Loin d'être un brûlot sans bases solides contre l'islam et ses fanatiques, ce livre est le récit d'un constat fait de l'intérieur.
Pour Waleed, c'est non. L'islam n'est définitivement pas sa voie, son choix, le reflet de ses idées, le sens de sa vie, l'orientation de son avenir. Alors il ne croit plus et le dit. Et cet acte, qui chez nous serait d'une banalité confondante, chamboule sa vie et celle des siens par ricochet. Emprisonné, injurié, menacé...
Pour avoir le droit d'être libre d'accorder sa foi à qui il le souhaite ou à personne, il devra choisir l'exil.
Une présentation de l'islam qui porte à réflexion, et un combat à soutenir.
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Merci Monsieur Waleed Al-Husseini pour ce livre ! Merci pour votre analyse qui sonne si juste, merci pour votre courage !
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Le "roman" est plus une diatribe contre l'Islam qu'une réel récit autobiographique. L'auteur mêle récit et essai politique. le problème c'est que le but du livre n'est pas, comme je m'y attendais, de se sentir immergé dans la vie de l'auteur mais de comprendre en quoi la religion est un carcan pour la société Palestinienne. le livre permet prendre en compte le point de vue d'un philosophe des religions mais pas de vivre et de ressentir vraiment ce que Waleed a vécu. Un bon livre pour la personne qui s'interroge sur l'impact de la religion sur les structures sociétales, mais pas pour celui qui souhaite entrer dans la peau d"un blasphémateur en Palestine. L'un des rares livres que je n'ai pas fini, tant la critique est répétitive et lourde.
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Ce livre cristallise ce qui paralyse les sociétés arabes d'aujourd'hui. Ce que certains sociologues ont qualifiés de schizophrénie sociale. Ce moment où modernisme et traditions s'opposent et bloquent toute évolution. le chauvinisme exacerbé, la haine de l'occident, et le refus catégorique de vouloir se remettre en question. À un moment il faudra se débarrasser des religions si on veut que nos pays évoluent.
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Dans une époque où cette religion fait systématiquement parler d'elle et principalement en mal, où elle envahit l'espace public et multiplie les revendications, il est temps de se poser les bonnes questions et de se faire sa propre opinion sur cette prétendue religion "de paix et d'amour".
Qui de mieux placés que les apostats pour dénoncer cette idéologie mortifère ? Difficile de les accuser d'islamophobie, concept inventé pour museler toutes critiques et faire taire les quelques esprits éclairés qui ne se laissent pas duper par la Taqiya.
Waleed Al-Husseini est l'un des premiers Palestiniens a avoir osé remettre en cause l'Islam et ses enseignements, imposés dès le plus jeune âge. Il s'est exprimé sur Internet par la tenue de blogs et de pages Facebook dénonçant l'obscurantisme de cette religion qui enferme les pays musulmans dans la régression.
Arrêté et torturé, il a été condamné pour blasphème par les sbires de l'Autorité palestinienne, gouvernement hypocrite qui, pour se faire bien voir, prétend adhérer à la laïcité mais qui en réalité ne vaut pas mieux que tous les pays appliquant la Charia.
Ayant réussi à fuir le pays, il vit actuellement en France où il bénéficie de la protection de l'OFPRA en tant que réfugié politique. Mais malgré cela, il est sous protection policière car les frontières ne suffisent pas à protéger des fatwas lancés par des barbus fanatiques.
On ne peut qu'admirer des personnes comme Waleed Al-Husseini qui encourent la mort pour apostasie et regretter qu'elles ne bénéficient pas d'une plus large audience. Leurs livres, leurs activités militantes, leurs blogs sont autant de cris d'alerte contre une idéologie maléfique, aussi immonde que l'a été le nazisme.
Cette autobiographie se lit d'une traite. Les raisonnements de l'auteur sont précis, imparables et pourtant les musulmans à qui il s'adresse et notamment les "enquêteurs" qui l'ont retenu arbitrairement en détention avec des simulacres de procès, les imams et autres "intellectuels" sont exaspérants de bêtise et de stupidité, le cerveau lavé par des années de conditionnement.
Si certains semblent manifester une microscope lueur d'un début d'ouverture d'esprit, il reste encore du travail pour libérer les consciences. Cela s'adresse également à tous les "pasd'amalgamistes" qui trouvent chic de défendre une religion dont ils ne connaissent strictement rien pour n'avoir lu ni le Coran, ni la Sunna.
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regard lucide sur l'Islam et la laicité
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