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EAN : 9791023204537
257 pages
Ink book (01/04/2013)
2.5/5   2 notes
Résumé :
Terrorisme et communisme " est probablement l’un des textes les plus magnifiques de Trotsky, l'un des plus clairs, des plus tranchants et des plus puissants. La raison est simple : par-delà les capacités personnelles de l'auteur, c'est ici la voix de la révolution qui s'exprime, aux heures de la lutte suprême, à travers un de ses chefs dirigeant la lutte sur le champ de bataille.

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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Dans cet ouvrage Léon Trotski répond à son détracteur Marxiste : Karl Kautsky. Ce livre de Trotski est, selon moi, le plus important de ses écrits pour au moins deux grandes raisons :

1 / Il l'a écrit en 1920, en pleine Guerre Civile. Guerre Civile essentiellement provoquée, d'une part, par l'infâme politique du Communisme de Guerre (réquisitions forcées des récoltes agricoles dans la paysannerie, qui conduiront à la gigantesque et tragique Famine de 1921-1922, faisant 5 000 000 de morts). Et d'autre part, cette Guerre Civile fut également le fruit de la politique de Terreur de masse du Parti-État unique Totalitaire Bolchevique (Communiste), et ceci dès le coup d'État du 25 Octobre 1917 à Petrograd.
En mars 1918, Trotski mit en place l'Armée Rouge chargée d'anéantir toute résistance durant la politique du Communisme de Guerre et de la Guerre Civile. Trotski écrivit donc ce livre dans son wagon blindé, se rendant de champs de bataille en champs de bataille pour galvaniser ses bataillons afin d'exterminer toujours plus largement les Armées Blanches et Vertes ; et de décimer, anéantir et brûler d'innombrables villages entiers et régions de Russie, y compris : des enfants, des femmes, des vieillards, au nom de la Totalitaire Idéologie de la « Dictature du Prolétariat ». Comme nous le verrons tout au long de ce commentaire, plutôt que de parler de « Dictature du prolétariat », il faudrait plutôt parler de « Dictature SUR le prolétariat » et SUR les infinis et imaginaires « ennemis du peuple » et « contre-révolutionnaires » du Bolchevisme !
Ensuite, dès le 7 décembre 1917, seulement un peu plus d'un mois après le coup d'État d'Octobre, fut créé par la volonté de Lénine, la Police Politique du Parti Bolchevique : la Tcheka, dirigée par Felix Dzerjinski. Ce dernier (avec Lénine) octroya comme mission immédiate à la Tcheka, de : traquer, rafler, interroger, torturer, et exécuter sommairement les soi-disant « ennemis du peuple », dans les caves et arrière-cours des Tchekas locales ; ainsi que dans les sous-sols du tristement célèbre siège social de la Tcheka dans l'immeuble de la Loubianka à Moscou. Les premières victimes furent les « bourgeois » et « petits-bourgeois » (mais qu'est-ce qu'un bourgeois ?), les « Koulaks » (des paysans un peu moins pauvres que les autres !), puis les ouvriers grévistes qui furent fusillés et noyés par centaines, les intellectuels, les Cosaques du Don et du Kouban (massacre de masse nommé : la Décosaquisation), les intellectuels, les journalistes, les médecins, les Kronstadtiens, les prêtres, les paysans, des femmes, et même des enfants. Bref, l'engrenage Totalitaire faisait que n'importe qui pouvait devenir potentiellement un « ennemi du peuple » !
D'ailleurs, le paradoxe schizophrénique de la haine irrationnelle que les Bolcheviques vouaient, et notamment Lénine et Trotski, envers la « bourgeoisie » et les « intellectuels », résidait dans le fait, que suivant leur propre « logique », ils auraient dû eux-mêmes se suicider ou s'entretuer, puisqu'ils étaient ce qu'ils exécraient le plus au monde : des « bourgeois » et des « intellectuels ». Et contrairement aux mensonges et à la propagande qu'ils colportaient, ils éprouvaient également une haine sans bornes envers la paysannerie qui représentait à l'époque environ 90 % de la population Russe ; et un mépris, une condescendance envers les ouvriers (encore peu nombreux dans cette Russie de 1917), qu'ils ont, encore une fois, largement massacrés… ; n'en déplaise aux militants Communistes du 21ème siècle…
Comme Lénine, Trotski était donc un intellectuel, il maîtrisait l'art de l'écriture et était un excellent tribun et propagandiste. En tant que « Révolutionnaire Professionnel », il connaissait parfaitement bien l'Histoire de la Révolution Française, son modèle ; dont ils se sont largement inspirés (Lénine et lui). Plus exactement, ils ont voulu réutiliser la terminologie et reproduire les monstrueux actes de l'effroyable période de la Terreur Robespierriste donc Jacobine, sous le Comité de Salut Public et la Convention de 1793-1794. Plus tard, en 1937-1938, sous Staline, on nommera l'un des plus grands massacres de masse Staliniens (750 000 personnes fusillées et 750 000 autres déportées dans les camps de concentration du Goulag, en seulement 15 mois !) : la Grande Terreur, appellation toujours reprise de la Révolution Française ; Grande Terreur votée le 10 juin 1794, lors de la loi du 22 prairial.
Trotski, en plus d'être passé maître dans l'art de la rhétorique mensongère et de la propagande afin de manipuler Idéologiquement les foules, était un personnage méprisant, condescendant, arrogant et pensant (comme tout Criminel de masse) détenir la « Vérité Absolue ». D'ailleurs, il ne se remit jamais en cause, pas plus qu'il ne remit en cause l'Idéologie de la « Dictature du prolétariat ». Pire que tout, il n'eut jamais de regrets ni de remords pour tous ses massacres de masse, qu'il justifia jusqu'à sa mort, au nom de la sacro-sainte Idéologie Totalitaire Communiste !

