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Inspecteur Lynley tome 20 sur 21
EAN : 9782258117761
768 pages
Presses de la Cité (07/03/2019)
3.77/5   335 notes
Résumé :
Elizabeth George revient avec le vingtième Lynley... God save the queen du crime !
Ludlow, bucolique bourgade du Shropshire, tombe dans l'effroi lorsque le très apprécié diacre
Ian Druitt est accusé de pédophilie. Placé en garde à vue, le suspect est retrouvé mort, pendu.
La commissaire Isabelle Ardery, qui a été dépêchée sur les lieux depuis Londres et qui se débat
avec ses problèmes d'alcool, a bien envie de classer l'affaire en suic... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (99) Voir plus Ajouter une critique
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Ce roman débute avec une enquête de contrôle sur l'arrestation d'un diacre, Ian Druitt, accusé de pédophilie par un appel anonyme, qui meurt pendu avec son étole, après avoir été laissé seul en garde à vue. On avait conclu alors à un suicide, mais le père du diacre réfute cette conclusion et demande que l'on vérifie si la garde à vue était justifiée et si on a bien étudié tous les éléments.

On dépêche sur les lieux Barbara Havers, et la commissaire Isabelle Ardery, qui ne s'aiment guère, l'une voulant creuser, flairant les dysfonctionnements, sa supérieure étant obsédée par le désir d'en finir au plus vite en se livrant à sa consommation abusive de vodka. La collaboration entre elles est d'autant plus difficile que Havers est sur la sellette et risque une sanction disciplinaire, à cause d'une précédente enquête.

Tout le monde ment, dans cette enquête, dans cette petite ville de Ludlow, dans le Shropshire : l'îlotier chargé d'arrêter le diacre, Gaz Ruddock était tout seul, et sa chef lui imposait une surveillance stricte de son fils, addict au sexe, à l'alcool. Il faut donc tout reprendre à zéro.

L'enquête en elle-même est sympathique, quoi que beaucoup trop lente à mon goût, mais ce que j'ai surtout aimé dans ce polar, c'est l'étude des addictions : tout d'abord le sexe débridé et l'alcoolisation massive, brutale accompagnée de drogues de ces jeunes gens, au point de ne plus se souvenir de ce qu'ils ont pu faire. La consommation quotidienne de vodka de la commissaire qui pense qu'elle maîtrise, alors qu'elle perd complètement les pédales jusqu'à perdre la garde de ses enfants.

L'addiction aux opiacés également, pour fuir le chagrin après la perte d'un enfant et qui conduit à des réactions très agressives…

Les personnalités des protagonistes sont originales : l'îlotier est particulier, trop poli pour être honnête, beaucoup plus pervers et manipulateur qu'on ne pourrait le croire, sa collègue aux allures de mère toxique, qui surprotège son rejeton et ne lui fait pas confiance, le poussant à jouer les rebelles.

Elizabeth George dénonce aussi les coupes budgétaires importantes avec des commissariats qu'on ferme, des flics qui se retrouvent en nombre insuffisant, pour enquêter ou pour assurer la protection des citoyens. Elle évoque également la difficulté de vivre dans ce pays lorsqu'on est déraciné, en but avec la culture d'origine, les croyances, ou la laïcité que l'on comprend mal.

Toutes les familles, dont l'auteure nous parle, vivent comme elles peuvent dans une société de plus en plus dure et elles nous touchent car on peut en voir autour de nous.

J'ai retrouvé avec plaisir le duo Linley, toujours aristocrate, bien élevé, et Havers les cheveux en pétard, mal habillée, qui s'entraîne aux claquettes, duo dont j'ai suivi beaucoup d'enquêtes. Je ne connaissais pas la commissaire Ardery, car j'ai dû sauter trois ou quatre romans…

J'aime beaucoup Elizabeth George, mais je me suis un peu lassée (et surtout j'avais envie de lire d'autres auteurs, notamment les nordiques) ce qui m'a conduit à faire une pause après la lecture de « le rouge du péché ». Malgré les longueurs, notamment dans la première partie du roman, j'ai aimé retrouver cet univers « so british » et j'ai maintenant le désir de lire ceux que j'ai zappés…

Merci à NetGalley et aux Presses de la cité qui m'ont permis de me replonger dans cet univers.

