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EAN : 9782016269688
80 pages
Hachette Romans (30/05/2018)
3.7/5   120 notes
Résumé :
Moi, c’est Leah. Leah Burke. (Semi-)pro de la batterie. Gribouilleuse clandestine. Meilleure amie du choubidou du lycée, mon best bro, le démolisseur d’Oreos, j’ai nommé : Simon Spier. C’est notre année de terminale, la dernière ligne droite avant la fac. Alors, forcément, tout part en vrille.

Le couple insubmersible formé par Abby et Nick est en train de prendre l’eau. Je me suis fâchée avec des filles que je connais depuis la maternelle. Et plus l... >Voir plus
Que lire après Leah à contretempsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
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Après avoir lu Love Simon, je suis allée sur Netgalley et j'ai vu que la « suite » était disponible. Ayant beaucoup aimé le premier, je me disais qu'il serait sympathique de poursuivre les aventures avec Simon et sa bande mais cette fois-ci avec Leah comme narratrice principale. J'ai été sélectionné (youhou) et j'ai lu le roman assez rapidement. Dans l'ensemble, j'ai aimé cependant… pour moi, c'est un copier-coller de Love Simon et franchement, ce n'est pas ce à quoi je m'attendais.

L'histoire se passe presque un an après la fin de Love Simon. On retrouve la bande à peu près là où on l'avait laissé. Pas de grande confusion donc, ni avec le fait que Leah prend les rennes. Franchement avec le premier tome de creekwood, le personnage était tellement bien dépeint qu'il est facile de passer de Simon à la jeune femme. Et je l'apprécie beaucoup. Elle a un mordant et un caractère qui me font écho. Un personnage fort qui a de la prestance et qui est un bon modèle. le hic, c'est qu'elle est aussi en colère et un brin agressif, trop à la recherche de la perfection et elle se prend très souvent la tête à tout analyser. Je ne vais pas trop la critiquer, parce que là encore, je cerne tout à fait l'état d'esprit. Mais voilà, à certains moments cela prenait trop le pas sur l'histoire et c'était étouffant.

Côté histoire, comme je l'ai dit, il y a trop de ressemblance dans l'ensemble avec Love Simon. Certains ont même parlé de Leah à contre temps comme une fanfiction du premier tome. Et oui, en un sens, c'est aussi le sentiment que j'ai eu. Il n'y avait pas assez d'originalité, un vrai spin-off, et je ne sais pas, avec un sujet comme la bisexualité, je m'attendais à un autre traitement. Il y avait des facilités, des événements trop évident.

J'ai cependant passé un très bon moment. J'ai lu le livre en deux/trois jours, j'avais du mal à le lâcher, et j'aime toujours autant les personnages ainsi que l'univers. Voir Leah évoluer et se poser pleins de questions, voir nos héros affronter la fin du lycée, des amitiés s'épanouir (Leah et Bram sont trop mignons), d'autres être testés… C'était plus que sympathique. Il y avait vraiment cet univers adolescent vrai et réaliste, avec cette spontanéité et ce côté très attachant.

L'auteur réussit à charmer grâce à cela avec ce second tome. Il y a aussi cette partie sur l'interrogation de orientation sexuelle. L'adolescence n'est pas un âge facile et le regard des autres peut être cruel. Mais avec Leah et sa façon « guerrière » de gérer les choses, il y a une certaine facilité (terme positif ici, j'entends bien) et une acceptation revendiquée. Elle a ses interrogations bien sûr, mais elle accepte qui elle est. Il y a donc encore un bon message et un bon modèle dans ce roman.

Le déroulé de la romance n'a pas été une surprise. Elle est mignonne et a ses rebondissements sans pour autant être aussi intense que celle de Simon et Blue. Cependant, si je reste dans la comparaison, il y a une plus grande force dans le traitement. Les femmes doivent encore se battre un peu plus, cela ne change rien. Mais j'ai aimé ce côté-là, car les deux personnages féminins en sont sublimés.