2 / L'autre principale raison de l'intérêt fondamental de cet ouvrage, réside dans le fait qu'ici, nul besoin de livres d'Histoire, puisque Trotski assume presque entièrement et décrit parfaitement bien : la mise en place du régime Terroriste et Totalitaire Bolchevique. Ce régime Communiste Totalitaire prendra très rapidement sa forme en tant que : Système International, par la volonté hégémonique mondiale de Lénine et Trotski, à travers la création de l'Internationale Communiste (nommée également 3ème Internationale ou Komintern), dès 1919. Ce fut d'ailleurs Trotski en personne, qui en rédigea le Manifeste.

Sans le savoir (car cette notion ne sera inaugurée que dans les années 1940-1950, après la fin du Nazisme, essentiellement, par Hannah Arendt et Raymond Aron), à travers ce texte de 1920, Trotski était en train de décrire la définition même d'une nouvelle forme de régime et de système, au 20ème siècle : le Totalitarisme !

J-L. Dumont a rédigé la « Présentation » de cet ouvrage (dans l'édition de 1980). Il commence son texte avec des mots qui, à mon sens, ne peuvent provenir que d'un esprit totalement conditionné à l'Idéologie Bolchevique :
« Terrorisme et communisme » est probablement l'un des textes les plus magnifiques de Trotsky, l'un des plus clairs, des plus tranchants et des plus puissants. La raison est simple : par-delà les capacités personnelles de l'auteur, c'est ici la voix de la révolution qui s'exprime, aux heures de la lutte suprême, à travers un de ses chefs dirigeant la lutte sur le champ de bataille. »
Plus loin, J-L. Dumont pose la question et la réponse centrales, qui seront plusieurs fois confirmées par Trotski lui-même, tout au long de l'ouvrage :
« La question centrale, à laquelle se ramènent en définitive toutes les autres, est simple : OUI ou NON la révolution implique-t-elle le recours aux armes, l'insurrection, la guerre civile, l'instauration de la dictature du prolétariat ? Ceux qui répondent non tournent le dos au marxisme et quittent le terrain de la révolution pour celui des « nouvelles voies », des « voies pacifiques au socialisme » dont la diversité, la nouveauté et la spécificité sont d'autant plus hautement proclamées qu'elles se rattachent toutes, en fait, à la matrice éculée du réformisme et du pacifisme social, autrement dit de la soumission à l'idéologie de la classe dominante.

