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Nice House on the Lake tome 1 sur 2

Alvaro Martinez (Autre)
EAN : 9791026827887
184 pages
Urban Comics Editions (03/02/2023)
4.28/5   491 notes
Résumé :
Tous les conviés connaissent Walter - enfin, ils le connaissent un peu, en tout cas. Certains l'ont rencontré dans leur enfance, d'autres l'ont rencontré quelques mois auparavant. Et Walter a toujours été un peu... absent. Mais après une année difficile, personne n'allait refuser l'invitation de ce dernier dans une maison de campagne située à l'orée d'un bois et avec vue sur lac. C'est beau, c'est opulent, c'est privé ? de quoi supporter les petites combines et les ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (60) Voir plus Ajouter une critique
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Un week-end dans une somptueuse maison au bord d'un lac magnifique, avec des personnes que vous avez parfois croisé dans votre vie ou que vous ne connaissez pas du tout. Un hôte qui ne semble pas du tout être ce que vous croyez. Et en dehors de cette bulle paradisiaque, la fin du monde …
On pourrait se croire dans le début d'une histoire bien horrifique ou pour tout le moins, à suspense et on se trouve plutôt dans un huis-clos sous tension.
Une dizaine de personnages, désignés autant par leur nom que par leur fonction (Ryan Cane, l'artiste, Norah Jacobs, l'autrice, etc.) sont invité par Walter, un homme énigmatique, dans sa superbe propriété.
Tout est pour le mieux quand, grâce aux réseaux sociaux, et sur les chaînes d'infos, on apprend que New York est parti en fumée, que la planète entière est en proie à l'apocalypse et que Walter les a choisi afin de les épargner.
A partir de là (on en est au tout début), les auteurs s'attardent sur chacun des personnages et sur leur interaction, beaucoup plus que sur le contexte cataclysmique. On a droit au passé de chacun et notamment leur rencontre avec Walter à différentes étapes de leurs vies, pour certains au lycée ou à la fac, pour d'autres lors de soirées, etc. avec souvent cette question lancinante : « Tu l'imagines comment, toi, la fin du monde ? »
Chacun réagit à la situation avec son caractère propre, la dénégation, la révolte, la tentative de fuite, la quête de réponse, l'exploration de la propriété ...
Et puis, il y a ces étranges sculptures un peu partout. Que signifient-elles ? Pourquoi sont-elles là ?
Beaucoup de questions se posent à la fin de ce premier tome de ce qui est présenté comme un diptyque.
Le scénario est vraiment excellent, sans temps morts, avec une tension crescendo et des interrogations qui s'accumulent. On est comme les personnages. On ne sait pas pourquoi ils sont là ? Quel est le plan de Walter qui n'est presque jamais avec eux. Qui est-il (ou qu'est-il) ce Walter ?
Il n'y a pas de scènes d'horreur, ni réellement de violence ou si peu mais une peur sourde grimpe lentement du fait que justement, on s'attend à ce qu'il arrive un truc et puis ...
La composition graphique d'Alvaro Martinez Bueno est tout simplement incroyable de justesse, en phase totale avec l'intrigue. Des dessins réalistes et souvent poisseux qui accentuent le malaise et la lente montée du frisson.
On se retrouve aussi parfois, avec des éléments qui ont participé à la création de l'oeuvre, des pages de scénario, des mails… de l'étrange qui se rajoute au bizarre.
Ce premier opus est donc un tour de force plutôt original dans la production actuelle. Espérons que la suite nous donnera quelques réponses et prolongera notre plaisir.
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Ce comics part d'une très curieuse idée où l'un de vos amis universitaires avec qui vous avez tant partager est en fait une sorte d'entité provoquant une dizaine d'années après la fin du monde mais vous épargnant avec un groupe d'amis. Qui de mieux qu'une villa luxueuse au bord d'un lac dans le Wisconsin ?

On pourrait être reconnaissant à cet ami Walter qui nous veut du bien de nous avoir épargné des brûlures au quatrième degré. Cependant, ce n'est pas l'attitude de la majorité du groupe prisonnier de cet espace-temps.

J'avoue ne rien avoir lu de ce genre et cela a rendu ma lecture particulièrement intéressante à cette découverte originale. Evidemment, on se pose beaucoup de question sur ce mystérieux personnage. L'intrigue est plutôt passionnante dans ce huis-clos digne d'un film d'horreur.

Cependant, la fin de ce premier tome semble relancer les cartes de manière tout à fait artificielle avec la possibilité d'un retour en arrière grâce à un homme providentiel. J'avoue avoir beaucoup moins aimé ce tour de passe-passe.

