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Critique de HORUSFONCK
Le Lucky luke nouveau est arrivé!
Sitôt acquis, sitôt lu et à relire encore.... Et à chroniquer de suite!
L'actualité n'attend pas.
Un héritage dont il se serait fort bien passé, emmène notre cow-boy en Louisiane.
La guerre de sécession est finie depuis cinq années, et les noirs sont libres... Libre, mais vivant dans la peur du Ku-klux-klan, des persécutions et des lynchages.
Lucky Luke a hérité d'une riche plantation de coton (L'or blanc de l'époque) mais désire céder l'entreprise à ceux qui la font vivre: Les esclaves affranchis.
Car Lucky Luke le preux ne mange pas de ce pain (blanc)-là!
Bien entendu, le cow-boy qui tire plus vite que son ombre va se heurter aux propriétaires des plantations voisines....
Rajoutez à ce récit parfois poignant un marshall noir, les Dalton, les Cajuns, et un grand coup de vent (oh la fine allusion...) et vous obtenez un bel album trop court (c'est là son seul défaut) dans ses quarante-six pages.
Et bien sûr, avec quelques clins d'oeil aux légendes du sud et d'ailleurs.
Un album, aussi, "sur le fil" pour garder la retenue qui sied aux belles causes sans tomber dans le pathos ou la leçon d'histoire.... le genre de récit qui peu vite tourner au "casse-gueule" et à l'embourbement pire que dans les bayoux!
Alors, merci à messieurs Jul et Achdé d'avoir offert cette belle tranche d'aventures du cow-boy loin de chez lui.
Sitôt acquis, sitôt lu et à relire encore.... Et à chroniquer de suite!
L'actualité n'attend pas.
Un héritage dont il se serait fort bien passé, emmène notre cow-boy en Louisiane.
La guerre de sécession est finie depuis cinq années, et les noirs sont libres... Libre, mais vivant dans la peur du Ku-klux-klan, des persécutions et des lynchages.
Lucky Luke a hérité d'une riche plantation de coton (L'or blanc de l'époque) mais désire céder l'entreprise à ceux qui la font vivre: Les esclaves affranchis.
Car Lucky Luke le preux ne mange pas de ce pain (blanc)-là!
Bien entendu, le cow-boy qui tire plus vite que son ombre va se heurter aux propriétaires des plantations voisines....
Rajoutez à ce récit parfois poignant un marshall noir, les Dalton, les Cajuns, et un grand coup de vent (oh la fine allusion...) et vous obtenez un bel album trop court (c'est là son seul défaut) dans ses quarante-six pages.
Et bien sûr, avec quelques clins d'oeil aux légendes du sud et d'ailleurs.
Un album, aussi, "sur le fil" pour garder la retenue qui sied aux belles causes sans tomber dans le pathos ou la leçon d'histoire.... le genre de récit qui peu vite tourner au "casse-gueule" et à l'embourbement pire que dans les bayoux!
Alors, merci à messieurs Jul et Achdé d'avoir offert cette belle tranche d'aventures du cow-boy loin de chez lui.
