AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782277115205
J'ai lu (26/02/2001)
3.27/5   155 notes
Résumé :
Lily-yo, l’homme Harris et la tribu montaient dans les frondaisons du banian. La petite Clat était tombée. Lily-yo, juchée à califourchon sur un virevole, avait plongé à sa suite. Trop tard. Un claque-dents avait surgi de sous une feuille géante et happé la fillette.
Lily-yo revint à la noix qui avait servi de domicile à Clat, ramassa son âme, et entreprit de guider la tribu vers les hauteurs du banian.Un enfant d’homme était mort, il convenait de rendre les ... >Voir plus
Que lire après Le monde vertVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (32) Voir plus Ajouter une critique
3,27

sur 155 notes
5
2 avis
4
8 avis
3
9 avis
2
8 avis
1
4 avis
Je viens de relire ce petit roman et à la relecture de mon commentaire , mais surtout de certains autres commentaires je décide de le réécrire .
Je commençais mon commentaire précédant par ces mots : « Un univers fascinant mais le sens of Wonder débridé fait des ravages ! » .
Je nuancerais énormément ce propos . Ce que voulais dire , c'est que je ne parviens pas à gober un aspect du texte ( les modalités de passage de la terre à la lune au cours d'un voyage ) .
Et je disais aussi: « C'est un texte qui peut marquer le lecteur car cet univers est extraordinaire et curieux au plus haut point .... « , Et bien oui il l'est et c'est une véritable merveille d'univers .
Ce texte est très bien écrit et de ce fait : l'univers est excessivement solide .
La caractérisation est bonne et à chaque instant le lecteur marche dans les pas de personnages très adaptés à leur environnement dans un monde redoutablement dangereux .
Nous sommes dans un très lointain futur , un futur à l'échelle des temps géologiques . Nous sommes sur terre et l'espèce humaine semble au bout du rouleau . Et un autre règne du vivant entame une évolution vers l'intelligence et c'est un processus qui met clairement et très concrètement en péril le reste des hommes .
Ce monde n'est donc plus le monde que nous connaissons et tout à terriblement changé . L'espèce humaine est presque méconnaissable , adieu l'état providence et les acquis scientifiques et technologiques !
Par ailleurs , le soleil commence le cycle qui devrait le conduire au statut de super nova .
Dans ce futur les plantes n'ont plus rien de décoratives . Elle frisent l'intelligence et elles sont devenues redoutablement dangereuses ...
Nous suivons un jeune adulte dans cet environnement hostile et en sa compagnie le lecteur apprend très précisément à se mouvoir dans cette jungle maligne et dangereuse , peuplée de végétaux qui se montrent capables de mettre en branle des comportements impliquant la ruse .
De ce point de vue c'est assez planant comme expérience comme expérience pour le lecteur . le texte est complètement centré sur cette donne de survie , avec l'examen soigné des comportements conduisant à une relative maîtrise d'un environnement hallucinant , vaguement familier , mais paradoxalement irrémédiablement étranger pour le lecteur .
C'est un roman qui tourne globalement autour de la quête personnelle de sens , de la quête de savoir et du passage à l'âge adulte et c'est assez bien traité comme thématique. En tous les cas c'est absolument crédible d'un point de vue romanesque.
Les aspects lunaires , qui m'avaient posé problème , m'apparaissent donc désormais comme très marginaux finalement . le plus gros du texte est un pure délice pour les amateurs de biosphères étrangères .
Bref : un roman qui fonctionne à merveille et un univers qui est un foisonnement étranger que l'on se plait énormément à découvrir intimement ... à explorer. ... à parcourir .
Sincèrement , c'est un univers qui est impossible d'oublier après l'avoir arpenté ..
Et puis , dans ce lointain futur : l'homme demeure l'homme et il nous concerne et il nous émeut .

