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EAN : 9782823613919
272 pages
Editions de l'Olivier (06/06/2019)
3.48/5   103 notes
Résumé :
Prenez la route après le pub, suivez la ruelle aux murs de brique. Si les conditions sont réunies, vous devriez trouver l'entrée de Slade House. Une inconnue vous y accueillera, et vous proposera d'y entrer. Au début, vous n'aurez pas envie d'en partir. Ensuite, vous vous rendrez compte que partir est impossible...

Tous les neuf ans, les habitants de la maison – un frère et une sœur – proposent à quelqu'un de les rejoindre – quelqu'un de différent, de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Des jumeaux télépathes, une antique maison trop stylé, une porte métallique qui apparaît comme par enchantement tous les 9 ans, des gens qui disparaissent moins par enchantement, une ambiance aussi fourbe que ce moustique qui ruine ma nuit.
Comment parler de Slade House sans en dévoiler trop?
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Mais qu'arrive-t-il au si talentueux David Mitchell ? Il m'avait habitué à beaucoup de surprises et d'habileté dans ses narrations, chaque fois très différentes. Et ici il semble bloqué sur son précédent roman, “L'âme des horloges”. Evidemment le récit horrifique est puissant, le savoir-faire de son auteur certain mais j'ai pourtant été déçu par cette redite partielle.

Le mythe de la maison maléfique est un sujet classique de la littérature fantastique, de Poe à Lovecraft pour ne citer que les maîtres du genre. Tous les neuf ans cette maison et ses deux occupants permanents ont besoin de chair fraîche pour maintenir leur existence dans une bulle de temps. Slade House est particulière et tout nous sera révélé par des récits pourtant piégés, qui oscillent entre réalité et mise en scène diabolique.

La note de trois sur cinq me semble justifiée car si ce roman se laisse lire avec beaucoup d'intérêt, de passion même parfois, David Mitchell peut vraiment mieux faire. Et pour un lecteur qui souhaiterait le découvrir je conseillerai plutôt “écrits fantômes” ou “le fond des forêts” comme premier choix.
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David Mitchell, né en 1969 à Southport, est un romancier anglais. Après avoir étudié la littérature anglaise et américaine à l'Université du Kent avant de poursuivre par un Master of Arts en littérature comparée il a vécu un an en Sicile, puis a déménagé à Hiroshima, où il a enseigné l'anglais technique à des étudiants pendant huit ans, avant de retourner en Europe pour s'installer en Irlande, où il habite actuellement avec sa femme japonaise et leurs deux enfants. Son septième roman, Slade House, vient de paraître.
Plantons le décor immédiatement, il s'agit d'une histoire de maison hantée et de ce genre de littérature.
Année 1959. Invités à une réception musicale, Nathan et sa mère se rendent à l'adresse prévue dans Slade Alley. Après de longues recherches pour trouver la demeure, Slade House, puis passé une minuscule porte (comme dans Alice aux Pays des Merveilles) ils pénètrent dans un immense jardin et rencontrent leur hôtesse, Lady Grayer. L'enfant et sa mère ne réapparaîtront plus. Disparus à jamais. Neuf ans plus tard, en 1988, Gordon Edmunds de la brigade criminelle, après le même parcours, s'évanouit dans cette maison maudite…
Le roman est découpé en cinq chapitres se déroulant chacun à neuf ans d'intervalle. A chaque fois, le scénario est le même, des personnages enquêtent sur la disparition précédente, peinent à trouver la maison, s'y aventurent et disparaissent à leur tour. Cette construction narrative en spirale est le bon point que j'accorderai à ce roman. C'est même la seule chose réellement bien du bouquin.
Sans trop entrer dans les détails, il s'agit d'une histoire de vampires revisitée en buveurs d'âmes. Ici on ne pompe pas le sang des victimes, on aspire leur âme pour s'assurer une vie éternelle ; exercice qui doit être renouvelé tous les neuf ans. le lecteur devra donc faire fi de toute logique pour accepter les carabistouilles assez tortueuses déployées par l'écrivain mais c'est la loi du genre.
Qu'ai-je pensé de ce livre vous demandez-vous : je ne sais pas trop. Il est beaucoup moins bien que ce qu'en disent certaines critiques professionnelles lues dans la presse, mais il n'est pas désagréable à lire non plus. Un roman un peu souriant parfois, un peu énigmatique aussi, avec un peu de suspense, un peu long dans ses explications sensées nous faire comprendre comment fonctionne le processus des « buveurs d'âmes » et paradoxalement, en rompant le charme de l'ignorance, le récit perd beaucoup de son intérêt.
