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Planète Centrale tome 2 sur 2
EAN : 9781612278643
Riviere blanche (02/04/2019)
4.62/5   8 notes
Résumé :
Aya Stilstone jeune capitaine rebelle va prendre son destin en main et décidera de poursuivre ses aventures, quels qu’en soient les risques, aussi bien dans l’espace que sur sa propre planète bien décidée à retrouver le Golden Hind et le Commandant Shamgar.

Elle plongera au cœur de la Planète Centrale et de ses zones interdites, elle sera confrontée à la mort, au chagrin, à la trahison, à la folie des hommes et des autres peuples qui vont jalonner son... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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J'avais beaucoup aimé les aventures d'Aya Stilstone dans Planète Centrale, et j'attendais avec impatience la suite… ne serait-ce que pour voir comment Aya évolue ! J'ai donc été ravie quand l'autrice m'a proposé via les réseaux sociaux de recevoir l'ouvrage via son éditeur.
Dans ce deuxième opus, on reprend les aventures de Aya là où on les avait laissées, à savoir qu'elle est capitaine sans vaisseau, et qu'elle a vite l'impression de tourner en rond dans son quotidien. Sa réputation la précédant, elle a des difficultés à retrouver un poste. Plutôt que de végéter dans l'univers idyllique de sa catégorie (par rapport à ce qu'elle a connu enfant), elle décide de se rendre en Zone Rouge, la zone pauvre et dangereuse, celle des laissés pour compte, pour essayer de reprendre contact avec Shamgar. Si vous vous souvenez de mon avis sur le premier tome, à ce moment de ma lecture, j'ai eu une vague inquiétude, car j'avais eu plus d'une fois envie de claquer la jeune fille à cause de son comportement de midinette, et j'avais peur d'être repartie pour un tour…
Alors oui, par moments, elle a encore des actes et réflexions un peu trop amenés par son côté fleur bleue, mais elle a, je trouve, évolué dans le bon sens. Là où j'avais peur de la voir baver devant Shamgar et ne plus rêver que d'une vie d'épouse (entendons-nous bien, chacun est libre de choisir sa vie, mais ce n'est juste pas ce que j'ai envie de lire^^), quitte à se mettre en danger ou mettre en danger les autres, elle est surprenante de maturité dans ses décisions. La midinette resurgit parfois, mais de manière plus sporadique, et ça me convient très bien !
On va à ses côtés partir à la découverte de cette fameuse Zone Rouge, mais aussi d'autres parties de la Planète Centrale qu'on ne connaissait pas encore. Sans compter les nouvelles planètes vers lesquelles on n'avait encore jamais navigué, ni Aya ni nous. le fait qu'elle découvre en même temps que nous de nouveaux endroits nous permet de les découvrir à travers son regard, de moins en moins naïf avec le temps qui passe. Et chaque région, chaque planète est l'occasion de découvrir de nouveaux peuples, ainsi que leur culture, leur façon de vivre. Yaël-July Nahon a sans conteste de l'imagination et du talent en ce qui concerne la création de ces peuples et de leur vie. On comprend de façon naturelle leurs façons d'agir, de réagir et d'interagir avec les autres peuples. Sans compter que chacun a vraiment ses caractéristiques et ses différences. Chaque peuple est unique. On pourra parfois y retrouver des travers assez humains, y compris chez des peuples non-humanoïdes, ce qui nous permet une certaine identification, bien utile pour servir le propos de l'autrice.
Outre ces nouvelles découvertes, j'ai adoré retrouver la Planète sans nom et ses habitants si doux et sages, et aussi Yïoo, savant fou concepteur du Golden Hind, dont le décalage avec les êtres qui l'entoure prête à sourire, et allège le poids de certaines situations dramatiques.