(…) C'est pourquoi la lutte de classes débouche inéluctablement, à certains moments de l'histoire, sur la guerre civile, dans laquelle la décision appartient en dernier ressort aux armes. La révolution, écrivait Engels, est :

« un acte par lequel une partie de la population impose sa volonté à l'autre partie à l'aide de baïonnettes, de fusils, de canons, moyens autoritaires s'il en fut ; et le parti qui a triomphé doit maintenir son autorité par la terreur que ses armes inspirent aux réactionnaires ». (Note n°2 : Engels, de l'autorité, in Marx-Engels, Textes sur l'organisation, Paris, Spartacus, 1970, p. 8.).

Si l'on admet cette réalité – et des révolutionnaires dignes de ce nom ne peuvent se contenter de l'admettre, mais doivent la préparer – alors il faut en tirer toutes les conséquences. Dans la révolution et la guerre civile, comme le montre magnifiquement Trotsky, il ne s'agit pas seulement de se battre mais de vaincre l'adversaire bourgeois et de l'anéantir à jamais en tant que classe ; sinon, l'histoire l'a abondamment montré, lui ne fera pas de quartier. Pour vaincre, il faut utiliser toutes les armes, sans hésitation, sans exception aucune, et les utiliser de manière impitoyable, sans la moindre concession, ni aux principes de la démocratie ou de la métaphysique petite-bourgeoise, ni même à tous les principes humanitaires qui ne peuvent être, dans toute société de classe, et mille fois plus encore dans la société impérialiste, qu'une cynique mascarade. Ces armes sont la violence prolétarienne sans entraves dirigée par le parti centralisé du prolétariat, le démantèlement de l'État et donc la dispersion de toutes ses institutions « démocratiques » qui ne servent qu'à mystifier la classe opprimée, la suppression des partis ennemis, de tous leurs appuis et de leurs journaux, l'instauration de la terreur prolétarienne contre la classe vaincue pour la désorganiser et l'empêcher de relever la tête, la guerre civile menée de manière décisive et impitoyable contre tout ennemi armé, la liquidation physique des chefs politiques et militaires de la classe ennemie tant que la révolution n'a pas définitivement assuré son pouvoir, la prise d'otages et les représailles – en un mot toutes les mesures de la guerre civile sans en excepter aucunes. Tout cela est horrible ? Sans aucun doute. Mais le capitalisme impérialiste, avec ses rivalités et ses conflits qui ne font que s'exacerber, avec ses guerres et ses répressions incessantes, avec le pillage qu'il fait subir à la planète et ses crises périodiques, est une atrocité mille fois plus horrible pour les neuf dixièmes de l'humanité – et même le dixième restant, celui des couches privilégiées qui se croient à l'abri dans les grands centres impérialistes, est régulièrement plongé dans l'holocauste pour le repartage du monde.
(…) Par là même, elle montre la voie au prolétariat, qui n'a pas d'autre choix historique que d'exercer l'oppression pour mettre fin à l'oppression, la dictature pour mettre fin à la dictature, la violence suprême des armes pour mettre fin à toute violence.