Un bon moment donc, mais j'aurais aimé plus d'originalité. J'aime par contre, toujours autant le style de l'auteur, et sa façon d'aborder les choses. Je continuerai donc à la suivre.
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Je remercie Masse Critique et Hachette Roman de m'avoir permis de lire « Leah à contretemps» roman de Becky Albertalli, suite de « Love Simon », qui vient d'être adapté au cinéma.
Le livre est à une voix, celle de Leah Burke, étudiante aux belles rondeurs en terminale. Elle joue de la batterie, aime dessiner et elle vit avec sa maman issue d'un milieu modeste. Elle fait partie d'une bande d'amis unis, attachants. C'est la meilleure amie de Simon, en couple avec Bram. On se trouve dans le livre à la fin du cursus, proche du bal de fin d'études et au moment où les lycéens américains attendent de savoir s'ils seront acceptés dans l'université élue.
Le lecteur se retrouve dans la tête de Leah. Il découvre tout ce qui lui traverse l'esprit. du genre à tout faire rater de peur de ne pas être à la hauteur. D'être complexée et de ne pas croire aux compliments reçus. Qui se cache derrière l'ironie et le cynisme de peur d'être rejetée. Une adolescente qui ressent, vit, se pose des questions.
La vie amoureuse de Leah est un désert. Amoureuse de Simon, elle sait que c'est sans espoir puisqu'il est gay. Leah est attirée par quelqu'un mais n'a pas le courage de dire les choses clairement car elle se sent un peu perdue face à son ressenti. Elle a un « secret » qu'elle a du mal à avouer, elle est bisexuelle. le savoir est une chose, accepter de le dévoiler publiquement est tout à fait impossible pour elle.
Avec ce livre, le lecteur partage le quotidien de jeunes américains, leurs cours, leurs activités artistiques. Cette romance est un peu particulière car le lecteur découvre les amours adolescentes actuelles, beaucoup plus libres qu'avant en présentant des couples homosexuels acceptés et dont les amours ne sont ni plus ni moins compliquées que celles des autres. La première partie est un peu longue mais ensuite, c'est plus fluide.
Avec une écriture efficace et actuelle, Becky Albertally aborde des sujets comme l'identité sexuelle, l'acceptation de soi, le regard des autres, le passage de l'adolescence à la vie adulte, les sentiments, le racisme.
C'est un livre pétillant rempli d'humour
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Après avoir lu Love, Simon, c'est en toute logique que je me suis penchée sur un autre roman de Becky Albertalli. Il prend place un an après le coming out de Simon et le début de sa relation avec Blue. Cette fois, le personnage principal est Leah une des meilleures amies de Simon : Leah, que l'on a pu déjà croiser précédemment.

Merci à Netgalley et Hachette roman pour m'avoir permis de le lire !

Quand il s'agit de jouer de la batterie, Leah Burke maîtrise le tempo. Mais la vie réelle n'est pas toujours si bien rythmée. Fille unique d'une jeune mère célibataire, Leah n'a pas les mêmes privilèges que les gens qui l'entourent.
Elle est passionnée de dessin, mais trop complexée pour le montrer. Seule sa mère sait qu'elle est bisexuelle : elle n'a pas trouvé le courage de le dire à ses amis – pas même à son meilleur pote Simon, qui est pourtant « sorti du placard » comme on dit ! Avec la fin du lycée qui approche, le groupe d'amis qu'elle croyait à toute épreuve commence à se diviser.
Les tensions montent. le coeur de Leah ne bat plus en mesure quand les personnes qu'elle aime se disputent. Surtout lorsqu'elle se rend compte que ses sentiments pour l'une d'entre elles vont au-delà de l'amitié.

Ici encore Becky Albertalli nous parle de l'homosexualité et de bisexualité à l'adolescence et des difficultés à l'accepter, non pas forcément par soit-même, mais avec son entourage. le savoir est une autre chose, accepter de le dévoiler à tout le monde est une autre paire de manche.

Leah est malheureusement beaucoup moins attachante que Simon. Il est tout de suite sympathique, elle beaucoup moins. Soupe au lait, colérique, elle rembarre ses proches continuellement, elle est en conflit presque permanent avec sa mère. Bref, elle est difficile à suivre, on ne s'y attache pas vraiment. Même si on comprend sa colère.

Autant je trouvais la correspondance entre Simon et Blue adorable et convaincante, autant on se demande encore comment une personne peut tomber amoureuse de Leah. Je ne dirais pas qui pour vous laisser le découvrir lors de votre lecture, mais ça semble tellement venir de nul part que ça a gêné ma lecture. Pourtant elle a de quoi être sympa. Fan d'Harry Potter, elle aime les fanfics et les fanarts, trop perfectionniste elle ne veut jamais montrer son travail. Elle est grosse, complexée, mais on ne parle jamais de régime (OUF !). Elle se sent bien comme elle est, même si le regard des autres, notamment quand elle va choisir une robe dans un magasin, compte quand même.

Les bons moments c'est quand on retrouve Simon. Car oui on prend de ses nouvelles et il est égal à lui-même. Adorable. C'est dommage car Leah a des points communs avec sa créatrice.

