaux glaciales (il est de Bilbao), aux murmures dans le noir (il est gay) et aux corps sans vie (il est inspecteur de police).

Non, ce qui dérange Jon Gutiérrez, avec les cadavres du Manzanares, c’est d’avoir à leur prendre le pouls.

Je suis vraiment trop con, pense Jon. C’est un boulot de débutant. Mais ces trois demi-portions ne seraient pas foutues de prendre le pouls de leur mère.

Non pas que Jon soit gros. Mais à force d’être toujours le plus balèze dans la pièce, des habitudes s’installent, qu’on le veuille ou non. La sale manie de rendre service. Qui devient une nécessité, quand trois benêts à peine sortis de l’académie manquent de se noyer sous votre nez en jouant les canards dans les roseaux pour tenter de sortir un corps de l’eau.

Par conséquent, Jon enfile une combinaison en plastique blanc, des bottes en caoutchouc, et se jette à l’eau avec un bordeldeputaindevosmères qui fait monter le rouge aux joues aux nouveaux.

L’inspecteur Gutiérrez s’approche à grandes enjambées, déplaçant l’eau et la flicaille en herbe, de l’îlot de végétation où s’est échoué le cadavre. Pris dans des racines, le corps est immergé dans la rivière. Seuls surnagent une tête et un bras. Ballottée par le courant, la victime semble essayer de nager pour échapper à son inexorable destin.

Jon se signe mentalement et plonge les bras sous le cadavre. Il est mou au toucher, et la graisse bouge sous la peau comme si c’était un ballon de baudruche rempli de pâte dentifrice. L’inspecteur tire. De toutes ses forces de harrijasotzaile – de leveur de pierre. Les bons jours, il soulève pas loin de trois cents kilos. Il plante ses jambes dans le sol.

Je vais leur montrer, aux blancs-becs.

Ses énormes bras se tendent, et alors il se passe deux choses en même temps.

La deuxième : le corps ne bouge pas d’un centimètre.

La première : le fond sablonneux de la rivière avale le pied droit de l’inspecteur, qui tombe sur le cul au milieu du courant.

Jon n’est pas du genre à chouiner ou à se plaindre pour un rien. Mais les rires des blancs-becs se font entendre par-dessus le bruit de l’eau, par-dessus les murmures du vent dans les roseaux et même par-dessus ses propres jurons. Si bien que Jon, de l’eau jusqu’aux épaules et l’orgueil blessé, s’autorise un instant à céder au réflexe – très humain – de s’apitoyer sur son sort et de rejeter la responsabilité de ses malheurs sur autrui.
Commenter  J’apprécie          70
.

COSTA DEL SOL (on lave plus blanc que blanc) ?

La rue est un enchevêtrement de voitures de luxe, de costumes bon marché et de mauvais goût. Des hommes d’âge moyen, au ventre proéminent. À l’arrière-plan, des femmes jeunes, très maquillées, les suivent en silence, le pas mal assuré sur les dalles rainurées de Marbella, ennemies des talons hauts.

Ils sont tous là. Une convention de mafieux, un congrès des pires pourritures. Le trottoir bondé, où ils fument, racontent des blagues et conspirent à voix basse, est une mappemonde.

Aslan déambule parmi eux, saluant par ordre d’importance ou de volume d’affaires.
D’abord les vori d’autres bratva, d’autres confréries. Rivales. Fières.
Ensuite les Colombiens. Ils louent des tueurs à gages, organisent des enlèvements, importent de la cocaïne. Des clients. Mielleux.
Les Algériens, à qui il prête de l’argent pour qu’ils importent du hachisch. Des subordonnés. Menteurs.
Les Suédois, qui paient le triple pour importer un kilo de coke jusque là-haut. Toujours en train de mendier un rabais. Prévisibles. Radins.
Les Kosovars et les Roumains. Voleurs, falsificateurs, importateurs d’armes. De la chair à canon. Instables.

Quand il est certain de n’avoir oublié personne, il s’arrête devant la porte de l’église, lisse sa veste et pose un pied sur la marche de l’entrée. C’est un signal tacite, que tous comprennent et auquel tous réagissent.




