Rien n'est éternel

Mauvais temps oblige, je me suis rabattue sur des taches que je repoussais depuis fort fort longtemps comme par exemple ranger et classer ma bibliothèque et faire le point sur les livres qui composent ma PAL qui est, il faut le dire, assez gigantesque…
J'ai donc retrouvé certains livres dont je ne me rappelais même pas l'existence. Et pire encore, je ne sais même plus si certains de ces livres ont été achetés par ma petite personne (ne parlons même pas du motif au vu de certains titres) ou s'ils m'ont été offerts.
Quoique il me semble que celui-ci je l'ai récupéré dans un carton donné par une amie lors de l'institutionnalisation d'une de ses parentes…
Je n'avais aucun à priori négatif en me lançant dans cette lecture, d'autant plus que j'avais déjà lu et apprécié une oeuvre de Sidney Sheldon : Rien n'est éternel.
Ce livre est étiquetté thriller médical, et ma foi, je trouve qu'il y a tromperie sur la marchandise, même si le postulat de départ pourrait le laisser croire…
Une médecin, Paige Taylor se retrouve sur les bancs des accusés pour avoir abrégé la vie d'un de ses patients qui l'a en plus fait hériter d'un million de dollards….
C'est avec une rétrospective de la carrière de la jeune femme que nous allons comprendre comment elle en est arrivée là.
Même si l'écriture de l'auteur est agréable à lire, je me suis passablement ennuyée à la lecture de cette histoire qui relate une tranche de vie dans la carrière de trois jeunes femmes médecins….Dans le même genre, je trouve que Barbara Wood a fait mieux avec Les battements du coeur »

Bref, sitôt lu, sitôt oublié....

L'histoire commence au tribunal : une jeune médecin, Paige Taylor, est accusée d'avoir délibérément abrégé la vie d'un de ses patients afin de récupérer son héritage. Les accusations tombent , le verdict semble plutôt défavorable. Pour comprendre comment cette brillante jeune fille en vient à frôler la peine de mort, la suite du livre retrace son arrivée à l'hôpital et son amitié avec ses deux collègues aux destins également tumultueux.
Une fois passées les premières pages du procès, le roman se lit sans relâche !