#LaPunitionQuelleMérite #NetalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Tout d'abord gros merci à #NetGalley pour La punition qu'elle mérite. Je dis gros car c'est un gros livre, une grosse attente, une grosse lenteur.
C'est la je ne sais plus quelle énième des enquêtes de l'improbable "couple" Havers/Lynley. Et nous prenons toujours autant de plaisir à les retrouver. Cela dit, ici il faut être patient, très patient. Je sais bien que Madame George est la reine du détail, du ficelage, de l'enrobage mais là, disons qu'elle a mis le paquet, elle a tartiné épais et cela a quelque peu énervé mon plaisir de lecture.
Donc, un diacre de Ludlow, petit village historique, est arrêté pour pédophilie et se suicide durant sa garde à vue.
Et voilà qu'on nous entraîne dans une valse des mauvais plans culs chez la petite bande de jeunes autour de laquelle tournera l'enquête. Et voilà qu'on nous convie à leurs soirées "biture express", surveillés par l'ilôtier (genre de policier de proximité) du village qui les connait bien et qui veut leur éviter des ennuis...
Et voilà que je passe les détails, il y en a trop!
Et bien sûr nous retrouvons la "méchante" commissaire Ardery qui aura encore bien du mal à gérer son addiction, les visites supervisées à ses fils et son boulot. Disons que le début du récit où Ardery/Havers travaillent ensemble est un véritable ravissement. Comme nous nous plaisons à détester cette femme qui malmène notre Havers !
La punition qu'elle mérite est (malheureusement) celle de quelques femmes présentées dans ce récit ...dont le portrait n'est pas nécessairement des plus flatteurs. Les traditions, les moralités, les moeurs, les cultures, ne sont pas de simples couches de vêtements faciles à enlever.
Comme on connaît la recette d'Elizabeth George, pas de surprise dans la narration ou le récit. Il faut dire qu'elle réussit toujours à nous présenter certaines facettes de la société anglaise sur laquelle on peut réfléchir. Toutefois, c'est plutôt la sympathie que j' éprouve envers ses personnages principaux qui fait que je persiste à la lire et que je suis passée à travers ce pavé.
Encore merci à #NetGalley pour La punition qu'elle mérite.
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Accusé anonymement de pédophilie, Ian Druitt, le jeune diacre hyperactif de Ludlow, une petite ville tranquille du Shropshire, s'est suicidé juste après son arrestation. Appréhendé par un îlotier, il attendait son transfert vers Shrewsbury quand il s'est pendu dans sa cellule, alors que le policier s'occupait d'une beuverie d'étudiants dans les pubs du centre ville. Certes, il n'aurait pas du être seul, certes il aurait du être fouillé plus minutieusement, mais le suicide ne faisant aucun doute, la police classe rapidement l'affaire. Pourtant, Clive Druitt, le père du diacre, a des doutes. Son fils était un homme de Dieu, incapable de faire du mal à un enfant ou de mettre fin à ses jours. Il use de son influence pour faire pression sur son député qui, lui-même, force Scotland Yard à reprendre l'enquête.
La commissaire Isabelle Ardery, engluée dans un procès avec son ex-mari qui s'apprête à emmener leurs jumeaux en Nouvelle-Zélande, se passerait bien d'un séjour dans le Shropshire. Mais elle n'a pas le choix et doit accepter cette mission dont le seul but est de prouver que les policiers locaux n'ont commis aucune faute. C'est l'occasion aussi de tester Barbara Havers qu'elle rêve de voir muter à l'autre bout du pays. Après une brève enquête, elle pense en avoir fini avec ce cas mais Barbara ne l'entend pas de cette oreille. Méticuleuse et intuitive, le sergent soupçonne un meurtre et obtient, de haute lutte, de poursuivre les investigations. L'inspecteur Linley, son plus fidèle soutien, se joint à elle pour démêler les fils de cette sordide affaire.