On va plus en détail, dans ce deuxième opus, dans les considérations politiques des dirigeants de la Planète Centrale, et au coeur des machinations qui en découlent. On découvre aussi les origines de la Planète, son Histoire, son passé… le pouvoir est particulièrement corrupteur, et les guerres en sont d'autant plus violentes, et potentiellement dévastatrices. Les intrigues de pouvoir sont extrêmement bien décrites, et tellement réalistes ! J'ai aussi beaucoup apprécié le fait que les personnages soient en nuances de gris, et pas manichéens. Ça permet de faire de Shamgar un personnage profond et complexe, et par la même d'éviter que Aya se pâme devant lui en permanence !!! Outre cette réflexion qui va encore me faire passer pour une vieille aigrie (ce que je ne suis toujours pas 😂), Shamgar est vraiment un personnage qui prend toute son ampleur dans ce tome, bien au-delà du beau capitaine corsaire dont je me souvenais dans le premier opus… C'est triste à dire, car il était déjà plus que ça, mais grâce à Aya, c'est l'image qu'il m'avait laissée !
Dans ce deuxième tome, on découvre vraiment plus en détail le fonctionnement de la Planète Centrale, mais aussi des personnages qu'on avait entraperçus dans le premier. On en apprend aussi beaucoup plus sur les personnages principaux, qui gagnent vraiment en profondeur. Sans compter les nouveaux personnages, et les nouveaux peuples rencontrés au fil des pages… J'ai l'impression que l'imagination de l'autrice est sans bornes en ce qui concerne la création de civilisations, car elle crée bien plus que juste un nom de peuple et de planète. Chacun a son Histoire, sa culture, sa façon de vivre, pas forcément compatible avec les autres. Et le tout dans un roman de 200 pages, ce qui est une prouesse !!!
Comme le premier tome, celui-ci a une conclusion qui peut se suffire à elle-même, même si…
J'ai reçu la version papier de ce livre de la part des éditions Rivière Blanche via la plateforme SimPlement. Merci à eux pour la découverte.
Lien : https://leslecturesdesophieb..
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Sous une fascinante couverture d'Yves Krief, le tome II de Planète Centrale tient haut la main les promesses du premier roman, pour ne pas dire carrément qu'il va bien au-delà. L'itinéraire d'Aya se poursuit dans une succession de péripéties qui confirment cette «instrumentalisation» dont elle pressentait faire l'objet depuis son enfance. L'approfondissement du contexte d'ensemble et des arrière-plans historiques, culturels, politiques, religieux apporte une grande part des éclairages relatifs à des questions qui se posaient dans le tome I, y compris (et ce n'est pas la moindre qualité) au sujet des personnages principaux. le lecteur va de surprise en surprise, d'émotion en émotion, retrouve avec Aya des protagonistes hauts en couleurs déjà très appréciés dans le premier volet (Noot et sa famille), des lieux où l'intensité spirituelle est très forte. Les contrastes sont très vifs entre les moments de calme apaisé, intériorisé, et les incursions à tonalité sombre dans la Zone Rouge où se trament nombre de trafics, ou les séjours faussement idylliques dans la Zone des Hors-Grade, foyer de complots et de machinations sordides entre une pléthore de factions que seuls le pouvoir et la domination intéressent.
Les ressorts des attaques diverses évoquées dans chacun des deux tomes, ainsi que ceux de la guerre imminente, sont dévoilés peu à peu, la confusion qui s'est installée à travers les informations glanées par Aya se dissipe seulement à la fin. Inutile de dire que l'on va attendre avec impatience le troisième épisode puisque Zone Rouge se termine à la veille de la guerre tant redoutée.
En synthèse, le fond est passionnant et d'une richesse foisonnante, le parcours ascendant de l'héroïne est impeccablement décrit – et l'on apprécie qu'elle conserve ce caractère impulsif, rebelle et sentimental qui la marquait dès le début de son aventure, alors que s'effacent petit à petit sa naïveté, son idéalisme initiaux.
