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EAN : 9781406872057
88 pages
The Echo Library (21/04/2008)
2.62/5   4 notes
Résumé :
Jim l'Indien est paru sous la double signature de Gustave Aimard et Jules Berlioz d'Auriac

Par une brûlante journée du mois daoût 1862 un petit steamer sillonnait paisiblement les eaux brunes du Minnesota. On pouvait voir entassés pêle-mêle sur le pont, hommes, femmes, enfants, caisses, malles, paquets, et les mille inutilités indispensables à lémigrant, au voyageur.
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
C'est par curiosité que j'ai voulu découvrir ce qu'était le feuilleton du XIXe siècle à travers ce western d'avant le Western cinématographique. Bon, c'est pas un chef d'oeuvre, le style est assez ampoulé, cassant le rythme de l'action, les caractères des personnages trop caricaturaux, pas très approfondis, le héros, bien qu'il parlât au subjonctif est franchement stupide. On est loin des John Wayne testostéronés aux colts toujours à la ceinture aux bruits d'éperons quand ils marchent. Non, le héros, Adolphe Halleck est un bourgeois, artiste peintre, ennivré par la découverte des paysages de l'ouest américain, on pense plutôt au pied tendre de lucky Luke, l'humour en moins. Mais le pompon du lourdingue revient au propos religieux, un indien christianisé serait meilleur qu'un sauvage à l'état pur... Ouaou ! Même si Gustave Aimard essaie de de démontrer que ce n'est pas tout à fait ça, ça ne passe pas. Cette histoire est un franchement ringarde, autant dans le style que dans le contenu, et prête parfois à sourire, mais par moquerie. Pour moi c'était une expérience... Que je ne pense pas renouveler... Gustave Aimard était un baroudeur reconverti à l'écriture, mais on est très très loin des Blaise Cendrars, Jack London et Joseph Conrad.
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M. Adolphus Halleck,, un artiste peintre paysagiste rend visite à son oncle John en compagnie de sa cousine Marie, il veut exploiter d'autres paysages. surtout il intéresse aux histoires des indiens. Il les trouve purs, sincères et authentiques. Il rêve de peintre un indien.
Les retrouvailles en familles sont chaleureuses dans la soirée mais dans le village de Minnesota, les hommes aux rouges ne vivent pas loin. Ils alimentent à un moment les conversations de la famille. Seul contre tous, Halleck honore cette nature que tout le monde dit sauvage des indiens. Aussi qu'on lui parle de Jim, l'indien. Il s'y intéresse, il rêve de le rencontrer. Pas plus tard dans la soirée, Jim l'indien fait irruption dans la famille est souvent accueilli en ami. On dit qu'il est une peau rouge convertit et baptisé. Halleck ne rate pas une seule minute de l'observer mais seulement l'indien n'est pas dans son assiette. Il apporte une mauvaise nouvelle. le peaux se révoltent contre les blancs, cette petite famille est priée de quitter leur demeure au plus vite le lendemain.
Alors commencent des attaques sporadiques, des incendies partout dans la ville.
Halleck qui s'était offert une bonne occasion de visiter ce monde des peaux rouges et de pour les immortaliser avec son pinceau, il est prix ce cours par le bouleversement des choses. Les peaux rouges, en colère revêtent leur nature de sauvagerie mais celé n'empêche pas à Halleck de croire en eux jusqu'à prendre des risques pour sa vie.
Attaqués plus d'une fois par les indiens, il trouve quand l'occasion de dessiner rapidement dans la foret le cadavre d'un indien...
Un merveilleux petit livre d'aventure! Mais le récit du roman à mon entendement a pris une autre direction de ce qu'on se serait par rapport au titre!
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je n'ai lu que 82 pages sur les 159. j'avoue que la perspective de lire de la torture ne me plait guère. dans l'ouvrage de la case de l'oncle tom, l'auteur est restée volontairement silencieuse sur l'oncle tom et son patron.
mais pour ce livre, je n'ai pas envie de continuer, je n'accroche pas . j'ai l'impression qu'on essaye de nous éduquer: le gentil indien, les méchants indiens...les indiens convertis comme jim et ceux qui commencent à arriver dans le livre. bref, une histoire assez connu pour ceux qui aiment les westerns. pour en avoir vu, fuir en chariot et ensuite les indiens debarqués, je n'ai pas envie d'en savoir plus sur ce livre.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Lorsque la guerre abolitionniste éclata, le jeune Halleck bondit de joie, et, à force de diplomatie, parvint à entrer comme dessinateur expéditionnaire dans la collaboration d'une importante feuille illustrée. Mais le sort ne le servit pas précisément comme il l'aurait voulu~: au premier engagement, lui, ses crayons et ses pinceaux furent faits prisonniers. Heureusement, il se rencontra, dans les rangs ennemis, avec un officier qui avait été son camarade de classe, à Yale. Halleck fut mis en liberté, et revint au logis, bien résolu à chercher désormais la gloire partout ailleurs que sous les drapeaux.
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Je maintiens et je maintiendrai que, comme race, les Indiens ont l’âme haute,
noble, chevaleresque ; ils nous sont même supérieurs à ce point de vue.
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Mais enfin, Maria, parlant sérieusement, ne pensez-vous pas que ces mêmes hommes rouges dont vous faites si peu de cas,ne sont devenus pervers que par la fatale et détestable influence des Blancs. Ces trafiquants
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ce qui caractérise leSauvage, c’est la force
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