J'ai été très déçue par la dernière apparition de la moniale Pélagie dans les romans de
Boris Akounine.
Un roman qui ne ressemble guère à un policier (on peut comprendre très vite qui est un des méchants), mais plutôt à une périgrination, en quête d'une énigme dont la réponse se trouve en Palestine. On a l'impression que l'auteur a écrit le roman juste pour clore la saga des Pélagie à sa façon : on reste donc sur sa faim.
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