Pour ce qui est d'éventuelles « parentés » dans le domaine de la S.-F., mon avis personnel et peut-être inattendu est de placer Yaël-July Nahon dans le sillage de Gilles Thomas/Julia Verlanger, notamment pour l'itinéraire du développement individuel d'Aya, la présence à ses côtés de personnages atypiques avec lesquels elle fait équipe pour avancer, et aussi la note très pessimiste sur le fait que l'Homme dégrade tout ce qu'il touche. Par l'exotisme, la variété de peuples non humains vraiment originaux, la musique des noms inventés (belle créativité !) dont les sonorités parfois inhabituelles chantent agréablement, les problématiques qui motivent certaines interventions, les évocations de mondes foncièrement étranges/étrangers pourtant imprégnés de spiritualité, de respect et d'amour de la Nature, de compréhension de l'Autre, c'est de B.R. Bruss que je rapprocherai Yaël-July Nahon car j'ai souvent repensé à des romans du vieux maître comme L'étrange planète Orga, L'espionne galactique et le Grand Marginal.
On doit autant féliciter Yaël-July Nahon que la remercier. Car de tels livres vous emmènent et vous font du bien, ce qui n'est pas le cas de tous.
Vive le tome III – vite et bien ! Car outre la résolution du conflit imminent (nul doute qu'elle sera astucieuse), un certain nombre de mystères reste encore à élucider, et la Planète sans Nom n'est pas le moindre…
Jean-Michel Archaimbault, le 6 mai 2019
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Chronique.
Planète centrale / Zone rouge
de Yaël-July Nahon
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Tout d'abord, je tiens à remercier Philippe Ward, pour ce service presse, dans sa collection Rivière Blanche.
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Résumé :
Aya Stilstone vient de la Planète Centrale colonisée par les humains depuis des temps immémoriaux. Elle est la jeune capitaine d'un gigantesque vaisseau-déchets, le 55B. Elle vogue seule de planète en planète pour accomplir sa tâche routinière. L'abordage du 55B par un navire-corsaire va bouleverser la monotonie de sa vie. Les révélations du Commandant Shamgar sur la réalité de sa planète, régie par un système autoritaire fait d'intrigues, de guerres larvées, de coups d'État feront s'effondrer les certitudes de l'indisciplinée Aya. En découvrant un nouvel univers où le pouvoir n'est pas là où on le pense, un univers où l'obéissance aveugle n'est pas une fatalité, un univers où les guerres sont légion tout comme l'émerveillement et l'amitié qui lui était jusqu'alors inconnue, Aya devra s'affranchir du système d'enfermement imposé par la Planète Centrale pour concrétiser son désir de liberté. Des aventures l'emmèneront dans des mondes inconnus, à la rencontre de peuples fantastiques et attachants aux coutumes étranges sur fond de guerres inter-galactiques.
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Comme vous l'avez compris, cette saga est un Space Opéra.
Dans le premier tome, nous faisons la connaissance de Aya, jeune capitaine d'un vaisseau-déchet au tempérament à la fois candide et déterminé. Sa vie bascule lors de sa rencontre avec le commandant corsaire Shamgar qui lui ouvre les yeux sur la réalité de leur monde.
D'aventures en rebondissements, le premier tome se termine sur une Aya délaissée par celui dont elle est éperdument amoureuse mais encore une fois déterminée à faire selon ses convictions. La plus importante à ses yeux: retrouver le Commandant qui a volé son coeur et son navire si particulier le Golden Hind.
Le seul problème étant que la Compagnie, suite aux évènements du premier opus lui met des bâtons dans les roues. Impossible pour elle de trouver un nouveau commandement qui lui permettrait de voguer dans l'espace, à la recherche de l'énigmatique Corsaire. Bien sûr, elle résoudra son problème, en se rendant dans la fameuse Zone Rouge, zone réservé aux rebus de la société.