Pour cette vingtième enquête, Elizabeth George délocalise ses héros dans le Shropshire. C'est l'occasion de découvrir la pimpante Ludlow avec ses ruelles pavées, son château, ses pubs, son université et ses habitants qui cachent bien des secrets. Car pour échapper à la routine du quotidien, la petite communauté ne profite pas de la beauté de la campagne anglaise mais aurait plutôt tendance à se vautrer dans le vice. La reine du crime semble avoir été sponsorisée par le Ministère de la Santé pour dénoncer les addictions en tout genre. A Ludlow, on se drogue, on boit, on fume et on copule à tout va. Et quand on est mère, on est possessive, dirigiste, trop protectrice. A tel point, qu'on peut reprocher à l'auteure d'avoir un peu forcé le trait avec cette brochette de dépendants qui, de plus, mentent comme ils respirent. Difficile pour les enquêteurs de trouver la vérité tant ce mot semble absent du vocabulaire des habitants du lieu. Heureusement, on passe outre ses petits défauts pour retrouver avec plaisir le duo Barbara/Linley. Si dans la première partie du roman, c'est Isabelle Ardery qui mène, tant bien que mal, la danse, quand l'inspecteur arrive l'atmosphère change. L'insupportable commissaire retourne à Londres et l'aristocratique Linley prend la relève. On peut enfin se délecter de ses échanges avec Barbara et profiter de leur complicité. Ils restent le point fort de la série. Un peu fade lors des deux ou trois derniers opus, Linley revient en force, toujours aussi beau, élégant, cultivé et seul à pouvoir calmer les ardeurs d'une Barbara peu soucieuse des ordres et de la hiérarchie. Un tandem épatant dont la vie privée fait aussi le sel de ces enquêtes. Même si les choses avancent lentement pour l'inspecteur amoureux d'une belle vétérinaire trop distante et que Barbara est toujours désespérément seule, on attend la suite avec impatience. Il pourrait y avoir de la romance dans l'air pour la policière débraillée et nouvellement star des claquettes. A suivre !

Un immense merci à Babelio et aux Presses de la Cité pour cette masse critique privilégiée.
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A Ludlow, un diacre (très apprécié et investi par sa mission), se retrouve accusé de pédophilie anonymement et se suicide en garde à vue. Une affaire qui serait restée classée sans suite, si le père de l'accusé , révolté par ces accusations, ne remuait ciel et terre pour faire entendre sa vérité. Et comme , il a le bras long, Scotland Yard va dépêcher ses meilleurs enquêteurs…
Lorsque vous en êtes à votre vingtième tome d'une série, inutile de dire que vous aimez la série…
Les enquêtes se suivent et ne se ressemblent pas, Elizabeth George choisissant d'"éclairer" plus ou moins l' un ou l'autre de ses enquêteurs préférés. Là, ça tombe bien pour moi, il n'est pratiquement question que de Barbara Havers ( ma chouchoute,) à toutes les pages. Tantôt flanquée de la commissaire Isabelle Ardery , chargée de la surveiller méchamment. (Une menace de mutation à l'autre bout du pays pèse sur ses [ si compétentes !] épaules…) D'ailleurs , on se demande bien qui devrait surveiller l'autre , car la commissaire a toujours un grave problème avec l'alcool , couplé d' un épineux problème familial avec son ex mari qui est muté en Nouvelle-Zélande avec leurs jumeaux…
Puis , flanquée de son inspecteur préféré , Thomas Linley, Barbara fouine, hume, renifle les bonnes pistes comme le meilleur des chiens policiers.

C'est une enquête qui démarre simplement et qui va s'étoffer en cours de route . Il sera beaucoup question d'alcoolisme chez les jeunes, de soirées trop arrosées qui dérapent ... Et de Barbara qui s'est mise aux claquettes …
La punition qu'elle mérite est addictif mais à consommer sans modération…


PS : J'ai été très étonnée qu' à la page 116, Elizabeth George parlant du livre Rebecca de Daphné du Maurier, se permette de dévoiler la fin à 98 %. Ce n'est pas parce que c'est un immense classique de la littérature ( et du cinéma …), que tout le monde l'a lu ! Il faut penser aux jeunes lecteurs...


