La seule chose qui se présentât bien nettement à mon esprit, c'était la nécessité d'étudier les œuvres d'art comme on étudierait une langue nouvelle dont on ignorerait les combinaisons grammaticales, et dont, malgré cette ignorance, on aurait l'ambition d'apprécier le génie. Or je savais que le plus grand obstacle à cette appréciation,