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EAN : 9782375060490
176 pages
Taïfu Comics (13/07/2017)
4.11/5   18 notes
Résumé :
(LIVRE RESERVE A UN PUBLIC AVERTI)

Suite à une grave blessure à l'épaule, Kengo se voit contraint d'arrêter le baseball. Alors qu'il est totalement déprimé et perdu depuis la perte de sa passion, il fait la rencontre d'un élève introverti dans la salle de musique de son lycée. Yoshioka est en fait un camarade de classe de Kengo, mais pour une mystérieuse raison, il ne suit plus les cours depuis un an. La musique semble être sa seule échappatoire face ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Cela faisait un petit moment que j'avais vu ce one-shot sur la toile et les critiques étaient plutôt très positives. du coup, il avait glissé dans ma wishlist (déjà très longue...) et lorsque je l'ai vu au dernier masse critique, je me suis dit qu'il était temps de se lancer. Et j'ai bien fait.

Je ne lis pourtant pas de Yaoi. Je n'ai rien contre le genre mais j'avoue que je préfère les shojos quand je me lance dans une romance. Il n'en reste pas moins que la mangaka a su me charmer dès le départ avec ses deux héros et aussi le choix de son histoire. Je me souvenais vaguement de la trame, je n'ai donc rien découvert mais cela n'a pas du tout gâché mon plaisir. Il faut dire que Yuki Ringo traite sa romance avec une délicatesse et une douceur telles qu'il est difficile de ne pas se laisser transporter. Même malgré les sujets abordés et la "violence" physique et psychologique que l'on découvre.

Kengo est un jeune homme attachant, adorable, ouvert d'esprit, protecteur et mignon à croquer. Ce jeune sportif n'a pourtant rien de niais, bien au contraire. On le découvre alors qu'il vient de se blesser et qu'il est obligé d'occuper son temps livre durant sa convalescence. C'est là qu'il rencontre Yoshioka. de un an son aîné, ce dernier passe son temps dans la salle de musique séchant les cours pour une raison inconnue. Kengo est tout de suite intrigué et veut autant savoir et comprendre le pourquoi de ce comportement. Une découverte rapide qui nous plonge dans le harcèlement à l'école à un niveau qui explique la mention "public averti", et nous offre par la même occasion le début d'une romance aussi douce que douloureuse.

Si les deux protagonistes sont des amours, tout le manga n'est pas que joie et douceur. C'est une rencontre inattendue, une reconstruction, un épanouissement. Mais aussi la destruction, la violence, le silence et la peur. Graphiquement, pas de visuels "choquants" (et encore). Yuki Ringo "ne montre rien" mais tout est bien assez explicite comme ça. On voit l'horreur de ce harcèlement, la bêtise humaine à son plus haut niveau, des préjugés malsains et stupides. Les bourreaux croient que leur victime aime cela (bonjour le mensonge à soi-même pour "accepter" les actes répugnants) et limite que cela est normal. Mais la mangaka est claire : la victime reste une victime dans le sens où jamais elle n'a fait en sorte de se retrouver dans cette situation et les harceleurs sont les seuls à devoir être punis. Point barre. Pas d'ambiguïté. A aucun moment. Un très bon message que j'approuve.

L'auteur nous redonne aussi foi en l'humanité et pas seulement par le biais de Kengo. Ses amis aussi s'ouvrent à Yoshioka, sans le juger aucunement. Tous les jeunes adolescents ne sont pas des monstres stupides et violents. le manga en lui-même ne cherche pas à être sombre. Il dénonce, certes, mais c'est avant tout une reconstruction positive. Kengo s'efface, s'inquiète, ne force pas, est à l'écoute, ne juge pas. Un jeune homme très réfléchi et qui malgré toutes ses qualités ne fait pourtant pas "surhomme". Yoshioka est aussi traité de façon intéressante. Sa nonchalance est un peu en décalée avec ce qui lui est arrivé, mais c'est sûrement une façon de se protéger. Il doute de lui, trouve des excuses puis accepte cette main tendue. J'ai aimé le fait qu'il n'est pas perdu espoir malgré tout. Comme pour montrer une fois de plus que le monde n'est pas que cruauté. Nous les voyons donc évoluer chacun à leur façon avec douceur et sérénité. Une romance touchante à tous les points de vue.

Petit bonus que j'ai apprécié, nous avons droit à quelques pages "5 ans après". Quelque chose que j'affectionne beaucoup dans les histoires et qui ici était parfait.
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Merci beaucoup à Babelio ainsi quà la ME pour ce livre.

Reçu dans le cadre de la Masse Critique Graphique, j'ai sauté sur ce livre des sa réception, c'est à dire aujourd'hui. Je suis une grande fan de Yaoi, et un Boys Love qui parle d'harcèlement scolaire m'a de suite fait de l'oeil. Parce que oui, dans les mangas de ce genre, on en parle mais ça reste totalement survolé. C'est surtout du harcèlement, de l'homophobie, mais on fait passer cela pour quelque chose de normal, pas là, et ça fait du bien.