On s'attend à la fin, il n'y a donc pas de réel mystère, c'est une tranche de vie, qui si elle peut aider des ado à assumer et à partager avec leur entourage leurs différences c'est une bonne chose.

Voilà, c'est un roman sympathique, mais très loin du coup de coeur qu'a pu être Love, Simon, l'histoire n'est pas mauvaise, mais je ne me suis jamais attache à Leah. Aucun papillon dans le ventre à la fin. C'est dommage.
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Après avoir terminée la saison 2 de Love, Victor ( en ayant pas oublié avant de me refaire Love, Simon pour la dixième fois et la saison 1) j'avais envie de retourner à Creekwood, j'ai une réelle addiction pour l'univers crée par Becky Albertalli. Par contre j'avais un peu peur puisque ce livre est la suite direct de Love, Simon et que ça me faisait faire un bon en arrière dans les années et les personnages !

De quoi ça parle ? « Moi, c'est Leah. Leah Burke. (Semi-)pro de la batterie. Gribouilleuse clandestine. Meilleure amie du choubidou du lycée, mon best bro, le démolisseur d'Oreos, j'ai nommé : Simon Spier. C'est notre année de terminale, la dernière ligne droite avant la fac. Alors, forcément, tout part en vrille. le couple insubmersible formé par Abby et Nick est en train de prendre l'eau. Je me suis fâchée avec des filles que je connais depuis la maternelle. Et plus le temps passe, plus j'ai l'(affreuse) impression que notre pote Garrett veut sortir avec moi. Il est mignon. Adorable. Prévenant. le genre de mecs que n'importe qui aimerait avoir comme cavalier au bal du lycée. Mais pas moi. Ah oui, je ne vous l'ai pas dit ? Paraît que j'adore me compliquer la vie.»


Bon ça ne va pas forcément être si simple de parler de ce livre. Je vais être honnête j'ai un peu moins aimé que le premier tome, en même temps Love, Simon restera Love, Simon ! Je pense que c'est sûrement dû au fait que j'ai encore la tête pleine de la saison 2 de Love, Victor, je suis hyper frustrée de savoir qu'il faut attendre 1 an … Bref j'aurais peut-être dû attendre un peu pour retourner dans l'univers !
Cependant j'adore Leah et j'ai adoré la retrouver ici en temps que personnage point de vue ! D'entrer un peu plus dans son intimité et sa tête ! Mais il faut avouer que le sujet est assez similaire au premier tome, je pense qu'il aurait peut-être pu être traité différemment … Dans tous les cas ça reste comme pour le premier tome un très bon roman feel good !
Leah est vraiment hyper attachante malgré son caractère, ça fait plaisir de retrouver Simon et Bram en fond et qu'ils restent comme une évidence, parce qu'ils sont une évidence … J'ai été assez surprise par la tournure prise par le reste de l'histoire.
Et la dernière partie avec le bal et tout m'a collé un espèce de sourire niais et ridicule sur la tronche, comme avec le premier tome … Donc le but est atteint, ça fait du bien, on se sent heureux après la lecture et c'est bien le principal
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« Une héroïne qui n'est pas accro à la romance. »

Si vous avez lu Love, Simon vous vous souviendrez probablement de Leah.
Leah Burke est la meilleure amie de Simon, celle avec qui il a partagé les pires moment, et les meilleurs. Nous avions laissé notre petite bande sur un Happy End entre Simon et Blue. La vie a reprit son cours : Nick et Abby forment le couple parfait, Simon et Blue (pas de spoils) sont aussi mignons qu'heureux et Leah… est toujours Leah. Quelque part, Leah se sent seule face à autant de bonheur, mais Leah est trop cynique pour l'avouer. Pourtant les évènements vont prendre une tournure que Leah n'avait pas vue venir.

Quand on a aimé un livre, il est parfois difficile d'aborder la suite sans avoir une certaine appréhension. Certes, Leah à contretemps n'est pas une suite à proprement parler à Love, Simon puisque Simon est un personnage secondaire à l'histoire de Leah. Alors nous voici avec notre nouvelle héroïne Leah, la mystérieuse Leah qui est toujours spectatrice du bonheur de ses ami(e)s, jusqu'à aujourd'hui.