Attention : Spoiling !
Mais c'est vrai aussi , il y a selon moi , une pilule assez difficile à digérer :
Les lianes grimpent jusque la lune qui dispose d'une atmosphère respirable !
Et là : j'avoue que j'ai du mal à adhérer .
C'est une question de seuil , mais c'est absolument personnel et relatifs au final
Mais c'est aussi principalement et incontestablement un univers inoubliable , qui est d'une présence remarquable et qui apporte dépaysement fascinant et jouissif .
Mais la lune et les lianes c'est bof ..
A lire évidemment. ... mais bon .. !

PS : dispo chez folio SF
Commenter  J’apprécie          684
L'Homme tel que nous le connaissons a disparu depuis bien longtemps. La terre et la lune ont arrêté leur rotation, présentant toujours leur même face à leur astre de référence. Les végétaux et les animaux géants sont aux commandes de ce nouvel environnement. Les descendants des Hommes plus petits et plus débiles essayent de survivre.
Dans la tribu de Lily-yo, les adultes vieillissent et en vieillissant les adultes deviennent stupides. Lily-yo ne se sent plus capables de diriger la tribu, il est temps pour les anciens d'effectuer la grande montée, Toy, encore adolescente prend le commandement et Gren sera son compagnon pendant la saison des amours.
C'est un univers complètement remodelé que nous propose l'auteur. Il est tellement complexe que mon pauvre cerveau de poisson rouge a eu du mal à se l'imaginer. L'histoire elle, est menée tambour-battant avec en toile de fond des créatures sont aussi surprenantes que dangereuses. J'ai moins adhéré au scénario que je trouve un peu décousu.
Ce n'est par super passionnant, ce livre ayant l'âge de ses artères puisqu'il a été écrit dans les années soixante mais il faut reconnaître à Brian Aldriss une imagination débordante qui par à-coup vous emmène fleurter avec la canopée.
Commenter  J’apprécie          421
Imaginez un monde à l'agonie, un enfer vert où toute vie serait mort pour les autres vies, une jungle titanesque s'élevant jusqu'à l'espace, une terre impitoyable où le sang ocre n'aurait pas le temps de rouiller sur l'émeraude vénéneux qu'il serait déjà léché par vos prédateurs ou leurs meurtriers.
Imaginez un monde au sublime omniprésent, une forêt sans fin ni début, un univers de couleurs chatoyantes et superbes, où dansent le feu, l'eau, le vent, et une végétation prise de folie, dans une noce des éléments ininterrompue à travers les millénaires.
Imaginez le Monde Vert de Brian Aldiss, dans toute sa splendeur, dans tout son danger. Et Avatar et Okhéania peuvent retourner aux vestiaires.