Nous rencontrons Kengo, jeune homme passionné de Baseball, très doué. Malheureusement pour lui, un jour, il force trop et se blesse. Enfin, malheureusement, oui et non. Il ne peut pas jouer, mais c'est grâce à ces heures de libre qu'il rencontre Yoshioka. C'est un personnage assez bien construit, qui change des stéréotypes dans les Yaoi, qui se pose certes quelques questions, mais qui ne s'attarde pas sur celles-ci. Il n'est pas du genre à se demander encore et encore pourquoi trouve-t-il ce garçon trop craquant alors qu'il est hétéro, ou pourquoi a-t-il envie de l'embrasser. Juste quelques fois, alors que dans beaucoup de Yaoi c'est tout le long de l'histoire. C'est un garçon très attachant, qui pense au bien être et à la sécurité de Yoshioka avant tout, qui l'aide à avancer, et c'est tellement beau à voir.

Et puis, il y a Yoshioka, un jeune garçon, à peine plus vieux que Kengo, passionné de musique. C'est cette dernière qui l'aide à se relever après les mauvaises choses qui lui arrivent. Il s'évade grâce à elle, fuit ses démons comme cela. Je me suis beaucoup reconnue grâce à cette passion pour la musique, cette dernière m'est essentielle. J'en ai réellement besoin, et j'ai l'impression que c'est pareil pour Yoshioka. Ce dernier s'est fait harcelé, et il ne suit plus les cours depuis un an, il ne vient dans l'établissement seulement pour être en salle de musique. Encore une fois, je me suis reconnue dans ce personnage, parce que j'ai moi aussi subi du harcèlement. Beaucoup moins grave, ca n'a pas été aussi loin, mais j'ai une phobie sociale à cause de ça. Et j'ai un peu eu l'impression qu'il avait cette phobie, lui aussi, sans que ce soit marquer dans le livre. C'est un personnage très fort, très touchant, qui a été un véritable coup de coeur. Je vous invite à lire ce livre seulement pour découvrir ce personnage, qui change lui aussi des stéréotypes.

L'histoire est très touchante, il y a un moment où j'ai lâché ma petite larme. En effet, je ne dirais pas qui pour ne pas spoiler, mais un personnage se révèle asexuel, sans envie de sexe. Et si vous saviez à quel point c'est dur de trouver des personnages asexuels dans les bouquins traduits en Français ! On ne se sent pas représenté. Et là... si. C'était juste incroyable lorsque j'ai lu cette partie. Ca m'a redonné espoir. J'aimerai tant remercié la mangaka pour cela.

Parlons aussi d'une chose qui fâche : le viol romantisé. Effectivement, les viols sont souvent romantisés dans les Yaoi, c'est malheureux à dire mais c'est le cas, mais pas là. le viol est un viol. Les attouchements sexuels sont des attouchements sexuels. Les bourreaux sont les méchants et les gens stupides. La victime est la victime. Et la reconstruction est difficile. Encore une fois, j'aimerai tant pouvoir remercier la mangaka pour cela.

Les dessins sont sublimes j'ai même envie de dire poétiques. Tout en légèreté, magnifique.

En bref, un excellent Yaoi qui casse les codes, les stéréotypes. Une mangaka que je vais désormais suivre de près. Une histoire d'amour belle et forte, clairement niaise, et une très belle morale, qui redonne de l'espoir. Je lui donne la note de 4/5.
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Tout d'abord un grand merci à Taifu Comics pour cette belle découverte. Je prends toujours un immense plaisir à découvrir leurs nouveautés et je suis rarement déçue. Ce manga ne fait pas exception à la règle, et ça a été un très beau moment de lecture pour moi.

La couverture est magnifique, ne trouvez-vous pas ? Elle transmet une ambiance très douce, très tendre, qui se retrouve bien dans le manga. le dessin y est vraiment très beau. Je n'ai pas bien compris le titre, par contre. Il est joli, hein ! C'est juste qu'il faut encore que je réfléchisse à sa signification par rapport au contenu du manga. C'est le côté « ultramarine » que je n'ai pas vraiment compris. Même si ça va bien avec le ciel très bleu de la couverture. ^^ Si je trouve une réponse à ma question, je vous la donnerai. ;-)

Les dessins sont assez particuliers, mais plaisants. Ils vont bien avec l'ambiance du manga. Il y a un fort contraste entre le personnage de Kengo, qui fait gros dur, et celui de Yoshioka, qui fait tout doux et tout mignon.