Un livre fait de beaucoup de « un peu »…. Je vous laisse en déduire un avis pertinent.
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Révélé par son roman choral Cartographie des Nuages (et par la sublime adaptation filmique Cloud Atlas qu'en ont tiré les soeurs Wachowski), le britannique David Mitchell n'a eu de cesse de poursuivre son exploration des territoires imaginaires avec des romans aussi singuliers que le Fond des Forêts ou, plus récemment, L'âmes des horloges.
Pour accompagner la sortie de ce dernier, David Mitchell publie en juillet 2014 une nouvelle — The Right Short / Comme il faut — sur Twitter. Visiblement inspiré par ce premier jet, l'anglais prolonge cette histoire avec quatre autres récits pour en faire un roman intitulé Slade House.
Septième roman de l'auteur qui n'est parfois pas sans rappeler l'excellent souvenir de la Maison des Feuilles de Mark Z. Danielewski, Slade House recycle le vieux mythe de la maison hantée pour amuser et terrifier son lecteur.

Boucle temporelle
Comme la quasi-totalité des romans de David Mitchell, Slade House peut se concevoir comme un roman choral ou un fix-up de nouvelles. Cette fois, le britannique entraîne le lecteur à la suite de cinq personnages différents qui ont tous en commun d'arriver à un moment ou un autre dans la fameuse Slade House, une immense demeure au style Victorien cachée aux yeux du monde et que l'on trouve une fois tous les neuf ans en empruntant l'étroite Slade Alley et la petite porte-sas qui s'y dissimule.
Employant un motif beaucoup plus répétitif que dans ses autres oeuvres, Slade House s'affirme très clairement comme une expérience littéraire autour de la maison hantée qui finira par trouver sa place dans l'univers de L'âme des Horloges, précédent roman-monstre de l'auteur.
Rassurez-vous cependant, il n'y a aucune nécessité d'avoir lu L'âme des Horloges auparavant pour apprécier l'aventure.
L'essentiel ici, c'est l'exercice de voyage à travers le temps qui rappelle celui de Cartographie des Nuages et qui permet d'apprécier les changements d'époque et de style en regard de l'attitude et de l'attente des personnages des différentes sous-parties.
De façon récurrente, chaque histoire présente une personne (ou un groupe de personnes pour Gruik-Gruik) qui va se retrouver par hasard ou à dessein dans l'étrange Slade House. Qu'il s'agisse d'un enfant précoce accompagnant sa mère pour une audition, d'un inspecteur sur les traces d'une mystérieuse disparition ou d'un groupe d'adolescents fans de phénomènes paranormaux. À chaque fois, le motif s'avère le même : présentation du contexte, découverte de la Slade House, glissement vers l'étrange/l'horreur et chute. Toutes les sous-parties (qui pourraient d'ailleurs êtres autant de nouvelles différentes) s'articulent ainsi à l'exception peut-être de l'avant-dernière, Tu nous as bien caché ça, qui sert de prétexte à David Mitchell pour donner un background à ses deux méchants de service, les jumeaux Norah et Jonah Grayer.
Si cette structure répétitive peut sembler lassante et pesante, l'habilité bien connue de l'auteur pour se renouveler et la lente construction de sa mythologie permettent à Slade House de faire oublier ce défaut de conception.

Les montagnes russes de l'horreur
Le secret de Slade House pour ne pas lasser, c'est la plume légère et futée d'un David Mitchell qui s'amuse visiblement beaucoup à façonner comme il l'entend sa propre maison hantée et ses propres fantômes. le britannique recycle les poncifs et tord le concept grâce à des bonds temporels — la maison ne se révélant que tous les neuf ans — pour emmener le lecteur au sein d'une bâtisse qui semble sans cesse muer grâce au changement d'époque et de narrateur. Ainsi, si la première partie convoque une ambiance victorienne et un fantastique insidieux culminant en une chute horrifique assumée, la seconde se tourne vers l'enquête policière par les yeux d'un flic raciste et violent tandis que la troisième exploite le drama adolescent saupoudré d'un arrière-goût de journal intime.
En changeant constamment d'angle d'attaque tout en donnant au lecteur des points de repères qui, eux, ne changent pas — la maison, la porte-sas, les jumeaux, la finalité du piège… — David Mitchell construit quelque chose d'à la fois fun et stimulant qui confère à Slade House un côté page-turner remarquable.
