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Sexy cosplay doll tome 1 sur 11
EAN : 9782505076759
202 pages
Kana (25/10/2019)
4.13/5   60 notes
Résumé :
Wakana Gojo est un lycéen solitaire. Son rêve est de devenir artisan et de fabriquer les poupées traditionnelles pour le Hina Matsuri. Mais comme cette passion n'est pas très virile, il la cache et ne se fait pas remarquer. Jusqu'au jour ou Marine Kitagawa, la fille la plus populaire du lycée, le voit se servir d'une machine à coudre ! Contre toute attente elle lui demande de devenir son couturier pour réaliser... des tenues de cosplay !
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Sexy cosplay doll, (tome 1/11) By Shinichi Fukuda (Japonaise). 202 pages - Kana – 25 Octobre 2019

Big Kana, marqué comme Ecchi en début de texte, une première de couverture mignonne et voilà… le ton est donné !

On pourrait croire que ce manga prendrait un tournure insipide de par son sujet, mais le ton de Maestro est donné. Une vraie tranche de vie.

Le rêve du héros est devenir créateur de poupées de tradition et il ment à son papy en lui disant qu'il s'est fait des amis. Je suis sûr que ça viendra vite, cependant !

Gôjo (dénomination du personnage principal) est tout gêné quand la moindre fille s'approche de Lui (Grand ressort scénaristique Japonais selon lesquels ça « saigne du nez » à tout propos (je pense que vous voyez ce que je veux dire))… Un petit bout de poitrine et le voilà en sueur…
Marine (celle qui s'intéresse probablement à Gôjo) sait se défendre, elle est traitée d'Otaku… Alors que peut-être ça pourrait marcher avec Gôjo.

Le PP ne se sent pas à sa place dans ce monde. Normal il n'a pas du tout les même centres d'intérêts. Il n'a même jamais rien connu d'autre que cette solitude.
Marine s'énerve : « Ils ne comptent pas sur Toi, ils te prennent pour un larbin, c'est différent »
« Tous ce que tu ressens … Tu devrais le dire aux autres, ça te ferait du bien et ça t'aiderait. »
A la fois on pouvait s'y attendre mais ça reste quand même surprenant de voir l'amour naître entre Gôjo et Marine. (Ou du moins la drague !).

Des fois ça me gave ces « spécialisations à outrance » ainsi que j'en avais parlé avec le manga sur la nourriture mais je dois dire que cet univers de couture me laisse un assez bon souvenir. le côté aguicheur en plus, peut-être.

Marine demande à Gôjo de lui confectionner des cosplays. Elle lui fait part de son envie de devenir « une esclave sexuelle » en cosplay car elle a aimée lire ça dans un manga.

Un message de tolérance « ça n'a rien à voir qu'on soit une fille ou un garçon, non ? »

Je trouve ça fun que Marine soit si appliquée dans sa relation avec Gôjo alors qu'elle pourrait s'habiller d'un simple sac poubelle, ce serait déjà largement suffisant.

Hélas (mais cela sert l'intrigue) Gôjo pense avoir des « pensées impures » vis-à-vis de sa collègue. La seule raison à cela est que sinon ils sauraient couchés ensembles déjà. Et on veut temporiser un peu.

Les protagonistes sont au Lycée alors euh disons que ça me dérange un peu de lire du sexy chez des personnages si jeunes. Mais bon, il est admis, qu'en littérature, tout est permis…

Le pauvre Gôjo est traumatisé et n'arrive pas à profiter des plaisirs simples qui s'offrent à Lui généreusement pourtant.

On comprend bien le côté « doll » car Marine se laisse mesurer de toute les côtés. Pire que ça, elle le réclame en mode « oh c'est trois fois rien »…
Au bout de 132 pages il ne s'est toujours rien passé de X (Ecchi) mais je reste pour L Histoire.

