Le Théorème de Cupidon

Eh! bien moi, ce bouquin m'a détendu et mes zygomatiques avec !

Je l'ai trouvé bien souvent drôle, avec des situations comme tout un chacun peut être amener à en vivre.

J'ai adoré , le traquenard du speed-dating, mémorable ; enfin, les pauvres mecs en prennent pour leur grade, "des coqs qui ne peuvent plus se pavaner après ces bons coups dans l'aile" !!!


C'est ça que j'ai aimé, par dessus tout, cet humour vachard qui n'épargne
ni les femmes ni les hommes.
Désopilant !

Phileas et Gustave refont le monde. Tiens ! Je croyais que c'étaient que les filles qui faisait ça ?

Une belle rencontre du troisième type !

ça arrive ça dans la vraie vie ????

Cupidon était de la partie.

Sans prétention, mais rafraîchissant !

Première lecture de ces vacances, c'était vraiment le livre idéal pour se vider la tête, débuter sur une note de légèreté et d'humour.
j'ai bien aimé le récit à deux voix de ce futur couple qui se croise sans se voir, les références aux films et les flash-back.
Mais je pense que ce sera aussi vite oublié que lu, distrayant mais pas marquant.

J'ai passé un très bon moment de lecture grâce à ce livre d'Agnès Abecassis. C'est le livre idéal pour ne pas se prendre la tête. Une histoire qui permet de faire une pause entre deux genres complètement différents. Les personnages sont attachants, drôles et touchants. L'histoire est cousue de fil blanc mais se lit vite. J'ai particulièrement savouré la séance de speed-dating. Avec Agnès Abecassis c'est souvent très bon ou passable. Là, c'est tout bon.

Pas déçue par ce petit roman léger, frais et surtout drôle. D'ailleurs certaines situations m'ont carrément fait éclaté de rire !!! Distrayant et sans prise de tête, j'ai adoré !

"Le dimanche, on lit au lit".

J'ai toujours aimé les livres d'Agnès Abécassis.

Mais là les petits amis, et surtout les petites amies, car c'est plutôt au genre féminin que s'adressent les livres d'Agnès (quoique les mecs pourraient en prendre de la graine), je peux vous dire que le théorème de Cupidon, j'aime pas. Pour la bonne et simple raison que j'adoooooooooooooooore.

Je l'ai dévoré plus rapidement que le Cheese Delice, ce hamburger du Quick qui n'aura fait qu'une brève apparition dans le menu OK, mais dont Mostek et mon on est folles... Même que j'ai sondé les serveuses qui m'ont confirmé que personne ne le commandait, donc on a dû en faire notre deuil, car il reviendra sans doute jamais jamais.

Bon, chuis pas là pour parler Cheese Delice je sais.

Bref, dévoré illico presto, ce captivant roman écrit "comme à quatre mains".

Déjà ça, j'adore, les livres à quatre mains qui parfois donnent les deux versions de la situation, parfois enchaînent les scènes vues par l'un, puis par l'autre. J'adore ("j'adore" sera mon mot préféré de ce billet, je le sens).

Et puis c'est hyper drôle et hyper romantique à la fois, l'histoire d'Adélaïde et de Philéas, qui se connaissent sans se connaître, qui loupent leurs rencontres successives, faisant naître un suspense qui n'est, bien sûr, que provisoire, passque bon, hein, les histoires d'amour finissent toujours bien, en général... (ah bon c'est pas ça ?)

Bref, j'ai totalement adoré ce livre, adoré de chez adoré. (Tchu, faut que je diversifie mon vocabulaire, synonymes de adorer : déifier, glorifier, honorer, rendre un culte, révérer, sacraliser, vénérer, chérir, exalter, fétichiser, idolâtrer.

De par son histoire que j'aime d'amour, de par ses personnages attachants que j'aime d'amour bis (si des clones de Philéas existent, j'en veux bien un pour moi), de par l'humour distillé un peu partout que j'aime d'amour ter, de par l'histoire que j'aime d'amour quater et que je veux vivre la même là tout de suite.