En multipliant de même les visions horrifiques et la façon de raconter l'horreur, le britannique joue avec son lecteur et le pousse à chercher les motifs récurrents et les personnages-pièges de ses histoires.
Ludique, le roman n'en oublie pourtant pas de mettre en place un background cohérent, longuement détaillé dans la quatrième partie et qui invite toutes sortes de magies et de phénomènes occultes dans la danse.
Sous les oripeaux d'un récit d'horreur à tiroirs, Slade House s'amuse et nous avec.

Entreprise récréative mais maligne, Slade House offre l'occasion à David Mitchell de tordre le mythe de la maison hantée et de rajouter une pierre à son univers personnel. Drôle, terrifiant, intelligent et ludique, voici un roman qui risque fort de vous entraîner jusqu'au bout de la nuit.
Lien : https://justaword.fr/slade-h..
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Slade House est une belle demeure dissimulée au coeur d'une ville anglaise, probablement Southampton.
Nichée dans un écrin de verdure, elle n'est accessible que par une petite porte dérobée difficile à repérer. Et pour cause, Slade House n'est accessible que tous les neuf ans, pendant une courte période. de plus, comment expliquer qu'une demeure aussi vaste puisse se loger dans un espace aussi étriquer, en plaine ville ? Ceux qui y sont alors invité n'ont aucune idée du piège qui se referme sur eux.
Avec Slade House, David Mitchell s'essaye à une forme plus courte, mais reste fidèle à son univers. le récit s'articule autour de 5 chapitres, correspondant à 5 "apparitions" de la maison. A chaque chapitre, son narrateur. Et, comme à son habitude, David Mitchell mulitplie les connections avec ses autres romans. Au détour d'une phrase, il évoque un personnage de Cloud Atlas où aux 1000 automnes de Jacob de Zoet. Mais c'est surtout à L'âme des horloges que se réfère ce roman. Même s'ils peuvent être lu indépendemment l'un de l'autre, Ils utilisent les mêmes éléments et un personnages central du premier joue également un rôle prépendérant dans le dernier chapitre de celui-ci. Et des références discrètes à Sense8, la série des Wachowski à laquelle l'auteur a contribué, sont aussi dissimulées.
Avec Slade House, David Mitchell s'essaye à une récit franchement fantastique. Il s'amuse visiblement en mettant en scène cette histoire. On se surprend à dénicher les anomalies qui devraient mettre la puce à l'oreille des invités, même si la formule devient vite un peu répétitive. le résultat est un petit livre plutôt ludique et plaisant, mais qui ne présente pas un intérêt particulier, hormis pour les amateurs de David Mitchell. Ceux-ci y trouveront le plaisir supplémentaire du jeu de piste mis en place par l'auteur depuis son premier livre. Pour les néophytes, ils trouveront un livre plaisant, mais sans plus.
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critiques presse (2)
Elbakin.net
27 janvier 2020
David Mitchell, nous livre un bon roman, qui sans être à la hauteur de ses romans précédent, à le mérite de revisiter le genre horrifique avec son style si particulier.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
LeMonde
17 juin 2019
Tous les neuf ans, cette demeure accueille et piège des visiteurs. A chacun des cinq récits composant le septième roman de David Mitchell, l’épouvante grandit.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Imaginez, en l'espace de vingt, trente, cinquante ans, on serait vingt, trente, cent milliards d'êtres humains à cannibaliser un monde ravagé. On se noierait dans notre propre merde tout en continuant à s'entre tuer pour le dernier sachet de soupe lyophilisée du dernier supermarché qui tient encore debout.
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« Nos hôtes. Les jumeaux. Je les ai… endormis, mais ils vont vite se réveiller. Ils seront en colère et ils auront faim. – Des jumeaux ? Qui ça ? Et qu’est-ce qu’ils veulent ? » Todd répond à voix basse, sur un ton égal : « Dévorer ton âme. » C’est une blague, il va me l’avouer. J’attends. J’attends encore. « Slade House est leur système d’assistance respiratoire, Sal, et cette machine carbure aux âmes, mais pas de n’importe quel type. C’est un peu comme les groupes sanguins : le rhésus qui leur convient est très rare, et ton âme correspond à ce très rare type. Il faut qu’on exfiltre. Tout de suite. On va descendre l’escalier, sortir par la cuisine, traverser le jardin, puis quand on sera dans Slade Alley, on devrait être en sécurité. Ou un peu plus en sécurité, en tout cas. »
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Les séances de spiritisme battaient leur plein, à l’époque; les Conan Doyle et consorts prétendaient même que c’était une discipline scientifique, alors vous voyez. Bien entendu, les gredins prêts à tirer profit de cet engouement ne manquaient pas, mais grâce à Norah et Jonah, les Chetwynd-Pitt savaient qu’au moins certains phénomènes parapsychiques étaient authentiques. D’ailleurs, Lors Chetwynd-Pitt avait fait venir plusieurs médiums à Ely pour tenter de convoquer les esprits de leurs défunts garçons, mais aucun ne s’avérait posséder de véritable don, et à chaque espoir déçu, la santé mentale de Lady Albertina en prenait un coup.