J'ai apprécié ce récit jeune et revigorant. Tel que je le vois, il aurait fallu boucler l'histoire un peu plus vite (11 tomes sont déjà sortis). Car là je ne vois pas trop comment l'intrigue pourrait tenir longtemps sans s'ankyloser. Mais allez-y … Surprenez moi Madame Fukuda ! ; -)

Je n'ai fait que semer les graines, à vous de voir si vous voulez le faire pousser dans votre jardin.

(NB je me trouve quelque part entre 4,5/5 et 5/5 alors je vais mettre 5/5 car ça m'a amusé et ça m'a fait du bien MAIS ce n'est pas synonyme de perfection, soyons d'accord!).

Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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Shinichi FUKUDA est une mangaka en activité depuis maintenant 10, ayant débuté avec Shibaru, suivi l'année d'après par le one-shot Heavy Mecha Blues. En 2012, elle revient avec Memoire Meloik en 10 tomes. Sexy Cosplay Doll (Sono Bisque Doll wa Koi wo suru en VO) est une série en cours depuis 2018 avec 4 tomes aux éditions Square Enix (Black Butler, Red Eyes Sword – Akame ga Kill !). En France, le titre intègre la collection Big Kana de KANA pour, ce cas précis, contenu explicite.

Wakana Gojô est un lycéen qui se place plutôt du côté des adolescents passe-partout, ne faisant pas partie de la clique des populaire. Effacé, timide (mais adorable) et peu sûr de lui Gojô a une passion qu'il n'a jamais dite à personne : il aime les poupées traditionnelles japonaises (Hina) dont il apprend la fabrication auprès de son grand-père. Un jour en salle de couture il va être surpris par Marine Kitagawa, la coqueluche de sa classe. Gêné et prêt à entendre la jeune fille se moquer de lui, il va être surpris quand elle tombe en admiration sur son travail. Mais une autre surprise l'attend, quand celle-ci lui demande s'il peut lui faire son costume de cosplay… passion à laquelle elle se dévoue entièrement.

Sexy Cosplay Doll s'inscrit dans deux registres différents : la comédie et le tranche-de-vie. La partie dite d'humour vient des situations gênantes que va vivre Gojô en fréquentant la pétillante Kitagawa. le côté tranche-de-vie dresse un début de critique intéressant sur la place que l'on peut avoir en tant qu'individu dans la société, notamment dans un groupe de personnes de notre âge (ou pas). Gojô en parle assez bien quand il voit Kitagawa entourée de ses amies, dans un monde très différent du sien. La mise en scène de ce passage vient appuyer ce propos. Assis en classe, Kitagawa debout souriante de l'autre côté de la salle, et la mangaka qui exploite cette sensation de vide qui entoure le garçon. L'association du monologue intérieur et du visuel fonctionne parfaitement pour exprimer ce que la majorité d'entre nous a déjà ressenti : être différent, ne pas rentrer dans le moule, etc. le thème du cosplay en est une belle représentation. Oui, qui n'a jamais rêvé d'être quelqu'un d'autre le temps d'un jour ou d'une vie ? Qui n'a jamais voulu devenir un super-héros, un vilain ou un personnage de fiction que l'on affectionne, admire, voire envie ? Si pour le moment Kitagawa se place en tant que fangirl de cet art, il serait intéressant de voir si la mangaka utilise cet artifice physique pour exprimer un sentiment de différence que peut avoir l'adolescente. Après tout, ce n'est pas parce qu'elle est adorée de tous qu'elle s'aime forcément. En tout cas, si la mangaka va dans cette direction, cela apporterait énormément au titre. Ensuite, le cosplay est développé d'une manière ludique et très intéressante à découvrir que l'on soit fan ou pas. Si pour le public lambda cela est le plus souvent un passe-temps inutile ou fun à faire une fois pour le carnaval ou Halloween, pour ceux qui le pratiquent c'est un vrai travail. Patience, concentration, énergie, et inventivité sont les principaux traits qu'il faut avoir pour se lancer dans l'aventure. Ici, FUKUDA nous explique les aspects et les choses à savoir pour parvenir à réussir le meilleur des costumes. D'ailleurs, Gojô est un peu le lecteur qui ne connaît que très peu de choses sur le sujet, pour ne pas dire rien. Au fur et à mesure, nous apprenons avec lui ce qu'est plus concrètement le cosplay. Il serait bon que dans le futur, la mangaka applique ce même principe au hobby des poupées Hina de Gojô, car c'est peut-être plus obscure pour le lectorat. En tout cas, pour moi oui.