Mon impression par rapport à ce livre est que l'histoire de Leah est celle d'une héroïne imparfaite qui trouve son propre chemin du bonheur. J'ai adoré le caractère de Leah car elle ne cherche pas à être parfaite, au contraire. Leah ronchonne, prend la mouche, ne veut pas sortir et être gentille avec tout le monde n'est clairement pas sa ligne de conduite. La jeune femme est très cynique et arrive à nous rouler dans la farine en faisant croire qu'elle ne cherche pas son l'amour… Car l'amour Leah va le rencontrer, sous un autre visage asse inattendu (même si personnellement je l'avais vu venir). Becky Albertalli et l'art de la surprise.

Leah est un personnage, qui derrière cette personnalité forte, cache une vraie sensibilité. Finalement plus on la pousse dans ses retranchements et plus ses failles apparaissent. le fait que ses défauts sont exposés, les défauts des autres aussi et on ne peut que craquer devant le cheminement de l'adolescente dans ce roman. D'énormes questions sont abordées : Combien de temps l'amitié va durer ? Pourquoi les sentiments n'apparaissent pas ? Que vais-je faire de ma vie? L'amitié est passée au crible, tout comme la relation de Leah et sa mère. La romance est évidemment au centre de ce roman, pourtant avec Leah il fallait bien se douter que tout n'allait pas se passer comme prévu.

Ce roman surfe sur la vague Love, simon en nous offrant la suite des aventures de notre petite bande au grand complet. de nouveaux drames, de l'amour et beaucoup de beaux messages. J'ai apprécié ce roman, moins que l'histoire de Simon. Peut-être que l'histoire de Leah m'a parue moins palpitante, moins intense. Même si je suis heureuse que Leah finisse par avoir le coeur qui fait boum pour cette personne (pas de spoil).Pour moi, Leah à contretemps est la version féminine de Love, Simon, une version qui mérite d'être lue.

~∴~

Les points positifs :
– Leah : un personnage loin des stéréotypes
– La romance entre Leah et *bip*
– Les personnages secondaires (Simon♥)

Les points négatifs :
– Quelques longueurs

Bilan: Leah à contretemps est en ligne directe avec Love, Simon. Pourtant je n'ai pas retrouvée le même enthousiasme à la lecture. J'ai adoré le personnage de Leah, son caractère de cochon et son cynisme. Leah est clairement un personnage loin des clichés habituels. La romance est vraiment bien traitée et puisque j'avais totalement imaginée Leah avec *bip* (pas de spoil), je suis ravie. Les sujets sur l'adolescence sont toujours aussi bien traités : le mal être, la famille, l'actualité, la sexualité, les clichés, etc. Les relations entre les personnages ne sont pas parfaites. Rien n'est cousu de fil blanc (ou presque). Personnellement j'ai trouvée que le roman était un peu long. Mais je suis ravie d'avoir pu revoir les persos de Becky Albertalli. Une auteure à lire absolument.

Note : 14 / 20
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Passez-moi l’exagération mais, Dieu du ciel, ne laissez pas Morgan en charge de notre setlist. Sous ses dehors de lycéenne, cette meuf cache un père banlieusard en pleine crise de la cinquantaine. Qu’est-ce que je vous disais : la voilà qui s’agenouille, son tabouret lui servant de bureau, pour énumérer un assortiment de classiques médiocres du rock. J’ai beau être tolérante, en tant qu’Américaine, musicienne, et humaine qui se respecte, il est de mon devoir et de mon privilège d’opposer mon veto à un tel déluge de merde.
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- Et il y a de la vodka. Dans la salle de bains.
- Pardon ?
Simon hausse les sourcils.
- Oui. Elle est, euh. Le dites pas à mes parents. Elle se trouve sous le lavabo, derrière le détergent. Dans la bouteille de vodka. Buvez pas le détergent.
- La vodka se trouve dans la bouteille de vodka. Entendu.
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Je crois que je déteste ce concept selon lequel on aurait besoin de temps ou de prendre ses distances. Parce que tout ce que ça veut dire, en fait,c'est que l'autre vous en veut, vous déteste, ou n'en à rien à battre de vous.
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- Bon sang, Leah. (Elle joue avec une mèche de mes cheveux.) Comment peux-tu être aussi cynique ?
- C'est plus fort que moi. Je suis Serpentard.
Et la pire de la maison, en plus. Du genre à flasher grave sur une Gryffondor, au point de ne plus pouvoir rien faire. Je suis le Draco d'une fic Drarry merdique que son auteur aurait abandonné au bout de quatre chapitres.
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Je manque de m’étrangler. Abby » aime bien » Harry Potter. Ce serait comme dire que M.Rogers était gentil. Que Reece King est pas mal. Harry Potter, ce n’est pas un truc qu’on aime bien. Harry Potter, ça doit vire à l’obsession.
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