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…La vache, j’en salive tellement c’est bon. Chocolat noir, noisettes, rhum et raisins secs. Je suis sur le point de m’attaquer à une deuxième part quand de nulle part surgit un Action Man blond aux yeux bleus, bronzé, et musclé sous ses vêtements noirs moulants qui vient me demander avec un accent australien vingt-quatre carats : ‘On se serait pas croisés au concert de Morrissey ? ‘ Je m’en serais souvenue.
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Dans ma tête, tout s’agite : Chloe Chetwind ? Norah Grayer ? La même personne ? Comment c’est possible ? Comment ? Et les portraits ? Pourquoi ? Pourquoi amener un inspecteur de la brigade criminelle dans son lit? Pourquoi lui faire grimper des escaliers, où, nécessairement, il remarquerait les portraits ? Ca n’a aucun sens.
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Videos de David Mitchell (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de David Mitchell
Quel plaisir d'accueillir à Marseille le surdoué des lettres britanniques, l'un des écrivains les plus originaux du moment, auteur d'une oeuvre inclassable d'où surgissent des sortes de méta-romans qui naviguent entre les genres littéraires. David Mitchell est avec nous pour son dernier opus, qui réussit une fois de plus le pari de nous surprendre. Car ce n'est pas spontanément sur le terrain du rock et des Swinging Sixties que l'on attendait celui qui fut l'un des scénaristes du dernier Matrix, compagnon des Wachowski qui ont adapté au cinéma l'un de ses romans les plus célèbres, Cartographie des nuages (Cloud Atlas sur grand écran). Londres, 1967. Dans l'effervescence de la culture pop et de la minijupe, se crée Utopia Avenue, un improbable groupe de folk-rock psychédélique, « the most curious British band you've never heard of », dont on va suivre l'ascension fulgurante (et bien sûr la chute calamiteuse). Managé par Levon Frankland, dont le chapeau en fourrure et les lunettes bleues le rangent d'emblée dans la case « queer beatnik », ce groupe fictif se compose de la chanteuse folk Elf Holloway, à l'évidence taraudée par sa sexualité ; du bassiste Dean Moss, empêtré dans un passé familial traumatique ; de Jasper de Zoet, dont le génie à la guitare est perturbé par des hallucinations auditives qui l'amèneront à fréquenter une étrange clinique ; et du batteur Griff, dont on ne sait pas grand chose… On plonge avec frénésie dans une ville où le sexe est partout, où le LSD circule librement dans les clubs et les studios, croisant avec jubilation Syd Barrett, Leonard Cohen, Francis Bacon ou Janis Joplin. Un vent de liberté souffle sur Londres, même si le père d'Elf lui rappelle que sa banque n'emploie pas de femmes mariées, et même si la propriétaire de Dean, qui l'a mis dehors, affiche sur la fenêtre un panneau indiquant qu'elle ne loue ni aux Noirs ni aux Irlandais… Un grand roman aux accents de biographie rock, comme une série d'albums composés de chansons qui vous trottent longtemps dans la tête…
__ Un entretien avec David Mitchell (https://ohlesbeauxjours.fr/programme/les-invites/david-mitchell/) animé par Yann Nicol (https://ohlesbeauxjours.fr/programme/les-invites/yann-nicol/), traduit de l'anglais par Valentine Leÿs et enregistré en public au théâtre de la Criée à Marseille, en mai 2022 lors de la 6e édition du festival Oh les beaux jours !.
__ À lire
David Mitchell, Utopia Avenue, traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Nicolas Richard, L'Olivier. En librairie le 20 mai 2022.
__ Montage : Clément Lemariey Voix : Nicolas Lafitte Musique : The Unreal Story of Lou Reed by Fred Nevché & French 79 Un podcast produit par Des livres comme des idées (http://deslivrescommedesidees.com/).
__ La 7e édition du festival Oh les beaux jours ! (https://ohlesbeauxjours.fr/) aura lieu à Marseille du 24 au 29 mai 2023.
+ Lire la suite
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