Ce manga est étonnamment tout de douceur et de délicatesse. Pourtant, le thème abordé est très dur. On ne parle pas seulement de harcèlement scolaire, ici. On parle également de violence, et de viol. On en voit (sans vraiment d'érotisme, ça reste un manga très soft de ce côté-là) même des images, des souvenirs du traumatisme vécu par Yoshioka l'année précédente. le point de vue étant centré sur Kengo, on n'a pourtant pas une sensation d'extrême violence à la lecture de ce manga, même si on souffre d'apprendre ce qui s'est passé, qu'on en est bouleversé et horrifié. On l'est du point de vue de Kengo, qui est moins concerné, forcément, que Yoshioka.

Yoshioka est un personnage un peu mystérieux, que j'ai beaucoup aimé voir évoluer. Au début, il n'exprime pas grand-chose d'autre qu'une courtoisie de mise. Il n'est pas bavard, mais il ne rejette pas non plus Kengo, qui le découvre par hasard dans la salle du piano, où il joue. L'oncle de Kengo est prof de musique, et il semble avoir pris Yoshioka sous son aile. Qu'est-ce qui relie les deux hommes ? L'oncle n'est pas le prof principal de Yoshioka, pourquoi semblent-ils si proches ? D'abord curieux, Kengo va rapidement réaliser qu'il est titillé par les affres de la jalousie…

L'histoire d'amour est douce et respectueuse. Kengo, au départ, semble être, donc, un gros dur sans cervelle. Gros contraste avec Yoshioka qui est un solitaire qui passe son temps à lire et a un comportement très mature. Mais en fait, Kengo est un personnage tendre, respectueux, qui se soucie vraiment des autres. Il est très entouré, et si ses amis sont agités, ils sont en fait tous des garçons ouverts et amicaux, qui vont accueillir Yoshioka avec une spontanéité désarmante, et ce même en sachant ce qui lui est arrivé dans le passé. Sans chercher à savoir s'il est vraiment gay ou non, sans chercher à le juger.

Kengo réalise peu à peu qu'il est en train de tomber amoureux de Yoshioka, mais il se retient, ne veut rien dire, parce qu'il est persuadé que Yoshioka est dégoûté par les hommes. Quelque part, il a raison, mais Yoshioka s'ouvre peu à peu à lui, parce qu'il peut avoir confiance en lui, y compris quand il accepte de sortir avec lui mais dans une relation platonique. Avec la fougue de la jeunesse, les hormones, etc, on pourrait imaginer que Kengo en soit gêné, voire rebuté, et c'est ce que Yoshioka craint, mais au contraire, tous deux apprennent à s'accepter tels qu'ils sont, avec leurs limites, envies et difficultés. Kengo respecte les traumatismes de Yohsioka, et Yoshioka accepte les désirs de Kengo. Ils en parlent, ils s'ouvrent, peu à peu… c'est très touchant. Au départ, je ne pensais pas adhérer avec le personnage de Kengo, mais il a su me conquérir en douceur, de la même manière qu'il a conquis Yoshioka.

Quant au « méchant » de l'histoire, j'ai beaucoup apprécié le « dessous de couverture » dans lequel l'auteure explique sa vision le concernant, ce qu'elle pense de lui… les paroles de l'oncle, aussi, qui dit « je ne pense pas qu'il existe des gens 100% mauvais » ». Je pense moi aussi que ce jeune homme était gay refoulé, jaloux de Yoshioka… sans doute amoureux de lui, sans oser se le révéler. La réflexion sur le fait que ceux qui harcèlent sont souvent ceux qui ont des complexes m'a beaucoup touchée, je la trouve très juste. Même si ça ne pardonne pas ces actes, ça permet de prendre un peu de recul, et quelque part, de plaindre ces gens-là aussi…

En tous les cas, The first love in ultramarine est un manga qui m'a touchée. J'aimerais voir un second tome avec un vrai retour sur l'histoire de Yoshioka, même si ce serait dur, je trouve que ça vaudrait le coup d'aller au fond des choses. Mais en soi, ce one shot est très beau, doux et tendre, plaisant à lire, pas vraiment léger, mais pas trop lourd non plus, une manière pastel d'aborder un thème difficile, en profondeur, mais sans trop bouleverser. Je vous le conseille chaudement.

Aurélie, pour le blog d'Amabooksaddict
Lien : http://amabooksaddict.blogsp..
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Tout d'abord, merci à Babelio et à Taifu Comics de m'avoir fait découvrir ce manga à l'occasion de la Masse Critique Graphique.