.
Commenter  J’apprécie          20
C'est pourquoi il ne dit pas :
« Nos démons ne s'en vont jamais, Antonia. Tout ca nous pouvons faire, c'est être encore plus forts, »
Et elle ne lui répond pas :
Je suis fatiguée, Jon. Fatiguée de la cruauté de l'être humain. Fatiguée de toute la douleur que je perçois. J'ai comme des éclats de verre dans la tête, dont je ne peux pas me débarrasser. "
Et il ne répond pas :
"Je suis peut-être con, gay. Peut-être même gros. Mais grâce à Dieu, je suis là. Je suis là. »
Ils ne se disent rien de tout cela, parce que la vie n'est pas un film où un million d'émotions complexes tiennent dans un dialogue millimétré, tandis que Michael Giacchino, Thomas Newman ou Quincy Jones soulignent le tout d'une bande-son émouvante. Ils ne se disent rien, et se contentent de rester assis dans la voiture, ensemble. En silence.
Commenter  J’apprécie          20
.

— Saviez-vous que Litvinenko s’était rendu à Marbella avant que le Kremlin ne se débarrasse de lui ?
Jon se rappelle l’affaire. C’était un espion du FSB, qui avait révélé les liens entre la mafia et le gouvernement russe. Quelqu’un avait sucré son thé au polonium radioactif et transformé ses reins en une succursale de Tchernobyl.
— Je croyais qu’il était mort à Londres.
— Il est venu ici trois mois avant. Je l’ai interrogé moi-même. À l’époque, j’étais inspectrice, comme vous. Il nous a appris beaucoup de choses, et nous en avons appris encore davantage ces quinze dernières années. Nous savons que la mafia russe n’existe pas. Qu’il s’agit d’une centaine d’organisations, dans treize pays. Avec un milliard d’alliances complexes. Les Géorgiens haïssent les Ouzbeks, mais ils les soutiennent face aux Russes de l’oblast de Tambov. La Tambovskaïa est en guerre contre la Malichevskaïa, mais seulement en Russie. Ici, les deux se tolèrent.
— Sacré bordel.



.
Commenter  J’apprécie          10
.
¿ C VRAI ÇA ?


— Peut-être que je ne suis pas faite pour être mère.
— Trésor, aucune femme n’est faite pour être mère. On vous met un truc là-dedans, et pop, il en sort un petit monstre qui vous chamboule la vie, et vous croyez que les hormones vont débarquer en chantant un hymne à la maternité pour vous transformer en supermaman. Spoiler : NON.
Commenter  J’apprécie          40

Videos de Juan Gómez-Jurado (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Juan Gómez-Jurado
Attention !!! Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donnent rendez-vous chaque samedi à 14h00 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • • Cézembre de Hélène Gestern aux éditions Grasset https://www.lagriffenoire.com/cezembre.html • 555 de Hélène Gestern aux éditions Folio https://www.lagriffenoire.com/555-2.html • Au nord de la frontière de R.J. Ellory et Fabrice Pointeau aux éditions Sonatine https://www.lagriffenoire.com/au-nord-de-la-frontiere.html • Flic guérisseur: Servir et soigner de Robert Martin aux éditions Mama https://www.lagriffenoire.com/flic-guerisseur-servir-et-soigner.html • Les Gosses de Valérie Clo aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/les-gosses-1.html • La gosse de Nadia Daam aux éditions Grasset https://www.lagriffenoire.com/la-gosse.html • Mes nuits sans Bardot de Simonetta Greggio aux éditions Albin Michel https://www.lagriffenoire.com/mes-nuits-sans-bardot.html • le Livre, c'est... De Collectif aux éditions Fleuve https://www.lagriffenoire.com/le-livre-c-est.html • Trois femmes de la Baltique - Jenny de Ann-Christin Antell aux éditions Hachette Fictions https://www.lagriffenoire.com/trois-femmes-de-la-baltique-jenny.html • Toilettes pour femmes de Marilyn French, Philippe Guilhon, Sarah Idrissi aux éditions Robert Laffont https://www.lagriffenoire.com/toilettes-pour-femmes.html • Beyrouth-sur-Seine de Sabyl Ghoussoubaux éditions Points https://www.lagriffenoire.com/beyrouth-sur-seine-4.html • Louve Noire de Juan Gomez-Jurado, Judith Vernant aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/louve-noire-1.html • Roi blanc de Juan Gomez-Jurado, Judith Vernant aux éditions Fleuve Noir https://www.lagriffenoire.com/roi-blanc.html • Reine Rouge de Juan Gomez-Jurado, Judith Vernant aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/reine-rouge-1.html • Fille, 1983 de Linn Ullmann, Jean-Baptiste Coursaud aux éditions Bourgeois https://www.lagriffenoire.com/fille-1983.html • Les Oracles de Margaret Kennedy et Anne-Sylvie Homassel aux éditions de la Table Ronde https://www.lagri
+ Lire la suite
autres livres classés : thrillerVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (373) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2864 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..