Grace Kelly n'était pas celle que je pensais.
D'accord, j'avoue que jusque là, je ne m'étais pas tant interrogée sur sa vie, j'ai d'elle le souvenir de sublimes images, de sa beauté irréelle. de son mari, de ses enfants, de photos des Grimaldi/Casiraghi sur papier glacé. de Monaco, deuxième plus petit pays à monde (après le Vatican). de sa mort tragique et des rumeurs.
Lorsque j'ai eu le livre de
Sophie Adriansen entre les mains, je n'ai pas résisté à la curiosité d'en découvrir plus.
La couverture est superbement attirante. Et le contenu, hyper documenté, immédiatement captivant. Bref, je l'ai dé-vo-ré.
J'ai découvert une femme en demande d'amour et d'attention dès son plus jeune âge, se tournant vers des figures paternelles, cherchant à gagner la fierté d'un père.
Devant les images de cette femme belle, incarnant l'élégance, la classe, d'une actrice douée, oscarisée, adulée par
Hitchcock et Sinatra (entre autres), je n'avais pas deviné la souffrance, la mélancolie, le renoncement que décrit si bien
Sophie Adriansen.
La suite:
Lien :
http://blablablamia.canalblo..