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sur 676 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Que ça a été long d'arriver au bout de livre dans laquelle la litanie des meurtres n'en finit pas. le narrateur entreprend d'assassiner tous ceux qu'ils considèrent comme des cons et va jusqu'à élaborer une théorie pour les identifier.
A moins que la police soit vraiment incompétente, il faut admettre que cette série d'assassinats est totalement irréaliste, le tueur de cons restant un équarrisseur amateur par ailleurs totalement insensible. J'imagine que c'est un parti de l'auteur mais il n'en tire pas profit pour son récit. Si le roman avait basculé vers l'absurde, la démonstration aurait peut-être été convaincante. Ici, rien n'en ressort vraiment si ce n'est qu'on entre toutes et tous dans le cadre de cette théorie non pas parce que nous avons perdu notre humanité mais parce qu'au contraire elle est notre identité. D'ailleurs, la partie théorique du roman sur ce qui fait qu'un con l'est ne tient jamais bien debout et le narrateur s'empêtre dans ses errements.
Dès que la police s'en mêle, on entrevoit plusieurs fins possibles (encore lointaines hélas) ; par exemple que le narrateur s'aperçoive lui-même qu'il est un sacré con et, fidèle à son action, se suicide. Ce n'est pas cette fin là que l'auteur a choisi mais elle est aussi peu surprenante et, je le crains, encore plus plate.
Quand on parle des cons, la fameuse formule de Michel Audiard vient à l'esprit (Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.). On sent bien que ça démange l'auteur de s'en servir mais non, il résiste jusqu'à la fin, se contentant de placer trois fois la première partie de la phrase dans la bouche du commissaire de police.
Bref, il ne suffit pas qu'il y ait des morts pour faire du bon humour noir. Que vous en semble ? (c'est l'expression favorite du commissaire ...)
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Ce livre est sympa, du moins le début, c'est vrai que lors des premières pages je me suis moi-même surprise à trouver des cons sur la route ou en allant faire les courses...... en revanche j'ai eu énormément de peine à le finir, l'histoire prendre un tournant qui ne m'a pas emballée, j'ai trouvé vraiment ennuyant ces pages et ces pages de philosophie d'un sur la connerie (bon ça, ça va encore, vu que c'est le thème du livre..) et de deux de tous ces philosphes rencontrés par "le héros" en mélangeant à tout ça une touche de film pour adultes....Enfin bref pour moi la mayonnaise n'a pas pris et j'ai un peu l'impression que l'auteur ne savait pas trop comment finir son livre, mais concrêtement l'idée de base est très originale.
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Après un début prometteur qui explique la démarche par laquelle l'auteur décide de supprimer tous les cons qu'il croise, les 250 pages suivantes ne sont qu'une succession de répétition de ces meutres ...
A l'époque des "Experts", il est impossible à concevoir qu'il ne se fasse pas prendre, quand on voit le manque de préparation et la manière instinctive avec laquelle il procède ...
Du grand n'importe quoi !
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Lu en Novembre 2017
Je ne me suis pas intéressée à l'histoire. Difficile à lire sans intérêt. Pas de suspense, même pour savoir si le meurtrier allait être trouvé. Les morts s'enchainent facilement.
Ce qui est sûr, c'est que nous rencontrerons toute notre vie des « cons » et parfois, notre patron en sera un et il faudra obéir à ses directives sauf si on est assez courageux pour démissionner et vire sans rien.
Ce lire m'a rappelé un autre livre où je n'ai pas trouvé l'intérêt le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson.
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Attirée par le titre et l'idée très originale, j'ai pensé «voila un roman qui promet grande intrigue et humour noir à gogo...»
A la lecture c'est bof bof et puis bof. Tout d'abord le style ou plutôt l'absence de style, une écriture indigeste et non fluide qui fait fourre tout. Des descriptifs de personnages ou de situations qui usent mon imagination. de la philosophie de comptoir. L'idée initiale essoufflée au bout de 100 pages et devient elle même une connerie martyrisée. L'ennui et puis l'ennui, j'ai fini par sauter des chapitres entiers. le livre aurait bien besoin d'un régime gende ça lui fera pas de mal de perdre 300 pages. Au final, je me suis senti vraiment conne d'avoir perdu ces 2j de lecture.
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Un homme entreprend de débarrasser la terre des cons… C'est souvent un peu cours (ses meurtres sont faits comme ça et ne sont jamais résolus lui garantissant une immunité facile. Ca prend un peu plus de consistance vers la fin quand il rencontre un commissaire avec lequel il élabore une théorie mais finalement ça tourne en une sorte de policier traditionnel... J'espère simplement que mon bouquin ne sera pas comparé à l'aune de celui-là car il n'a vraiment rien à voir... Je tue des sales cons mais avec art...
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Seul le titre est prometteur mais je n'irai pas jusqu'à dire que ce livre est nul. L'idée de départ est assez originale et ne pouvait que m'attirer. Malheureusement, je ne la trouve pas assez bien exploitée pour faire de ce livre un chef d'oeuvre d'humour noir comme peut l'être « le magasin des suicides » de Jean Teulé. J'ai bien entendu souri de nombreuses fois en reconnaissant certaines situations qui rendent fou notre héros. Cependant, cela n'a pas suffit pour efficacement m'accrocher aux pages de cet ouvrage.

L'histoire ne se résume qu'à une simple suite de prises de décisions arbitraires quant à la survie ou non d'une personne dite conne. A la X-ième mort cela devient lassant car l'histoire n'évolue plus de façon significative ou intéressante. La théorie (sous)développée par le héros n'a aucun sens, toutes les personnes croisant sa route sont susceptibles de mourir. Sa définition du « con » est tellement large que nous pourrions tous, à un moment ou un autre de notre vie, nous y retrouver.

Bref, grande déception mais sans doute l'attente était elle trop importante.

Lien : https://unecertaineculture.w..
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Un personnage pas assez sympathique ou révolté pour nous toucher, pas assez antipathique pour qu'on le déteste. L'ambiance est posée dès le début : les "cons" désignent tout le monde et personne, leur seul point commun étant d'avoir contrarié cet "anti-héros".
En arrière fond, on voit ce qu'on pourrait appeler une réflexion, mais le raisonnement est tellement creux qu'on termine le livre comme on l'a commencé : sceptique.
Le livre n'apporte rien : on ne le finit ni plus fâché, révolté, ou touché, ni plus heureux ou libéré(aucun effet cathartique), ni même plus tolérant.

J'ai préféré de loin God Bless América (film), qui m'avait pourtant aussi beaucoup déçu !
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Bof! Tellement invraisemblable sans jamais tomber dans le fantastique qu'il devient ennuyeux...Lisez le tiers et le reste est la même chose...(remarquez! A bien y réfléchir, je serai peut-être la Xième victime du héros...)
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Des ballons sur la couverture pour faire la fête ? mais la fête à quoi ? L'idée paraissait plaisante mais cette énumération de cons devient fastidieuse pour ne pas dire pire ! le pitch est très bien fait par contre...
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