Florence CESTAC et
Daniel PENNAC se donne rendez-vous dans un café parisien.
PENNAC demande à CESTAC de mettre en image l'histoire d'amour d'un couple qu'il a connu enfant et qui défrayait la chronique. En effet, Jean Bozignac, qui devait être l'héritier d'un grand vignoble, a été déshérité par son père, car il a épousé une jeune femme qui n'était pas de son milieu, Germaine.
De plus, Jean ne travaille pas, il joue aux cartes… et a vendu des oeuvres originales dont il a hérité de son oncle.
J'ai bien aimé le fait que l'histoire commence par une rencontre de CESTAC et
PENNAC, que l'on retrouve tout au long de la BD, ainsi que les commentaires des clients et du gérant du resto. Une gentille petite histoire, plaisante, mais qui à mon goût, aurait gagné à être un peu plus étoffée. Ce qui m'a un peu dérangé, c'est la taille des caractères. Ils sont TRES GROS. Etonnant !
J'hésite à mettre 3 points. Cette BD, pour moi, ne mérite pas autant de bruit médiatique. Pourtant, j'apprécie beaucoup
PENNAC. J'ai lu toute la série des Malaussène, qui m'avait beaucoup plu.