L'année où je t'ai rencontré

Qui va là, tristesse
Vous ne l'aurez pas
Quelle audace de lui faire croire
Qu'elle n'est qu'un pauvre Pantin
Marionnettiste elle est
Et sûrement pas l'inverse
Les émotions sont des couleurs
Elle est le peintre qui les verse dans son jardin.
Pendant son congé de 1 an (de jardinage),
Jasmine poirote entre les allées de son existence
Tant elle a peur de se planter.
Il en résulte un texte assez bien écrit, qui se lit très bien mais à la construction trop connue. le jardin est beaucoup trop éclipsé par les remous émotionnels... alors qu'il fait l'originalité de l'histoire. Dommage!

Un livre à la couverture toute douce, avec des couleurs et des motifs tendres et romantiques et qui laissent présager une histoire dans le même style. Et ben non ! le personnage de Jasmine est loin d'être une petite chose fragile ! Chef d'entreprise et sûre d'elle (au premier abord), Jasmine ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle sait ce qu'elle veut et elle fonce pour l'obtenir. Suite à son licenciement et à son chômage forcé, elle va se retrouver chamboulée. Pour une fois, elle aura le temps de prendre du temps pour elle, de voir des amis et de rencontrer ses voisins. Et parmi ses voisins, s'il y a en bien un qui l'exaspère, c'est Max, présentateur radio aux méthodes contestées, ivre un soir sur deux. Au cours de l'année qui suit, Jasmine va découvrir son voisin et se découvrir elle-même.
Je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire ni à ce genre de personnages. Malgré l'utilisation de la 1ere personne du singulier (c'est Jasmine qui parle), je n'ai pas réussi à m'identifier aux personnages qui m'ont tous les deux bien agacée. L'année s'écoule lentement, Jasmine s'ennuie dans son chômage et moi aussi dans ma lecture...

Cette histoire raconte tellement le monde du travail actuel ! Elle, Jasmine, faisant carrière, se fait licencier avec une année de salaire pour protéger une concurrence éventuelle. Elle a une soeur partiellement handicapée. Lui, Matt, son voisin d'en face, marié avec enfants et producteur d'une célèbre émission radio, perd son job. Toute sa vie familiale part en éclats. Tout se joue dans un jeu de cache-cache entre ces deux personnages et autour des gens qu'ils aiment. Tiré du texte : « Je t'ai aidé à m'aider, tu m'as aidé à t'aider et c'est comme ça que les choses doivent être sinon l'idée même de l'aide est caduque». L'originalité de ce texte est que l'auteure emploie le «je» pour Jasmine et qu'elle emploie le «tu» pour personnifier Matt. Vu le nombre d'autres personnes dans l'histoire, la lecture m'a été un peu laborieuse…MG

J'ai beau adoré Cecelia Ahern, je ne peux pas dire que ce roman m'ait particulièrement plu… Je l'ai lu assez rapidement et facilement, mais l'histoire et surtout les personnages, m'ont laissé de marbre.

Pourtant, tout avait bien commencé. le début du roman est tout doux, je faisais connaissance avec Jasmine, personnage dans lequel je me reconnaissais plutôt bien, notamment par rapport au rapport difficile avec l'absence d'activité professionnelle. Et puis d'un coup, je ne l'ai plus suivie. Elle a pris une pente assez extrême, tournée vers l'alcool et la faiblesse, et je n'ai pas du tout apprécié cette évolution. Cela a totalement mon point de vue sur ce personnage, qu'au final je ne voulais plus suivre, et dont la conclusion de l'histoire ne m'intéressait plus.

J'ai également eu du mal avec les personnages secondaires, Matt en premier lieu, kéké en puissance. Monday est le parfait book boyfriend, trop beau/gentil/honnête/bienveillant pour être vrai. Je n'ai pas du tout compris les relations de Jasmine avec ces personnages, avec Matt en premier lieu. Ils se font des confidences à 21h40 et se balancent littéralement des verres à la tronche à 21h41… heu… non ! Et je n'ai pas non plus cru à la relation qui se crée entre Jasmine et Monday, ce dernier étant trop parfait pour être vrai.

J'ai également été déçue par l'histoire, qui souffre pour moi d'un manque cruel de tension. Certes, c'est une histoire très humaine à laquelle nous assistons, qui ne nécessite pas de « tension » à proprement parler pour tenir son propos. Mais tout de même, cette lecture ne m'a pas emballée. Dès le départ on sait comment le roman va se terminer, et à aucun moment je n'ai douté de la fin ou de l'évolution des personnages. Tout est vu et revu, il y a juste un peu plus de gueules de bois et de vomis crasseux au milieu, avec une pointe de voyeurisme, tant qu'à faire !

