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Critique de Luria
J'ai une petite manie.
Lire les livres qui me tombent sous la main dont un personnage porte mon nom. Et ce, quelque soit le bouquin. Ce doit être un truc pour flatter mon ego, tout ça. Bon heureusement pour ce dernier (l'ego) ça ne m'arrive pas souvent, aussi ai-je souri quand non pas un mais deux bouquins de la dernière opé Masse critique me mettaient en scène, puis quand j'ai été sélectionnée pour l'un d'entre eux.
C'est louable d'avoir des manies.
Sinon, j'avoue. Je n'aurais sans doute pas feuilleté ce livre, même vu en librairie car la couverture me déplaît (pas du tout ma came d'illu) , alors que c'est un bel objet. Beau papier, texte aéré et petit carnet de jeux à la fin. En farfouinant sur le net, j'ai aussi appris que la maison d'édition, le gâteau sur la cerise, se veut girl n' women friendly. C'est à dire, souhaite promouvoir la femme, sans écriture inclusive, dans ses thèmes (jeunesse mais pas que), ses personnages mais aussi ses auteurs. A mes yeux, une chouette (hou! Hou !) philosophie.
On pourrait croire que tout cela me rendrait partiale. Et bien même pas. Dès le début, le style de Fanny Abadie enjoué, péchu, dynamique entraîne et les pages sont rapidement dévorées.
Bon mais et l'histoire dans tout ça ?
L'histoire ?
Prenez un chaudron. Connecté à une prise USB pour rester bien chaud. Ajoutez-y des gamins qui ont l'air bien ordinaires, genre école-maison-dodo. Saupoudrez d'un zeste de sorcellerie, magie et mystères. Ajoutez-y des poils de créatures de contes. Touillez un peu, mijotez le temps de perdre 1 heure (quoi déjà!) dans les réseaux sociaux et vous obtiendrez un début d'aventures dont les tentacules débordent des cases et dont on ne sait très bien où elles vont nous mener... si ce n'est à l'envie de lire le deuxième tome. (Et de s'intéresser de plus près aux autres publications de cette maison d'édition).
Lire les livres qui me tombent sous la main dont un personnage porte mon nom. Et ce, quelque soit le bouquin. Ce doit être un truc pour flatter mon ego, tout ça. Bon heureusement pour ce dernier (l'ego) ça ne m'arrive pas souvent, aussi ai-je souri quand non pas un mais deux bouquins de la dernière opé Masse critique me mettaient en scène, puis quand j'ai été sélectionnée pour l'un d'entre eux.
C'est louable d'avoir des manies.
Sinon, j'avoue. Je n'aurais sans doute pas feuilleté ce livre, même vu en librairie car la couverture me déplaît (pas du tout ma came d'illu) , alors que c'est un bel objet. Beau papier, texte aéré et petit carnet de jeux à la fin. En farfouinant sur le net, j'ai aussi appris que la maison d'édition, le gâteau sur la cerise, se veut girl n' women friendly. C'est à dire, souhaite promouvoir la femme, sans écriture inclusive, dans ses thèmes (jeunesse mais pas que), ses personnages mais aussi ses auteurs. A mes yeux, une chouette (hou! Hou !) philosophie.
On pourrait croire que tout cela me rendrait partiale. Et bien même pas. Dès le début, le style de Fanny Abadie enjoué, péchu, dynamique entraîne et les pages sont rapidement dévorées.
Bon mais et l'histoire dans tout ça ?
L'histoire ?
Prenez un chaudron. Connecté à une prise USB pour rester bien chaud. Ajoutez-y des gamins qui ont l'air bien ordinaires, genre école-maison-dodo. Saupoudrez d'un zeste de sorcellerie, magie et mystères. Ajoutez-y des poils de créatures de contes. Touillez un peu, mijotez le temps de perdre 1 heure (quoi déjà!) dans les réseaux sociaux et vous obtiendrez un début d'aventures dont les tentacules débordent des cases et dont on ne sait très bien où elles vont nous mener... si ce n'est à l'envie de lire le deuxième tome. (Et de s'intéresser de plus près aux autres publications de cette maison d'édition).
