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The Elder Scrolls tome 1 sur 2
EAN : 9782265092549
360 pages
Fleuve Editions (27/10/2011)
3.19/5   29 notes
Résumé :
Quarante-cinq ans après les événements d'Oblivion
Tamriel est un immense continent peuplé par différentes races et gouverné par une autorité impériale. Une cité flottante, Umbriel, menace ses habitants. Là ou elle passe, les gens disparaissent puis reviennent d'entre les morts...


Un groupe de héros se réunit pour sauver leur royaume : un prince légendaire qui porte un terrible secret, un espion sur les traces d'une conspiration, un mage... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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« La cité infernale » est le premier tome d'un diptyque inspiré du célèbre jeu vidéo « The Elder Scrolls », ouvrage sur commande confié au talentueux Greg Keyes, à qui on doit déjà de belles séries de fantasy telles « Les royaumes d'épines et d'os » ou encore « L'âge de la déraison ». Nous voilà donc plongé (ou replongé, pour les amateurs du jeu) dans le monde de Tamriel, cette fois menacé par une cité flottante en mouvement permanent, Umbriel, avide de dévorer tout ce qui passerait à sa portée. La plume de Greg Keyes demeure, comme toujours, très agréable et l'histoire est finalement plutôt originale, bien que ni très complexe ni particulièrement profonde, d'autant plus que la brièveté du roman l'empêche de véritablement se déployer dans toute sa mesure. N'oublions pas qu'il s'agit là avant tout d'un ouvrage de commande et que l'on est donc loin de retrouver la patte et les bonnes idées qui caractérisent généralement les oeuvres de l'auteur.

Les personnages d'Annaïg, jeune femme téméraire, limite casse-cou, et de son compagnon reptilien Mere-Glim sont pour leur part plutôt réussis et les scènes impliquant le duo fonctionnent relativement bien. D'autres personnages en revanche, comme le prince Attrebus ou encore le mage Sul, sont beaucoup moins convaincants car trop égocentrique pour le premier et trop effacé pour le second. L'univers quant à lui est riche et dense mais il est préférable de déjà connaître le jeu vidéo (ce qui n'était pas mon cas) pour ne pas se perdre dans toutes les races et tous les lieux évoqués et pour lesquels ne sont guère fournies d'explications (une carte et un glossaire auraient par exemple été plus qu'utiles). Un roman non dénué d'intérêt mais sans doute réservé essentiellement (pour ne pas dire exclusivement) aux connaisseurs du jeu vidéo, les autres risquant de se retrouver davantage démunis que charmés. Sympathique donc mais sans plus.
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Sur Nirn, ou Mundus, le Monde, et plus particulièrement dans la région du Marais Noir, patrie des Argoniens (peuple d'humanoïdes-reptiles très à l'aise en milieu aquatique), les rumeurs vont bon train à propos d'une soi-disant cité flottante se dirigeant en droite ligne vers le continent, détruisant tout sur son passage et transformant chaque être vivant en soldat mort-vivant. D'où vient-elle et comment l'arrêter ? Ce sont les questions que se posent Mere-Glim l'argonien et son amie d'enfance Annaïg la brétonne (race humaine) versée dans l'alchimie et les arts culinaires.
Alors, au lieu de fuir la catastrophe, Glim et Annaïg rejoignent la cité volante grâce à une potion de vol concoctée par la jeune femme. de plus, Annaïg prend contact avec Attrebus Mede, le prince de l'Empire, et lui expose la situation. Elle sera ses yeux et ses oreilles sur l'île volante tandis que le prince fera tout ce qui est en son pouvoir pour stopper cette cité infernale.

———

Au début, j'ai rapidement pensé abandonner la lecture. Je suis quelque peu versé dans l'univers des Elder Scrolls, mais j'avoue avoir été désarçonné par la manière dont le récit est amené sur les premières pages. le prologue est difficilement compréhensible et on se sent vite submergé. Mais passé cet écueil (que de métaphores marines) ce roman mérite que l'on s'accroche sur quelques pages et qu'on lui laisse le temps de démarrer.

Si le style de l'auteur ne casse pas trois pattes à un canard, ou à une poule d'eau, de nombreuses situations et actions sont intéressantes, bien amenées, fidèles à l'univers et plaisantes. Les chapitres sont courts et c'est là un véritable page turner qui ne s'embarrasse pas de longueurs.

Parmi les points positifs que je retiendrai et que j'ai beaucoup appréciés :
*le fait que les habitants de la cité volante — issue d'un autre plan — n'aient aucune connaissance sur le mode de vie et de fonctionnement des individus terrestres, et vice-versa. Cela donne lieu à des situations cocasses et quelques quiproquo où nos héros devront définir des notions basiques telles que "volcan", "montagne", "père" ou encore "accouchement" à des créatures qui, pour leur part, éclosent dans un puisard rempli de cadavres en décomposition et de poissons carnassiers, et se vaporisent lorsqu'elles quittent leur rocher volant…
*le personnage d'Attrebus Mede dont on se rend compte au fil de la lecture qu'il n'est pas celui qu'il paraît, et notamment que son blason doré possède d'immenses fissures…
*la vendetta du Dunmer (comprenez : elfe noir) Sul qui, si je ne m'abuse, est un excellent magisfer (comprenez : guerrier-mage)
*l'épisode en Elsweyr où l'on en découvre plus sur les Khajits (comprenez : homme-chats)

Bref, pour faire court, je conseille ce roman aux fans de fantasy, des Elder Scrolls, et de tout récit d'aventure rondement mené au sein duquel on ne s'ennuie pas.