Pour autant, dans l'ensemble, malgré quelques passages sans doute trop bavards, c'est un titre assez iconoclaste qui mérite d'être découvert d'autant que la qualité graphique est également au rendez-vous grâce à une mise en scène parfaitement orchestrée.
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Club N°52 : Comics sélectionné ❤️
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On est là dans le haut panier de la BD.

Comics publié par Urban, en deux volumes (premier cycle), dont on découvre ici le premier.

Il s'agira de ne pas en dire trop pour laisser le lecteur découvrir l'histoire de ces douze personnages qui se retrouvent dans une somptueuse villa Américaine au bord d'un lac.

Un scenario qui emprunte aussi bien à Lost de J.J. Abrams, qu'au Huis Clos de Jean-Paul Sartre ou They Live de Carpenter.

Ici, on est devant une BD aussi passionnante dans l'écriture que dans les visuels.

Alternant trois temporalités, l'avant, l'actuel dans la maison et le futur qui n'est que vaguement suggéré, dans des visuels superbes, on reste scotché du début à la fin.

Si James Tynion IV réussit à maintenir le même niveau dans la seconde partie, avec Martinez pour les visuels, alors on sera en face d'une grande BD !

(Le Tome 2 étant sorti, il semble au niveau du premier… J'en trépide d'impatience !)

Greg
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Un album assez dense mais il est difficile de lâcher ce groupe de potes qui survit à la fin du monde dans une villa de rêves.

C'est ambitieux et en plus tout se tient, vraiment une belle réussite.

A noter que le tome 2 clos parfaitement ce premier cycle.

Gilles
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Le confinement Covid a donné plein d'idées aux scénaristes...

L'histoire se déroulant en huis clos dans une somptueuse villa.

Le scénario est très prometteur pour cette nouvelle série de comics grâce à un mélange de plusieurs genres : science-fiction, polar, horreur...

Vivement le tome 2 !

Aaricia
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Un bon mélange de genres.

En espérant que le tome 2 soit dans la continuité (et ne fasse pas un Lost).

Yann
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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C'est un récit d'apocalypse, six jeunes adultes se retrouvent invités dans une villa de luxe au bord d'un lac, ils découvrent que le reste du monde brûle dans une fin du monde horrible. Ils sont les seuls survivants, chance ou malchance. Des personnages bien campés, un suspense fort, un huis-clos étouffant, l'enfermement, les clans qui se forment dans ce petit groupe, ils sont beaux, dynamiques, il y a de la technologie, du mystère… tout un paquet de bonnes idées reprises à droite à gauche, comme le Dôme de Stephen King par exemple. On se retrouve donc avec 10 individus coincés dans cette villa et son environnement, où il est question de vie ou de mort, sans possibilité de sortir.
Le dessin est réaliste, efficace, volontairement excessif, le cadre est trop beau, l'horreur du dehors trop horrible.
Il y a tous les ingrédients pour un thriller de haute volée, des éléments très actuels, dans l'aire du temps, c'est même un peu trop gros.

Et en introduisant dans son récit tous les ingrédients à la mode, l'auteur nous prend à parti, nous flattant avec ce qu'on a envie de lire, c'est comme le résultat d'un brainstorming sur un scénario écrit dans un court d'écriture de roman.

Mais je suis sûr que l'auteur n'est pas dupe : Toutes les ficelles sont là, mais c'est aussi le sujet de l'histoire, il y a même une certaine ironie puisqu'il nous donne la recette de son récit, il nous montre l'armature, les schémas de construction, les fiches de personnages. Il nous laisse errer entre la réalité et la fiction, leur aventure est-elle réelle, ou est-ce une mise en scène, ce qu'ils vivent est-il une épreuve ou sont-ils un échantillon sauvegardé de l'humanité

On se retrouve confronté à une suite de mises en abîmes gigognes, le personnage central est lui-même le scénariste de ce que vivent les autres personnages, même dans les flashbacks, et chacun des protagoniste en est aussi l'auteur. Ce qui leur arrive est la fin du monde imaginée par l'une d'entre eux dans un flashback, et ces flashbacks en sont-ils vraiment puisque régulièrement, ces moment avec le personnage démiurge sont effacés, l'existence de chaque scène est mise en doute, et le scénario semble se créer de lui même, comme par un intelligence artificielle, ou que nous, lecteurs, étions le créateur de la fin du monde.

Voici un premier tome plutôt vertigineux, un vertige jubilatoire, une lecture joyeusement sado-maso, un récit sans surprise surprenant. J'ai hâte de découvrir la deuxième partie.
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Je régale en ce moment n'est-ce pas ? Deux critiques en même pas une semaine, même moi je m'épate. Que voulez-vous c'est le printemps. La motivation d'écrire des critiques me revient, même si je l'avoue, vous me manquiez. Enfin pas tous, mais certain(e)s. Les vrai(e)s sauront.