Challenge mauvais Genres.
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Merci à Babelio et aux Presses de la Cité ! J'ai replongé avec délice dans les enquêtes de Barbara Harvers et du Lord inspecteur Linley, que j'avais un peu laissées de côté ces derniers temps.
Comme tout cela est bien ficelé ! A Ludlow, dans le Shropshire, un diacre se suicide dans le lieu où il est retenu par la police suite à une accusation de pédophilie...Le père refuse de croire à l'ensemble de l'affaire, et son bras est long jusqu'à Londres...Il toque à Scotland Yard, à la Criminelle, et on envoie sur place l'épouvantable commissaire Isabelle Ardery flanquée de l'inénarrable Barb, qui y voit l'occasion d'échapper à ses cours de claquettes mais doit aussi se tenir bien à carreaux car Isa menace de l'envoyer au placard à la moindre incartade...J'aime bien ce premier duo, Satanas et Fofollette ; Fofollette essayant de contrevenir à tous les ordres de Satanas, Satanas essayant de cacher son addiction à l'alcool...
Bon, n'en disons pas plus, mais Barb sent bien que quelque chose cloche avec l'affaire du diacre tandis qu'Isa s'en fiche et veut rentrer à Londres gérer la garde de ses enfants...
Nouveau duo ensuite : le classique Barbara-Mylord, qui s'attelle à une enquête fort intéressante mêlant étudiants, pubs, diacres, îlotiers, police, mères abusives, plein de monde. La vie privée de nos amis évolue aussi un peu en parallèle.
Vive les romans policiers ! J'étais tellement satisfaite de ma lecture que j'ai lu dans la foulée le roman précédent, que j'avais raté : une avalanche de conséquences, qui m'a aussi fort distraite !
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critiques presse (2)
LeFigaro
03 mai 2019
Et aujourd’hui, forte d’une œuvre déjà impressionnante, l’Américaine Elizabeth George tient haut brandi le flambeau du crime novel… à l’anglaise.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Lexpress
15 avril 2019
Avec La Punition qu'elle mérite, la romancière prouve une fois de plus qu'elle sait porter la plume dans les plaies de l'époque. Royal !
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (40) Voir plus Ajouter une citation
Sauf que Barbara était pourvue d'assez d'imagination, et puis elle savait compter. Pour elle, un plus un plus deux faisaient quatre, le premier 1 étant la voiture, le deuxième 1 étant l'obscurité, et le 2 étant le nombre de personnages dans la course : Ruddock et sa compagne. Ça faisait quatre, oui, et trois possibilité : 1) une conversation dans le noir à propos des problèmes économiques de l'Angleterre, 2) des aveux de fautes nécessitant la couverture des ténèbres, et 3) ce qui se fait couramment dans une bagnole, la nuit, entre un homme et une femme.
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Elle avait connu cet état d’exaltation où le cerveau cesse de fonctionner pour céder les commandes au corps et où, dans l’urgence de satisfaire son désir, l’on oublie toute considération pour l’avenir. Et, ne connaissant pas d’autre mot pour qualifier cette forme d’obsession où l’attirance sexuelle occupe toutes les pensées, elle l’avait appelé « amour ». C’était ce mot-là qui était employé au cinéma, non ?
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La neige se mit à tomber sur Ludlow en fin de journée. C'était l'heure à laquelle les habitants faisaient presque tous la vaisselle, prélude à une soirée télé. A vrai dire, une fois la nuit tombée, il n'y avait pas grand-chose à faire dans cette ville, à part zapper d'une chaîne à l'autre ou prendre le chemin du pub. Et comme, bon an mal an, Ludlow et ses vieilles murailles attiraient de plus en plus de retraités en quête de tranquillité et de nuits paisibles, il ne se trouvait personne pour se plaindre du manque de distractions nocturnes.
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(Justin) - Le glamping, reprit-il, c’est du camping glamour, luxueux quoi. Imaginez. Vous débarquez dans le champ d’un fermier de la région des Lacs. Jusqu’ici, vous aviez soit une caravane plutôt moche, soit une tente qu’il faut monter, qu’il pleuve ou qu’il vente. Imaginez votre tente renversée par une tempête. Ce sont des choses qui arrivent. Alors que ça… le pod. Ca s’appelle un pod de glamping… En général, ils sont montés sur des roues pour que l’on ne puisse pas accuser les propriétaires qui les louent d’avoir construit en dur sur des terrains agricoles inconstructibles.
- C’est un genre de cabanon mobile, alors ?
- Justin continua à lui expliquer avec passion les multiples usages de son pod. On pourrait y installer l’électricité et l’eau courante. Et il était assez grand pour accueillir deux adultes et – avec l’option lits de camp pliants – deux enfants.
- Une de mes clientes en a fait un atelier de peinture, une autre un pavillon de thé… une dame qui a un grand jardin. On peut aussi les adapter en cabane de plage… sauf qu’ils sont un peu trop beaux, comme vous voyez… ou en refuge contre le mauvais temps. Un monsieur de Shrewsbury m’en a commandé un pour ranger son matériel de pêche à la mouche. Celui-là d’ailleurs, je l’ai construit en colombages. Tenez, je vais vous montrer.
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Clover Freeman ne partait pas avec un bon point aux yeux de Barbara. Cette femme avait plus de dix ans de plus qu'elle, et elle ressemblait à une athlète prête à participer aux jeux Olympiques. C'était louche, et Barbara était encline à la soupçonner du pire, alors qu'en vérité sa seule faute consistait à s'occuper de sa forme dans la salle de gym équipée des machines dernier cri que Barbara avait entraperçues dans la véranda vitrée qui prolongeait le salon. Et en plus, elle était sans doute végétarienne, la garce.
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