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Critique de theobservor


Kerr, Parot, D Aillon, d'Estienne d'Orves,…ou comment mélanger histoire et intrigue « policière ».
Ni totalement roman historique, ni totalement roman policier, ni totalement autre chose et pourtant cela suscite une motivation : un intérêt historique, une intrigue bien menée, une évolution judicieuse des personnages, un voyage dans le temps, une écriture fluide.
Ce type de roman met aussi en avant quelque personnage tombé dans l'histoire noire de France suite à une propagande habillement menée par les historiens des siècles passés pour des motivations peu sincères.
Ainsi, on découvre catherine de Médicis et sa vie digne d'un roman…tout comme l'ensemble de cette famille ( aussi connue qu'une autre).
Issue d'une puissante famille de Florence. Pour autant cette filiation n'est pas à un rempart contre les aléas de la vie.
Orpheline très jeune, enfermée à 8 ans dans le couvent des Murate après que les Médicis sont chassés de la ville, en 1527.
C'est son oncle, le pape Clément VII, qui la donne en mariage à Henri, le fils cadet de François 1er.
A la mort du dauphin, son mari est promis à devenir roi et elle reine. Mais, nouveau coup du sort, elle ne parvient pas à tomber enceinte. Dix ans durant, le royaume attend un héritier. On envisage de la « démarier ».
Elle dirigera la France après la mort de son époux, survenu lors d'un tournoi alors que son fils, l'héritier au trône n'a que 11 ans.
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