Les ennuis débuteront une fois de plus pour Aya qui découvrant de nouveaux complots se mettra en danger afin de retrouver Shamgar. Chose faite, leurs mésaventures ne s'arrêteront pas là, bien au contraire. Aya risquera le tout pour le tout quitte à se mettre dans une situation sans retour...
J'ai été agréablement étonnée par ces ouvrages qui, bien qu'ils soient courts, nous offrent un univers bien structuré, très riche, avec des intrigues rondement menées. La plume est très fluide, très agréables et chaque personnage est attachant.
J'ai adoré la "Planète sans nom" sa façon bien particulière de se défendre contre les assauts de ses ennemis, les descriptions brèves mais qui nous font voyager.
La société, dans cette saga est organisée en différents grades, du premier au sixième ainsi que les Hors-Grade (les très hauts placés), et les rebus, exilés en Zone Rouge. Un peu comme dans notre société actuelle, on y voit chez ces Hors-Grade des complots pour le pouvoir et tandis qu'ils profitent dans le même temps d'une belle vie avec tous les avantages, les autres triment ou sont oubliés, délaissés dans cette fameuse Zone Rouge.
J'aime beaucoup Aya, toujours très émotive, prête à donner le meilleure d'elle même, à la fois fragile mais tellement forte.
J'ai beaucoup apprécié les membres de l'équipage du Golden Hind, chacun d'eux, vraiment. Shamgar est énigmatique, secret et aussi déterminé que la jeune femme qu'il prend sous son aile.
J'ai adoré le vaisseau Golden Hind, le fait qu'il soit sans doute une entité vivante. Les combats intergalactiques sont racontés avec justesse, simplement mais efficacement.
Le petit bémol je dirai est quelque chose d'infime: parfois, dans les dialogues, le récit n'est pas détaché de ceux-ci, ce qui peut perturber un peu au début.
J'invite les amoureux du genre à se pencher sur cette saga qui vaut vraiment le détour.
Merci à l'auteure pour cette belle découverte
Lien : https://www.facebook.com/san..
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Quand on a réussi à grimper l'échelle sociale et professionnelle, quand on est au zénith de sa réussite, en général, on prend le temps de tout savourer. On se retourne pour voir le chemin parcouru et éprouver de la fierté envers soi. Ce qui n'est pas le cas d'Aya. Pourquoi, après tant de sacrifices, de lutte acharnée, ne cherche t-elle pas à savourer sa réussite? Qu'est-ce qui la pousse à passer en zone rouge?
Avec Zone Rouge - Planète Centrale 2 et dans les pas de Aya, nous entrons dans un monde glauque où les règles, les lois n'existent plus. Un monde où chacun est une menace pour l'autre. Un monde sans foi ni lois. Cependant, ce monde ne jouit-il pas tout simplement de ses propres règles? Aya devra user de subtilité pour le découvrir. Nous retrouvons notre jeune femme plus décidée que jamais à aller au-delà des choix de ses supérieurs pour aller à l'aventure.
Avec une lecture addictive, nous accompagnons cette jeune femme à la recherche de la vérité. A la recherche de SA vérité. A la recherche d'elle-même. A la recherche de l'amour? Nous volons en compagnie de vaisseaux pour atterrir, pour amerrir, pour se poser sur des planètes exotiques aux populations tout aussi exotiques et énigmatiques. Notre jeune guerrière en quête de devenir ressent-elle quelque subterfuge qui pourrait mettre en péril l'équilibre de cette planète où elle a toujours vécu? Cette planète où elle se sent à l'étroit? Est-elle seulement en alerte par rapport à tout ce qui lui arrive? Aya trouvera t-elle des réponses à ses questions? Toujours est-il que, comme d'habitude, elle ira au bout d'elle-même. Au bout de sa curiosité. Au bout de ses désirs. Pour bien des aventures encore...
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La petite histoire