C'est la première fois qu'un roman de Cecelia Ahern me déçoit à ce point… S'il n'y avait eu sa plume, qui conserve tout de même un certain charme et réussit à instaurer pas mal d'émotions, ce roman aurait été affreux à terminer… Je suis peut-être simplement passer à côté, tant de l'histoire que des personnages.
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Je me faisais une joie de retrouver la plume et l'univers de Cécilia Ahern. Eh bien, je suis déçue.
Je ne suis pas arrivée à rentrer dans le roman.

On découvre Jasmine obligée de prendre un congés jardinage pendant un an.
Du coup, le roman se découpe autour des quatre saisons.

Jasmine s'adresse ici à Matt son voisin qui est à peu près dans le même cas qu'elle. Cette narration est originale et aussi déroutante. Il y a un côté paradoxal dans ce style : on a l'impression que Jasmine apprécie Matt vu qu'elle s'adresse à lui alors que leur relation est quasi inexistante au départ,ce sont des vagues connaissances ayant un passif.

Si le personnage de Jasmine m'a plu, l'histoire elle ne m'a pas du tout portée. Je m'attendais à quelque chose de dynamique : à une certaine rébellion de la part de Jasmine, il y en a mais trop peu à mon goût. Elle ne se bat pas, elle se laisse porter et regarde sa vie avec un certain fatalisme sans vraiment à chercher à trouver un sens à cette année.

Un point m'a beaucoup plu et fait souvent sourire. C'est la relation qu'entretiennent Jasmine et sa soeur Heather. On se demande souvent qui est la plus mûre des deux, la plus prête à faire de nouvelles expériences, qui est la plus handicapée de la vie. Mais là encore, on est dans le trop peu pour moi. J'aurais aimer plus d'interactions entre elles.

Un roman qui globalement ne m'a pas emballé, il y a quelques bons points mais pas suffisamment pour m'ôter mon sentiment d'ennui à cette lecture. Dommage car j'ai beaucoup apprécié "Le joueur de billes " de l'auteur.

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Alors là clairement on sort de ma zone de confort. du contemporain j'en lis, mais là c'était sûrement un peu trop tout doux tout guimauve pour moi. Pas de romance à proprement dit mais beaucoup, beaucoup de bons sentiments !

Jasmine et son voisin Matt se retrouvent chacun sans emploi au même moment. C'est l'occasion pour eux de se découvrir, de s'aider à se reconstruire… Malheureusement je n'ai éprouvé aucun attachement de ma part pour les deux personnages principaux ce qui a rendu ma lecture assez lente… L'une des activités principale de Jasmine pour sa reconstruction est le jardinage… qui n'est vraiment pas un thème qui m'intéresse beaucoup... Cela n'a pas du m'aider à rentrer dans cette lecture ! Enfin cette Jasmine prend tout le monde en grippe constamment et c'est fatiguant ! Elle prend en permanence la défense de sa soeur (qui n'en a pas besoin) et est la première a ne pas la considérer comme une personne à part entière et c'est extrêmement agaçant !

Le style d'écriture où Jasmine parle constamment à Matt avec ce "Tu" permanent m'a beaucoup déstabilisée et ne m'a pas convaincue et le rythme est très très mou !

Le message final est sympathique sans être transcendant. Très honnêtement je m'attendais à grand retournement à propos de ce voisin Matt qui expliquerait pourquoi tout le long du livre Jasmine lui parle directement, mais non…

En bref, un contemporain tout doux, tout gentillet si vous avez besoin de bons sentiments mais qui n'a pas su me convaincre.
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J'ai voulu découvrir un nouvel auteur et comme on m'avait dit que PS i love you était bien je me suis lancée avec ce livre. Très déçue de l'histoire plutôt mièvre. Les personnages restent attachants mais il ne se passe pas grand chose. Dommage! J'ai bien aimé par contre le style d'écriture.

C'est une jolie histoire d'amitié et de renaissance entre deux personnes que tout semble séparer. Je suis tout de même déçue car j'adore les livres de l'auteur et j'attendais celui ci mais je ne le trouve pas aussi captivant que les précédents romans.

Autant j'ai beaucoup aimé la narration, les personnages et l'intrigue et j'ai été agréablement surprise par la tournure de l'histoire : en effet, je m'attendais à une comédie romantique, et il s'est avéré finalement que ce roman était bien plus que ça. L'auteure aborde en effet les sujets de l'handicap, du deuil, de l'alcoolisme, de la solitude etc
Autant j'ai été déçue par la fin et la romance entre deux des protagonistes, que j'ai trouvé trop mièvre et prévisible.

Une lecture en demi-teinte, donc.

En bref, L'année où je t'ai rencontré c'est …
Ainsi, si L'année où je t'ai rencontré semble être un roman léger de prime abord, il n'en est rien. de nombreux thèmes sociétaux sont abordés et tout n'est pas positif, loin de là. Les personnages sont touchants même si je n'ai pas réussi à m'attacher à eux autant que je l'aurais souhaité. J'ai mis du temps à entrer vraiment dans le roman et j'ai trouvé que le rythme était inégal. Cela reste pourtant une jolie lecture.

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