Ce manga se lit rapidement mais les thèmes qu'il aborde mérite qu'on s'y arrête. On est dans du yaoi, donc une histoire d'amour entre deux hommes (si vous en doutiez, c'est que vous n'avez pas regardé la couverture).
Nos deux héros n'ont pas vraiment de points communs. Kengo aime le baseball, fait partie du club de son lycée et a une personnalité plutôt chaleureuse, bien qu'il puisse être plutôt maladroit dans l'expression de ses sentiments, aussi bien dans les paroles que dans les gestes. Yoshioka est bien plus renfermé, aussi bien à cause de ce qui lui est arrivé que par nature, et préfère la lecture et la musique.
Voir ces deux-là se rapprocher peu à peu, avec beaucoup d'hésitation des deux côtés, est vraiment touchant. le début de cette histoire n'est pas facile, surtout quand on en apprend plus sur le passé de Yoshioka.

Le thème principal reste celui du harcèlement scolaire (ce n'est pas un spoiler, le résumé le révèle déjà). Yoshioka est très vite devenu le souffre-douleur de certains élèves de sa classe et ce qu'il a subi était plutôt extrême (et le harcèlement fait déjà partie des extrêmes pour moi).
La période de harcèlement s'est déjà terminée quand le manga commence. La question n'est donc pas de voir comment Yoshioka a vécu cette période de sa vie mais plutôt comment il va s'en remettre, ce que je trouve finalement plus intéressant. Nous savons que le harcèlement, sous toutes ses formes, existe mais on ne se pose pas assez la question de l'après.
La phrase de l'oncle de Kengo, « je ne pense pas qu'il existe des gens 100 % mauvais », m'a aussi marquée. Même si la mangaka ne s'attarde pas vraiment sur les harceleurs de Yoshioka et leurs motivations, elle introduit quand même une certaine nuance dans son histoire, montrant que rien n'est jamais tout noir ou tout blanc. Pour moi, c'est une possible explication même si cela n'excuse rien.

En résumé : une histoire d'amour tendre et touchante associée à un thème plutôt difficile mais qu'il faut quand même aborder.
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Après avoir découvert Ringo Yuki avec Goodbye Lilac et Tamayura pour lesquels j'avais eu de gros coups de coeur, j'ai cherché une oeuvre plus ancienne : The first love in ultramarine, dont le titre me plaisait bien.

L'histoire est telle que je m'y attendais. Nous suivons un jeune joueur de baseball un peu paumé après sa blessure à l'épaule qui fait la rencontre d'un autre lycéen encore plus perdu que lui, que la vie semble ne pas avoir épargnée. L'histoire est rondement menée dans ce oneshot, le rythme est soutenu, au point que parfois je me suis dit que ça allait peut-être un peu vite et que j'aurais aimé qu'on creuse les personnages ou du moins qu'ils prennent plus leur temps parce qu'ils sont vraiment très intéressants.

En effet, j'ai beaucoup aimé découvrir ces deux garçons. le premier, Kengo, est peut-être un peu trop lisse et simple au début, mais il s'étoffe vraiment au fil des pages. J'ai aimé sa franchise, sa spontanéité, sa candeur aussi mais surtout sa bienveillance et son tact. Il sait vraiment prendre soin des autres, les écouter et avancer à leur rythme. Cependant le plus intéressant reste indubitablement Yoshioka dont le triste passé est au coeur de l'histoire. Yoshioka a redoublé et ne va plus en classe suite à des incidents horribles qui se sont passés l'année précédente et qui montre l'ampleur que peut prendre le harcèlement dans les lycées japonais. J'ai été très touchée, pour ne pas dire écoeurée, par ce qui lui est arrivé, l'autrice sachant parfaitement le mettre en scène pour nous alerter.

Dans ce oneshot, le sujet du harcèlement est coeur de l'histoire, mais aussi celui l'homosexualité chez les adolescents et dans les lycées, qu'elle est l'image que cela donne aux autres, comment réagissent-ils, ont-ils droit de tout faire et dire. La mangaka n'ose pas frapper un grand coup sur la table pour dénoncer ce qui peut se passer mais elle fait passer le message avec beaucoup de justesse et montre combien la reconstruction est dure et douloureuse et nécessite l'aide des autres.

Concernant le dessin, il me plaît toujours autant. Il est doux, fin, mélancolique et puissant quand il le faut. On ressent parfaitement les sentiments agités des personnages à travers le trait de Yuki Ringo. C'est une vraie réussite.

Mon seul regret est que l'histoire s'arrête si vite malgré les quelques pages bonus tout à la fin. Je pense qu'il y a un vrai potentiel ici, que l'autrice sait déjà nous toucher avec des sujets sensibles, mais qu'ici on n'est qu'aux prémices de ce qu'elle sera ensuite capable de faire.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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critiques presse (1)
ActuaBD
24 août 2017
Récit complet sur le harcèlement scolaire et l'homosexualité, une œuvre simple et touchante qui fait mouche grâce une ambiance pudique au ton étonnamment doux.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (2) Ajouter une citation
J’ai réalisé que lorsque des trucs terribles arrivent aux gens, ils se mettent à ne plus rien ressentir.
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T'as un épi. Ça m'agace.
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