L'entrée dans le mythe, l'effacement du récit ; les métamorphoses du désir, le lien vampirique entre modèle et artiste ; le narrateur et ses doublures, l'auteur et ses jumeaux. Voici quelques pistes proposées par
Jacques Abeille pour clore, brillamment en dépit du pessimisme ouvert par la fin de tout récit, son cycle des contrées. Méditation hantée par l'ombre, la mémoire des livres, leur problématique émancipation d'un pouvoir tyrannique,
La vie de l'explorateur perdu est avant tout un roman passionnant, au style captieux et envoûtant. Irrésistible invitation à se replonger dans toute l'oeuvre d'Abeille.
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