Pour la petite anecdote, je n'avais pas conscience que ce récit était en deux tomes et je me demandais bien comment ils allaient pouvoir s'en sortir dans le si petit nombre de page restant. Heureusement, aucune solution de facilité n'a pour l'instant été amenée par l'auteur, et je lirai volontiers la suite pour voir si nos chers amis réussissent à renvoyer Umbriel en Oblivion !
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Il s'en ai fallu de peu pour que ce livre soit une déception. Les 150 premières pages ont été une torture, je n'accrochai ni à l'histoire ni aux personnages. Pourtant fan de Skyrim..., je n'arrivai pas a retrouver l'univers dans lequel j'ai passé un nombre incalculable d'heures. Heureusement passé ces 150 pages tout c'est débloqué comme par magie, j'ai enfin eu des repères et un peu d'action. L'histoire en elle même n'est pas rose et assez violente par moment, surtout le passage de l'invasion de la cuisine pas un groupe d'une autre cuisine. Nous suivons donc les aventures de plusieurs personnages dont le destin s'entremêle, Annaig et mère-Glim piégés sur l'île flottante d'Umbriel. Attrebus, prince et fils de l'actuel empereur qui découvre qu'une grande partie de sa vie n'a été que mensonge et tromperie. Sul , un mage cherchant à se venger de l'être le plus puissant d'Umbriel.
Tout ce petit monde n'a qu'une idée en tête, faire en sorte qu'Umbriel ne vole plus et arrête son massacre sur Tamriel.

Concernant la plume de l'auteur, c'est agréable à lire mais les longues descriptions ne sont pas mon fort, j'aime que ce soit des descriptions rapide et simple, les détails poussés ne m'intéresse pas sauf si cela a une utilité plus tard dans l'histoire. Je referme le livre en me disant que je connaîtrais la fin bientôt avec le tome 2 qui je l'espère ne me fera pas la même impression que le début de ce tome- ci.
C'est un livre pour les fans de la franchise de Bethesda ou non, quelqu'un qui ne connait pas cet univers peu très bien le lire. Un petit bémol tout de même, la tranche de la version française se pli trop facilement à la lecture, j'ai eu peur que le livre se coupe en deux.
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Début d'un dyptique se passant dans le célèbre monde de The Elder Scrolls, je m'étais même étonné il y a quelques années qu'il n'y est pour ainsi dire aucun roman se déroulant dans cet univers si propice à créer de bonnes histoires. J'ai enfin commencer celui-ci qui traîne depuis un moment dans ma PAL.
Nous allons suivre plusieurs personnages au cours des différents chapitres de ce tome, qui vont faire fasse à une situation pour le moins inattendu, l'apparition d'une cité flottante au dessus du Marais Noir, patrie des Argoniens, détruisant tout sur son passage et ranimer les morts pour en faire une armée.
Malgré ce préambule le roman est légèrement moins épique qu'on ne pourrait le croire. Mais reste un moment bien sympathique à suivre Annaig et son ami Mere-Glim qui vont se retrouver sur la cité volante et devoir se familiariser avec les lieux et les différences culturelles avec les habitants, le prince Attrebus tentant de partir combattre cette mystérieuse incursion, et dont on va apprendre, lui aussi, que son passé n'est pas aussi glorieux qu'il le croyait, ou encore Colin un inspecteur qui au cours de son enquête va être amener à s'interroger sur les dirigeants de l'empire.
Le rythme est prenant, on a envie de savoir où veut nous emmener l'auteur.
Je pense qu'il n'est pas nécessaire d'être fan de TES pour apprécier ce roman même si c'est un plus indéniable. Je vais lire la suite avec plaisir.
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Je suis fan de la saga de The Elder Scrolls depuis la sortie du troisième volet "Morrowind" en 2002 (bien que trop jeune pour pleinement comprendre un jeu aussi riche...). Cet univers me fascine tout autant que celui de Tolkien (que j'admire au plus haut point) et c'est pour cette raison que je me suis décidé de lire ces deux romans tirés de cette grande saga de jeux vidéos.

Je n'ai jamais été aussi déçu par un livre de Fantasy... Avais-je trop d'espérances et d'attente ? Peut-être... Certes il s'agit d'une commande, et non d'un projet libre... mais le rendu n'en reste pas moins un "flop", je suis navré... Je n'ai en aucun cas retrouvé tout le charme d'un Elder Scroll... d'où ma note de 1/5. C'est donc avec regret, déception, que j'achevais ce premier volume qu'est La Cité Infernale...

Quant au second tome... Je n'ai hélas pas eu la force d'aller au-delà du premier quart...

Je ne le recommande donc pas aux fans de The Elder Scrolls...
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critiques presse (1)
Elbakin.net
28 novembre 2011
Si Greg Keyes joue les artisans sérieux et doués et si le résultat s’avère globalement convaincant, on ne quitte pas pour autant les rivages des ouvrages de commande.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Il y avait là deux hongres rouans visiblement issus de la même lignée et une jument brune. L’un des rouans servait de bête de somme, les deux autres étaient sellés.
— Prenez le hongre, lui dit Sul.
Attrebus soupira ; la suggestion lui paraissait tristement appropriée.
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— La loi n’a pas l’air très juste, objecta Attrebus.
— Juste ? Que voulez-vous dire par là ? Aucune loi n’est juste pour tout le monde. Une loi contre le vol est injuste pour les voleurs.
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Colère, peur, extase… ces états d’esprit peuvent produire quelque chose d’utile. Le chagrin et le regret ne produisent rien, à part de la mauvaise poésie, ce qui est pire encore.
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FUS RHO DHA
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