Ivresse sanguinaire ! s'écrient tous les philistins. C'est exactement le contraire. Plus la révolution prolétarienne se montrera décidée, hardie, impitoyable avec l'ennemi, montre Trotsky en citant Lavrov, plus sa victoire sera rapide, et donc moins sanglante, moins coûteuse en vies humaines pour la classe ouvrière. Voilà comment raisonnent des marxistes : en matérialistes implacables, et non en pleurnicheurs ou pusillanimes petits bourgeois. »
Nous verrons qu'avec les citations ci-dessus de J-L. Dumont, ce dernier tient l'exact discours, jusqu'aux termes même, de Trotski.
Le seul point d'accord que j'aie avec J-L Dumont réside dans le fait que cet ouvrage de Trotski est certainement celui qui décrit, parmi ses nombreux écrits, le plus clairement l'Idéologie Communiste. En revanche, je laisse donc le lecteur seul juge, à travers ce commentaire et les nombreuses citations de Trotski, de la soi-disant « magnificence », pour reprendre le terme de J-L. Dumont, de l'Idéologie Bolchevique (Communiste)…

Comme on le sait, le Bolchevisme (Communisme) est fondé sur l'implacable Idéologie de la Dictature du Prolétariat. En son nom, tous les moyens, même les plus Terroristes sont « bons » pour appliquer ce dogme. Selon le célèbre adage de Trotski, qui deviendra même un texte en 1938, deux ans avant son assassinat : « La fin justifie les moyens » !
Toute sa vie, Trotski n'a eu de cesse de prôner et d'appliquer cette doctrine Criminelle. À ce sujet, il écrit :
« La dictature est indispensable parce qu'il ne s'agit pas de modifications partielles, mais de l'existence même de la bourgeoisie. Sur ce terrain, aucun accord n'est possible. La force seule peut décider.

(…) Qui veut la fin ne peut pas rejeter les moyens. La lutte doit être menée avec l'intensité suffisante pour assurer effectivement au prolétariat l'exclusivité du pouvoir. La transformation socialiste exigeant la dictature, « seule forme sous laquelle le prolétariat peut exercer le pouvoir d'État », cette dictature doit être assurée à tout prix.

(…) Qui renonce par principe au terrorisme, c'est-à-dire aux mesures d'intimidation et de répression à l'égard de la contre-révolution acharnée et armée, doit également renoncer à la domination politique de la classe ouvrière, à sa dictature révolutionnaire. Qui renonce à la dictature du prolétariat renonce à la révolution sociale et fait une croix sur le socialisme. »
Trotski incite les ouvriers à user de la grève contre le système Capitaliste et/ou à se sacrifier par le sang, afin d'aider le Communisme à prendre le Pouvoir par un coup d'État. Mais dans le même temps, Trotski persécute les ouvriers dans le cadre de l' »impérieuse » édification de son régime Totalitaire Communiste. Il ne s'agit donc pas d'une Dictature du Prolétariat, mais en réalité, d'une Dictature SUR le Prolétariat. Sacrifier les ouvriers pour SA « Cause » ne pose aucun problème de moralité à Trotski :
« La grève générale ne peut avoir d'influence décisive que si elle est le prélude d'un conflit entre le prolétariat et la force armée de l'ennemi, c'est-à-dire d'une insurrection. le prolétariat ne peut trancher le problème du pouvoir, problème fondamental de toute révolution, qu'en brisant la volonté de l'armée qu'on lui oppose. La grève générale entraîne des deux côtés la mobilisation et permet une première appréciation sérieuse des forces de résistance de la contre-révolution, mais seuls les développements ultérieurs de la lutte, après le passage à l'insurrection armée, déterminent le prix du sang que doit coûter au prolétariat la conquête du pouvoir. Mais qu'il faille payer avec du sang, que dans sa lutte pour conquérir le pouvoir et le conserver, le prolétariat doive savoir mourir et savoir tuer, de cela nul révolutionnaire véritable n'a jamais douté. Déclarer que le fait de la plus âpre lutte du prolétariat et de la bourgeoisie, une lutte à mort, « prend toute l'évolution à rebours », c'est tout simplement montrer que les têtes de certains idéologues respectés ne sont que des chambres obscures – camera obscura – dans lesquelles les choses apparaissent à l'envers.