Mais passons aux choses sérieuses voulez-vous ? Il y a deux ans, avant mon voyage dans un univers parallèle, je visais le top 20 dans la catégorie « comics ». Bon évidemment, de l'eau a coulé sous les ponts, j'ai l'impression que certain(e)s énergumènes qui mangent et dorment dans des bibliothèques H24 ont rejoint la communauté, du coup j'ai été obligé de revoir mes ambitions à la baisse et de ravaler mon amour propre. Ah ces maudits campeurs de bibliothèques, les bougres. Bref, je vise désormais le top 50. Alors il faut s'y mettre il y a du boulot.

Le premier tome de « The Nice House on the Lake » m'a tapé dans l'oeil cet hiver, lors d'un bref safari au sein de la Fnac. Je vous rassure, il n'y avait pas de session « saut d'obstacles pour vos amis à quatre pattes » organisée à la Fnac ce jour-là, il y avait juste, comme souvent, une faune, comment dire, « très dense ». Vous voyez les campeurs qui confondent la Fnac avec leur salon ou leur chambre, les stressés du bocal qui posent 50 questions au vendeur si bien que ce dernier ne sait même plus où il habite après, celles et ceux qui lisent le synopsis quatre fois pour être sûr d'avoir bien tout imprimé, ou encore les fétichistes qui caressent les couvertures frénétiquement pendant de longues secondes ? Eh bien voilà.

Je reprends. La couverture m'a d'emblée séduit avec ses airs d'aquarelle empreinte de sublimes tonalités bleutées. Et pourtant, je suis le premier à me revendiquer hermétique au marketing contemporain puant, mais lorsqu'il s'agit de livres, je ne réponds plus de rien. En parlant de férus de livres (désolé les aficionados du numérique mais pour moi c'est un non catégorique), y a-t-il dans la salle parmi vous des tordus qui se complaisent à feuilleter l'ouvrage, au premier contact physique, en humant l'odeur qui émane des pages ? Rassurez-moi, je n'ai pas besoin de consulter un psy hein ? HEIN ??! Bon je me calme, il faut ménager son coeur, et ce à tout âge.

En fin de compte, cette intrigante couverture m'a amené à cette lecture. Voilà. Finalement c'était assez simple. Et derrière, quelle lecture, mais quelle lecture. Les planches sont d'une beauté hypnotique, avec ce coup de crayon à la fois grossier mais parfaitement maitrisé, qui confère une ambiance pesante, en même temps qu'une aura mystérieuse, aux bulles du comics. Mais le véritable coup de Maître, avec un M majuscule, revient à James Tynion IV, que l'on ne présente plus dans l'univers de la BD ricaine. L'histoire est tout bonnement fantastique, bénéficiant d'un postulat de base à la puissance inouïe et au traitement progressif habilement mené, avec en prime des personnages incroyablement écrits.

Oscillant tantôt entre noirceur et mélancolie, tantôt entre amour, colère et haine, l'incroyable dimension psychologique des personnages vous fera passer un délicieux moment de lecture. Je n'insiste pas trop sur l'univers post-apocalyptique qui n'est finalement qu'une toile de fond en filigrane : amateurs de science-fiction ou pas, vous devriez y trouver votre compte car il s'agit avant tout d'une aventure humaine, avec son lot de péripéties en tous genres.