L'alchimie entre les deux fonctionne et on apprécie de voir leur amitié se construire de fil en aiguilleOn sent aussi que chacun est quelque peu troublé par l'autre. Après difficile de savoir si c'est parce que Kitagawa est une fille que Gojô est troublé et inversement. le titre étant un Seinen que l'éditeur KANA sous-titre comme “attention titre sexy” et que ce même mot se trouve dans… le titre de la série, il n'est pas étrange de voir un peu plus de peau à l'air. Si cela ne dérange pas au début on ne peut pas nier que c'est du fan service. Néanmoins, ça n'empêche pas de parfois souhaiter en voir moins. Si on devait le comparer à un titre du même éditeur que Square Enix, à ce niveau, on pense à Dusk Maiden of Amnesia.

Ce qui nous amène au dessin au trait volupté avec des corps mis en avant, que féminins pour le moment, ce qui fait un peu rouler des yeux. Bref. Il y a du travail au niveau des regards, expressions et aussi vestimentaire avec une Kitagawa que l'on sent tendance et soucieuse de son apparence. le décor est suffisant. Quand le focus principal doit être sur une situation avec nos héros ou sur un moment fan service, la mangaka a tendance à faire dans le minime, par exemple. L'édition de KANA est bonne avec une traduction moderne et respectueuse des termes concernant les poupées et le cosplay, que l'on doit à Aline Kudor (Otaku Otaku, Bloom Into You, From End).

En conclusion, un premier tome intéressant par les thèmes qu'il met en place. La passion en tant qu'individu, parfois hors du commun, est aussi bien présentée et on a hâte de voir le tout s'exprimer davantage. Shinichi FUKUDA offre un bon début aux personnages attachants, dynamique, amusants, passionnés et dont l'entente fonctionne merveilleusement.
Lien : https://lireenbulles.wordpre..
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On fait la connaissance d'un garçon très renfermé qui est d'ailleurs assez isolé au lycée. En réalité, il confectionne des poupées traditionnelles japonaises avec son grand-père qui tient un atelier. Notre héros est plutôt doué pour la couture. Cela ne colle pas vraiment avec l'idée qu'on se fait d'un garçon de 15 ans.

Cela tombe bien car il va faire connaissance de la star du lycée qui se révèle être une cosplay. Là encore et comme pour les otaku, elle fait dans la cachotterie de bon aloi. Elle lui demande de confectionner sa tenue pour un festival. A noter qu'elle est plutôt bien formée et assez coquine. Cela va donner lieu à des situations assez embarrassantes pour lui mais très marrantes.

Le titre faisait assez aguicheur ainsi que la couverture. Ce titre était parti pour ne pas me plaire. Eh bien, c'est tout le contraire qui s'est passé. Il ne faut pas s'attacher à ces détails mais lire le contenu pour se rendre compte de la qualité. Maintenant, cela ne sera pas le manga du siècle bien entendu mais ce manga se défend plutôt bien à commencer par un graphisme plutôt soigneux.

Pour le reste, ce n'est que du divertissement et de l'humour pour notre plus grand plaisir. La moralité est qu'il ne faut pas se fier aux apparences et qu'il n'y a pas de tâche réservée aux hommes et d'autres aux femmes. La théorie du genre a vécu.
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En me lançant dans la lecture des mangas, je ne savais pas vraiment quels genres explorer. En voulant rester dans la romance, je sais que cela aurait été réducteur et j'avais envie de me laisser guider par les couvertures...

J'ai donc tout de suite craqué pour [Sexy cosplay doll] de Shinichi Fukuda aux @editions_kana_officiel Ce manga se classe donc en Seinen. C'est un titre sexy, très sexy.