Nous retrouvons Aya, seule, dans la zone des G5, au chômage depuis qu'elle a perdu son vaisseau-déchet. Mais qu'est un pilote sans un engin à commander. Elle va décider de se trouver du travail en zone rouge, en toute illégalité... la piraterie s'ouvre à elle ! Nous allons une fois encore sillonner l'espace avec elle avec une arrière-pensée retrouver Shamgar et le navire-corsaire le Golden Hind. Elle va bien entendu se retrouver au coeur de problèmes intergalactiques et semer la zizanie.

Le contexte de lecture

Je me suis achetée cette suite dès sa sortie et je trouve enfin l'occasion de dévorer cette lecture. Je suis contente de retrouver les personnages et l'ambiance toute particulière de ce space opera.

Ce que je retiens de cette lecture...

Parlons d'abord de cette couverture signée Yves Krief : j'adore les micro détails qui reprennent des éléments du livre. Cette composition fourmille de pièces de puzzle qui assemblées rend justice à l'ambiance de ce récit.

Nous retrouvons la Planète centrale avec de nouvelles zones explorées, loin d'être des paradis, ce sont des lieux de corruption et d'illusions. J'ai aussi apprécié de séjourner à nouveau sur la Planète sans nom, à bord du Golden Hind...
Une fois encore Yaël-July Nahon construit le récit de façon à entraîner son lecteur dans l'action et les péripéties, pas de temps mort, on dévore les pages. On passe d'un complot résolu à de nouvelles questions, à de nouvelles trahisons. Les émotions sont elles aussi au rendez-vous, rien n'est épargnez à Aya qui est ballottée dans ce monde de brutes ou la légèreté, la paix sont absentes.

J'aime énormément les dialogues piquants notamment entre Aya et le père de Shamgar.

Enfin, revenons aux personnages. Aya s'étoffe un peu, prend de l'assurance, de la confiance, des responsabilités. C'est le personnage le plus intéressant car il est en perpétuel questionnement. Shamgar va montrer qu'il pratique un double-jeu fait de faux-semblants pour être stratège. Son père est un personnage odieux, tacticien, sans coeur. Nous allons retrouver des amis et faire la connaissance de personnages secondaires attachants parfois, exécrables souvent. Chacun permet de créer un univers riche, multiple et cohérent.

Une suite très attendue et qui tient ses promesses. Aya se retrouve au coeur de l'action et va prendre le commandement dans ce monde régit par les faux-semblants, les complots, le pouvoir en gardant sa fraîcheur, sa naïveté, sa spontanéité et ses émotions. Une héroïne malgré elle que l'on veut suivre... Un roman SF vivifiant à mettre dans toutes les mains (accessible, addictif) et sous la dent.

Lien : https://chrisbookine.blogspo..
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
31 mai 2019
On s'amuse et on dévore l'ouvrage en regrettant à la dernière page de ne pas en avoir un peu plus. L'univers dépeint devient plus sombre et plus riche, sa complexité aurait mérité peut-être un plus grand développement, notamment de l'aspect cyberpunk au sol dans la fameuse Zone rouge.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Le désir de posséder ou d'agrandir ses richesses, le désir d'augmenter sa puissance ou d'imposer ses croyances ont agité de tout temps l'univers. Imposer sa pensée à l'autre, le façonner jusque dans ses croyances, lui en imposer d'autres, lui voler ses terres et ses richesses, lui confisquer son passé et son avenir. Ne croyez-pas, Commandant, que ce type de comportement soit le seul apanage des humains. Bien des peuples agissent ainsi depuis que l'univers est univers.
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Dire qu’elle leur ressemblait il y a peu, tout entière aspirée par son désir d’ascension, son désir de fuir les zones surpeuplées où seule la promiscuité est un compagnon fidèle. Son unique ambition avait été la recherche de grands espaces. De ce rêve, il ne restait plus rien.
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Tout était grouillant et disproportionné, les wagons immenses et pourtant bondés vomissaient sans cesse un flot humain si dense que rien ne semblait le tarir. La foule se tenait debout, tellement serrée qu’Aya avait du mal à respirer.
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