Si tu me voyais maintenant

Les gens oublient qu'ils ont le choix. Et ils oublient que les problèmes d'argent comptent pour du beurre. Ils devraient se réjouir de ce qu'ils ont, au lieu de pleurer sur ce qu'ils n'ont pas... Au fait, espérer et rêver, ça ne signifie pas pleurnicher sur son sort. Il s'agit de positiver et d'encourager les ambitions, la confiance, pas les jérémiades.

Lorsqu'un verre, ou une assiette, tombe par terre, il s'écrase avec un fracas à réveiller les morts. Lorsqu'un vitre éclate ; que le pied d'une table se fend, qu'un cadre se décroche d'un mur, cela produit un bruit horrible. Mais lorsque votre coeur se brise, il le fait dans un silence complet. On pourrait penser, vu la portée de l'évènement, qu'il produirait un vacarme stupéfiant ou même un son bien à lui, un timbre grandiose comme un gong ou un petit bip. Bien au contraire : le silence est assourdissant, et rien ne vient vous distraire de la douleur.
Si bruit il y a, il reste enseveli au plus profond de vous. Votre coeur hurle mais personne ne l'entend, personne à part son propriétaire. Il hurle si fort qu'il vous transperce les tympans, vous vrille le crâne. Il se débat dans votre poitrine, cogne de toutes ses forces, rugit de colère. Voilà ce qu'évoque un coeur brisé : un animal pris au piège, épouvanté, ligoté, prisonnier de ses émotions. L'amour, ce sentiment qui n'épargne personne, peut se révéler aussi douloureux qu'une plaie à vif rongée par l'eau de mer. A l'intérieur, le chaos ; tout autour, un calme trompeur.

Lorsqu'un verre, ou une assiette, tombe par terre, il s'écrase avec un fracas à réveiller les morts. Lorsqu'une vitre éclate, que le pied d'une table se fend, qu'un cadre se décroche d'un mur, cela produit un bruit horrible. Mais lorsque votre coeur se brise, il le fait dans un silence complet.

Comme je l'ai déjà dit, je ne suis pas un super-héros ; je ne vois pas à travers les murs, je n'éteins pas les feux de forêt en soufflant dessus. Mon super-pouvoir à moi, c'est l'amitié, point barre. Je me tiens à l'écoute des gens, je les comprends. Je décrypte la manière dont ils s'expriment, les mots qu'ils emploient, et, surtout, je devine ce qu'ils ne disent pas. Les soupirs, les silences, les sous-entendus sont aussi importants que le reste.

Si bruit il y a, il reste enseveli au plus profond de vous. Votre coeur hurle mais personne ne l'entend, personne à part son propriétaire. il hurle si fort qu'il vous transperce les tympans, vous vrille le crâne. Il se débat dans votre poitrine, cogne de toutes ses forces, rugit de colère. Voilà ce qu'évoque un coeur brisé : un animal pris au piège, épouvanté, ligoté, prisonnier de ses émotions. L'amour, ce sentiment qui n'épargne personne, peut se révéler aussi douloureux qu'une plaie à vif rongée par l'eau de mer. A l'intérieur, le chaos ; tout autour, un calme trompeur.

Un coup d'oeil, même furieux, vaut mieux qu'une indifférence marquée: c'est quand on devient transparent aux yeux des autres qu'il faut commencer à s'inquiéter.

A l'instar des enfants, les personnes âgées sont capable de croire et d'espérer, en particulier lorsqu'elles sont très malades ou qu'elles se sentent décliner. Dans ces périodes d'angoisses, elles puisent la force de méditer sur leur destinée, leur but sur cette terre et les possibilités qui leur restent. Elles relâchent leurs défenses, s'ouvrent à de nouvelles expériences, se mettent à l'écoute de leur corps et de leur esprit. Seuls ceux qui se situent entre les deux bornes de la vie, l'enfance et la vieillesse, portent des œillères.

Elle a dit qu'elle allait sur la Lune. Il paraît que les habitants y sont plus ouverts d'esprit.

Les étoiles s'apparentent aux gens, Elizabeth. Ce n'est pas parce qu'elles donnent l'impression de provenir du même endroit que c'est vraiment le cas. Il s'agit d'une illusion d'optique provoquée par la distance. Toutes les familles n'arrivent pas à rester unies, chacun suit son propre destin. l'idée qu'on tire de notre origine du même creuset est erronée ; s'éparpiller dans le cosmos, c'est dans la nature de chaque être vivant, de chaque créature sur terre.

Lorsqu’un verre, ou une assiette, tombe par terre, il s’écrase avec un fracas a réveiller les morts. Lorsqu’une vitre éclate, que le pied d’une table se fend, qu’un cadre se décroche d’un mur, cela produit un bruit horrible. Mais lorsque votre cœur se brise, il le fait dans un silence complet. On pourrait penser, vu la portée de l’événement, qu’il produirait un vacarme stupéfiant ou même un son bien à lui, un timbre grandiose comme un gong ou un bip. Bien au contraire: le silence est assourdissant, et rien ne vient vous distraire de la douleur. Si bruit il y a, il reste enseveli au plus profond de vous. Votre cœur hurle mais personne ne l’entend, personne à part son propriétaire. Il hurle si fort qu’il vous transperce les tympans, vous vrille le crâne. Il se débat dans votre poitrine, cogne de toutes ses forces, rugit de colère. Voilà ce qu’évoque un cœur brisé: un animal pris au piège, épouvanté, ligoté, prisonnier de ses émotions. L’amour, ce sentiment qui n’épargne personne, peut se révéler aussi douloureux qu’une plaie à vif rongée par l’eau de mer. A l’intérieur, le chaos ; tout autour, un calme trompeur.