Wannna Gojo est solitaire, il n'a jamais réellement su se faire des amis, son rêve ? Devenir artisant et fabriquer des poupées traditionnelles. Sa passion est pour le moins atypique et pourtant cela fait son bonheur. Il sait se faire discret, n'attire jamais l'attention sur lui, jusqu'à ce Marine Kitagawa, la fille la plus populaire du lycée découvre qu'il sait se servir d'une machine à coudre... Une aubaine pour elle qui lui demande instantanément de réaliser ses tenues de cosplay... Rêve ou réalité ? Gojo ne s'attendait absolument pas à cet étrange arrangement. Mais comment résister à Marine qui rêve d'incarner son héroïne favorite ?

Ce premier tome est addictif ! On a deux personnages que tout oppose en apparence mais qui ont plus en commun qu'il n'y paraît. le style du mangaka est précis, les émotions affluent et on se laisse embarquer dans l'univers de nos héros. Les dessins sont sublimes, les reparties pleines de piquant et mon Dieu, que d'humour. le contenu sexy reste assez sage en étant tout de même destiné à un public averti. J'ai trouvé les traits des dessins très complexes et j'ai été happée par tout ce que nos héros ont vécu dans ce premier tome.

J'adore les cosplayeurs, et ici avec Marine on découvre vraiment que c'est très répandu, c'est loin d'être juste une mode, elle en parle très bien à Gojo pour le convaincre de réaliser son costume.

En bref ! Je suis conquise ! J'ai adoré du début à la fin. Je trépigne d'impatience de retrouver Gojo et Marine dans la suite de leurs aventures. Ce début de série est plus que prometteur !
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Sexy Cosplay Doll, le manga qui nous parle du cosplay au Japon. Alors que l'histoire se veut être fraîche, rigolote et décalé, a fait hérissé mon poil de cosplayeuse française...

Étant moi même cosplayeuse, je me suis laissé allé à cette thématique qui m'est très familière. C'est avec un oeil très critique que je vous parle de cette histoire

Dans ce manga, il y a une jeune fille très populaire qui est passionné par les costumes de cosplay, mais qui débute dans le milieu et a des difficulté pour donner vie au personnage qu'elle aimerai interpréter. Et il y a un garçon introverti qui travaille avec acharnement a la fabrication de poupée japonaise, c'est une tradition de famille et il n'ose pas dévoiler son secret par peur des moqueries.

Tout deux vont se rencontrer par hasard et vont s'entraider dans leurs vies, notamment en créant ensemble le costume des rêves de notre jeune héroïne.

De mon point de vu, j'ai trouvé cette histoire trop poussé sur le côté sexy des cosplayeuses, comme si les filles qui veulent faire du cosplay se doivent de faire des costumes attrayant et d'être attirante... Alors que pas du tout !

Le cosplay, c'est pour tout le monde ! Si tu es une jeune femme et que tu veux débuter dans le cosplay, tu n'es pas obligé de commencer par faire du sexy, tu peux même devenir un personnage masculin. Si tu es un homme, tu peux aussi faire du cosplay, ce n'est pas réserver qu'aux filles, et tu peux même prendre l'apparence d'un personnage féminin.

Mais surtout, tu n'es pas obligé de faire ton costume toi-même, achète le si tu préfères, mais surtout amuse toi à être qui veux !
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critiques presse (1)
Actualitte
20 novembre 2019
C'est mignon, on se marre bien, c'est sexy à en mourir, et le combo fonctionne ! On se plait à découvrir ces jeunes gens que tout oppose se rassembler sur une passion commune avec toute la maladresse possible. On s'amuse à voir leur relation évoluer avec tendresse et timidité.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
« Tous ce que tu ressens … Tu devrais le dire aux autres, ça te ferait du bien et ça t’aiderait. »
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La vertu sans mérite n’est rien d’autre qu’un déguisement de carnaval.
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Les goûts et les couleurs, ça n'a rien à voir avec le fait qu'on une fille ou un garçon
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« Ils ne comptent pas sur Toi, ils te prennent pour un larbin, c’est différent »
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