Mais aussi passque Agnès Abécassis parle de mes amis/ennemis d'enfance Heckle et Jeckle, et passqu'elle cite Kramer contre Kramer (Billy "il nous faut des céréales", Ted "d'accord, quelle couleur ?" quééééééé souvenir), et puis passqu'elle cite aussi Quand Harry rencontre Sally, que je cite moi aussi en ce 30 mars, sur Planète célibataire, jour où je termine ce pétillant ouvrage, quéééé hasard dingue), passqu'elle écrit "je ne suis pas près d'accepter" et pas "je ne suis pas prête d'accepter" et puis aussi passqu'elle cite Ce que pensent les hommes (« Si un mec fait comme s'il s'en fout de toi, c'est qu'il s'en fout de toi ! » - yessssssssss, c'est prévu en méditation du 26 septembre, quééééééé destin fou) et passque tout ça tout ça, ben ça vaut son pesant d'or...

En résumé : j'adooooooooooore. Je déifie, je glorifie, j'honore, je rends un culte, je révère, je sacralise, je vénère, je chéris, j'exalte, je fétichise, j'idolâtre.
Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..

Cela fait quelque temps que le livre traîne dans ma PAL suite à une cadeaux dans une boox. J'avoue que je ne l'aurais pas acheter car très loin d'être mon style libertaire.
Cependant j'ai était surprise par la lecture fluide et légère. J'ai beaucoup rigoler suite au réaction des 2 personnages. J'ai aimer l'ai suivre dans leur parcours professionnel er privé.
La fin je l'ai trouver mignone presque digne d'un conte de fée !

Ahhh, encore une lecture feel good comme j'aime. Tout y est : humour, gags, jeux de mots, situation cocasse...
Voilà une comédie qui fait du bien.
J'ai juste une remarque : j'aimerais que ça ne se termine jamais :)
Merci à Agnès Abecassis de m'avoir tant fait rire.
Je le conseille...

Une lecture sympathique, qui se lit très facilement sans prise de tête. On se laisse entraîner tour à tour avec les deux protagonistes dans leurs péripéties quotidiennes et sentimentales.
Je ne connaissais pas cette auteure, mais je saurais désormais vers qui me tourner pour les moments de grande détente.

Un bon roman qui permet de ne pas se prendre la tête et qui dégage l'esprit. Un livre plein d'humour

Décidément j'aime bien Agnès, ou plutôt son écriture, entendez par là, ses romans, et tout particulièrement celui-ci

Agnès n'étant pas à son premier roman, habituée du genre, elle sait pourtant se renouveler, et créer à chaque fois un nouveau climat, une nouvelle ambiance et des personnages croustillants.

Ce roman me semble l'un des meilleurs, pourquoi? ( surement pas pour les maths ou les théorèmes)
difficile de le décrire, peut être parce que c'est sincère, imbibé de réalisme de situations cocasses mais bien vraies !

J'ai lu quelques critiques sanglantes notamment sur "charabistouille" non signées et infondées, qui auraient pu m'écarter de sa lecture, heureusement je tiens toujours à me faire ma propre opinion, Comme quoi ces critiques, anonymes sont a prendre avec un grand discernement.
Rien de plus facile que de détruire en un instant le long travail de l'auteur, simplement parce qu'on n'a pas aimé ou compris l'ouvrage.

Pour revenir au livre, oui le suspens jusqu'à la rencontre des lignes parallèles est long... mais tout l'intérêt du livre est justement le "parcours" pas le but (comme c'est souvent le cas dans nos projets de vie ) une fois ce dernier atteint il n'y a plus grand chose à raconter!!

il faut savourer ces flashback ainsi que les descriptions des personnages, vous y trouverez forcement des références autour de vous.
Pour moi, Agnes ( et c'est un compliment ) est le Gilles Legardinier au féminin, des écritures limpides, cohérentes nuancées de références, et toujours soigneusement calqué au réalisme.
BRAVO