(…) Personne n'a évidemment tenté de calculer à l'avance le nombre de victimes qui sera provoqué par l'insurrection révolutionnaire du prolétariat et sa dictature. Mais il était clair pour tous que ce nombre dépendrait de la force de résistance des classes possédantes.

(…) S'il veut ajouter que la guerre impérialiste, qui a sévi pendant quatre ans en dépit de la démocratie, a développé dans les moeurs la brutalité, a habitué au recours à la violence et appris à la bourgeoisie à ne s'embarrasser nullement de l'extermination des masses, il aura également raison. C'est un fait. Mais nous avons à combattre dans ces conditions. Il ne s'agit pas d'un duel entre des créatures prolétariennes et bourgeoises sorties de la cornue de Wagner-Kautsky, mais d'une bataille entre un prolétariat réel et une bourgeoisie réelle, tels qu'ils sont sortis de la dernière tuerie impérialiste. »
Quelle belle prose ! Mais ce que Trotski omet de dire, c'est qu'en réalité, comme précisé dans mon introduction, son Parti Bolchevique a, entre autres, fait fusiller et noyer (à la façon des noyades Nantaises de Carrier sous la Terreur Jacobine en 1793-1794) à Astrakhan du 12 au 14 mars 1919 : « entre deux mille et quatre mille ouvriers grévistes et mutins » (chapitre de Nicolas Werth intitulé « Un État contre son peuple » dans le Livre noir du Communisme) et (Sergueï Melgounov : « La Terreur Rouge en Russie (1918-1924)). Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres des massacres de masse ; comme également celui de l'écrasement de l'insurrection des marins de Kronstadt qui aura lieu en mars 1921 (confer l'ouvrage d'Alexandre Skirda : « Kronstadt 1921 : Prolétariat contre dictature communiste »).
Mais voilà ! en 1920, Trotski ne s'imaginait pas encore que les témoignages de Sergueï Melgounov (témoignage publié dès décembre 1923 à Berlin) et de tant d'autres victimes ; ainsi que les Archives Soviétiques partiellement ouvertes entre 1992 et 1994, après l'effondrement de l'U.R.S.S., nous livreraient les innombrables faits d'horribles massacres de masse. Des Crimes contre l'Humanité ont été commis par l'Armée Rouge de Trotski, lorsque cette Armée Rouge a pillé, brûlé, violé, torturé, massacré, rasé de la carte des villages entiers dans les régions de Samara, de Tambov, de la Volga, etc. !
En effet, derrière les mots terribles prononcés par Trotski, il n'y a pas seulement de la démence Idéologique, de l'absurdité, des postures, de la condescendance et du mépris ; mais il y a surtout : la déshumanisation, les souffrances psychologiques et physiques, les tortures, les exécutions arbitraires et sommaires, engendrant des centaines de milliers de morts, de cadavres : d'enfants, de femmes, de vieillards et d'hommes anonymes et oubliés !


P.S. : Vous pouvez consulter ce commentaire, dans son intégralité, sur mon blog :
Lien : https://communismetotalitari..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Le schéma de la situation politique à l'échelle mondiale est absolument net. Ayant amené les peuples épuisés et saignés au bord de l'abîme, la bourgeoisie et tout d'abord celle des pays vainqueurs, a démontré son incapacité absolue à les tirer de leur terrible situation et l'incompatibilité de son existence avec le progrès ultérieur de l'humanité. Tous les groupements politiques intermédiaires et les partis social patriotes d'abord pourrissent encore vivants.
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Zina, Un film (1985) anglais de Ken McMullen L'histoire d'une Antigone moderne, celle de Zina Bronstein, fille de Léon Trotski. Elle s'est suicidée en 1931, juste avant l'avènement du National Socialisme. Avant sa mort, Zina suivait des séances de psychanalyse et d'hypnose, séances au cours desquelles elle se rappelle des incidents de sa vie et de celle de son père. Extrait
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