Je ne vous fais pas un dessin hein ? C'était de la bombe atomique quoi. Je vous recommande donc chaudement (et froidement) ce comics et je vous retrouve bientôt pour le tome 2. Fin du game. Cheers. Ou xoxoxo pour les intimes, mais juste pour eux hein.
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critiques presse (10)
LeMonde
18 décembre 2023
Une histoire fascinante, à mi-chemin entre un roman d’Agatha Christie et l’angoisse existentialiste de Jean-Paul Sartre.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Syfantasy
09 mai 2023
Cette immersion graphique et ce sens de l'intrigue donne à The Nice House On The Lake tous les atouts pour devenir un must-read de l'année !
Lire la critique sur le site : Syfantasy
BoDoi
03 mars 2023
Le décidément doué James Tynion IV (Something is killing the Children, Departement of Truth) a imaginé chaque pièce de son puzzle avec minutie et les rebondissements sont d’une efficacité diabolique.
Lire la critique sur le site : BoDoi
LesComics
23 février 2023
Pensant qu’elle va passer une semaine de vacances rythmée par les baignades, la rigolade et les barbecues alcoolisés, la bande découvrira rapidement que leur ami et hôte, Walter, n’est pas ce qu’il prétendait être et que le monde ne sera plus jamais le même.
Lire la critique sur le site : LesComics
Bedeo
20 février 2023
The Nice House of the Lake n’est pas une banale intrigue policière. Après avoir brièvement introduit ses nombreux personnages qui entretiennent entre eux des relations complexes, la narration bascule rapidement dans la science-fiction : alors qu’ils font la fête, les protagonistes découvrent que le reste des États-Unis est en proie à la destruction.
Lire la critique sur le site : Bedeo
ActuaBD
16 février 2023
Une dizaine d'amis réunis pour une semaine de vacances, dans une somptueuse maison au bord d'un lac dans le Wisconsin. Un pitch de départ qui semble annoncer un whodunit classique... sauf que la victime s'avère l'humanité entière. Voilà qui change sacrément la donne.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDGest
14 février 2023
Ces six premiers chapitres font de The Nice house on the lake une réelle réussite. Malin, inquiétant, captivant et joliment mis en scène, le récit de James Tynion IV et de Álvaro Martinez est assurément une des sorties de ce début d'année 2023.
Lire la critique sur le site : BDGest
ActuaBD
14 février 2023
Une dizaine d'amis réunis pour une semaine de vacances, dans une somptueuse maison au bord d'un lac dans le Wisconsin. Un pitch de départ qui semble annoncer un whodunit classique... sauf que la victime s'avère l'humanité entière. Voilà qui change sacrément la donne.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
10 février 2023
Tout part donc d'une idée assez simple. Pour protéger ses amis d'une apocalypse qui emporte en très peu de temps la planète, un individu les invite à se rendre dans une belle maison, au bord d'un lac ou ils pourront désormais jouir, protégés, d'un interminable temps libre, libéré de toute contingence matérielle…
Lire la critique sur le site : Sceneario
LigneClaire
03 février 2023
Ils sont dix triés sur le volet par leur grand ami Walter qui les a connus ados ou plus tard. Ils sont ses invités dans une villa de rêve au bord d’un lac. Mais pourquoi ? James Tynion IV est au scénario de ce thriller qui flirte aussi bien avec Stephen King qu’avec la SF la plus classique.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
On ne peut pas mourir, il nous en empêche.

Alors il va falloir apprendre à vivre.
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A quoi bon nous confronter à la fin du monde ? Contentons-nous de nous réjouir de ce qu'on a, et d'en profiter au mieux.
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« Et toi, comment tu l’imagines la fin du monde ? »

Derrière le décors carte postale et l'invitation se cache une autre réalité toute… la fin du monde c’est pour maintenant !

Impossible d'en dire plus sans dévoiler des infos réservées à celles et ceux qui seront titillé(e)s par l’idée de plonger dans ce récit que je vous conseille fortement!

Côte scénario, l'auteur en appelle à ses mentors (mais pas que) pour nous absorber dans son univers apocalyptique, rythmé par les petits secrets de protagonistes, leurs alliances et leurs trahisons.

On retrouve l’ambiance des meilleurs huis clos de Stephen King pour animer la cohabitation des élus de Walter, des visions d’horreur à la hauteur des scénaristes Clive Barker ou John Carpenter, et on ressent l’esprit de celui qui lui a donné envie de devenir scénariste, l’auteur Neil Gaiman, le père de la série mythique « Sandman », qu’il cite et qu’il fait dessiner dans son ouvrage.
Côté dessin justement, nous ne sommes pas en reste, car Alvaro Martinez Bueno parvient parfaitement à incarner ces influences avec un trait ciselé, invasif et marquant.

Récompensé par 4 Prix Prix Eisner, « Nice House in the lake » est donc une petite claque, intrigante, addictive et dérangeante.

Et le meilleur, c’est qu’il s’agit d’un premier cycle, dont le cliffhanger nous frustre mais nous tient déjà en haleine en attendant la suite ! 
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Il est difficile de détraquer un engrenage quand on en fait partie.
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Plus une vanne fait mouche, plus elle tombe à plat.
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Videos de James Tynion IV (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de James Tynion IV
1,2,3 BD ! Chez les libraires ! vous présente les BD coups de coeurs de Vincent et la librairie Sanzot à Paris. - Anne Bonny de Matteo Mastragostino et Alessandro Ranghiasci à la boîte à bulles - The Nice House On The Lake #2 Scénario: James Tynion IV ; Dessins: Martinez Alvaro Édité par: Urban Comics - Evol par KANEKO Atsushi, édité par Delcourt / Tonkam 1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture. #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur : https://www.youtube.com/TraitpourtraitBD https://www.facebook.com/TraitpourTraitBD https://www.instagram.com/traitpourtraitbd/ https://twitter.com/TPTBD
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