Prom'nons-nous, dans les bois…

Dès les 25 premières pages, le sense of wonder fuse à l'état pur : toiles d'araignée allant de la Terre à la Lune, plantes crachant des flammes pour se défendre contre les autres, arbre vieux de millions d'années non pas avec plusieurs, mais des milliards de troncs… Nous sommes dans un futur incroyablement lointain, et la vie que nous connaissons n'existe plus. La vie animale s'est presque éteinte, mais celles végétales et fongiques (pour une fois que je peux me la péter en sciences, je rappelle que les champignons ne sont en effet pas des plantes mais un ordre à part) ont connu une croissance exceptionnelle pour créer des écosystèmes uniques : le monde est devenu une gigantesque forêt qui ferait passer l'Amazonie pour le bois de Vincennes. Mais plus encore, certaines ont acquis la mobilité et une certaine forme de conscience les transformant en pseudo-animaux.
Je sais qu'en ce moment, les plantes font beaucoup parler d'elles parce qu'on les soupçonne d'être intelligentes, et du coup qu'elles réfléchissent, et que du coup pour faire souffrir plus personne, on va devoir bouffer du calcaire et des crottes de lapin ; mais à mon sens, l'emballement populaire se fonde sur pas mal d'idées reçues. Il faut bien distinguer intelligence et conscience ; le premier truc est la capacité de traiter des données, le deuxième la capacité de savoir que nous existons et que nous sommes en train de le faire. En gros, c'est la même différence qu'entre un humain et un ordinateur. Ici, certaines plantes sont non seulement intelligentes mais aussi conscientes, peuvent voir, parler, manger comme vous et moi et pousser des cris de gorets effrayés pour vous faire peur à la fin des films.
Ne pas connaître cette nuance ne vous gênera en rien dans la lecture de ce livre ; en revanche, je préfère vous prévenir : en terme de, bah, de termes justement, le nombre est plutôt costaud en néologismes pour désigner ces nouvelles espèces végétales, sans pour autant devenir incompréhensible ni nécessiter impérativement un glossaire (on saluera au passage la traduction de Michel Deutsch, qui nous livre une très bonne retranscription du lexique propre à l'univers et a dû en baver).
Du reste, nous voilà dans une version de la Terre sacrément musclée, avec son lot de monstres végétaux, plantes-mollusques et autres tigres-volants (tiens, tiens), et bien sûr l'humanité qui tente de se sortir de la merdouille (make planet great again, qu'y disaient…). Il s'en dégage un sentiment d'absurdité parfois ironique, de violence omniprésente, où l'humain se retrouve totalement insignifiant, guidé parfois même par une nouvelle espèce qui s'impose comme un dieu. Bref, rien que pour ce worldbuilding et les quelques questionnements qu'il parvient à y ajouter, le Monde Vert de Brian W. Aldiss mérite d'être lu, pour sa richesse, sa complexité et sa générosité, et d'être considéré à juste titre comme un classique du planet opera. Mais certains risquent d'être déçus…

Exotique, dépaysant, mais…

Le principal problème que j'ai avec ce livre est que si son background est tout simplement exceptionnel, il semble sur certains aspects souffrir d'un certain manque de cohérence. On nous apprend que la Terre a cessé de tourner ; or, sans même entrer dans les détails niveau tectonique, courants marins et aériens, vous avez tous appris un jour pour peu que vous ayez au moins lu des livres pour enfants sur les planètes, que si la Terre cessait de tourner on aurait un côté cramé et un côté congélo, rendant impossible toute vie sur Terre. OK, on a déjà une nette différence de température, mais bien bien inférieure à celle que ça supposerait. Dans la même veine, que des plantes colonisent la Lune, je veux bien le croire (réussir à vivre sans oxygène, les tardigrades le font, pourquoi pas nous) ; mais comment diable font-elles pour créer une activité thermique suffisamment importante pour ne pas geler sur place ? Enfin, un point des révélations, que je qualifierais de, disons, mycologique, me semble hautement hasardeux.
Autre point davantage sur la forme, pour un monde aussi riche et mystérieux, un début plus poétique aurait été sans doute plus approprié qu'un rythme effréné qui donne très vite l'impression que le premier quart du récit est rushé et du coup que le reste s'écoule au ralenti, tout en nous délivrant un style pas spécialement présent et qui se réveille de temps à autre à coup d'allitérations assez lourdes. Et dernier truc qui je pense va freiner beaucoup de gens : les personnages sont interchangeables, se ressemblant tous avec à peine un trait de personnalité esquissé de temps à autre. du coup, l'auteur est obligé en permanence de faire intervenir des péripéties extérieures, quasiment toujours des dangers de mort, afin de maintenir l'attention. Tiens, d'ailleurs, fait marrant, malgré qu'ils vivent en matriarcats, les hommes sont toujours aussi machos ; il ne leur manque plus que le pack de bière.
Bref, le monde vert, c'est pas du survival Young Adult, Nénette 1 va pas se fâcher avec Nénette 2 parce que Nénette 3 a tué BG8 alors qu'elle aurait pu l'épargner tandis que BG11 n'ose pas avouer à Nénette 5 son amour avec Nénette 22. Pas de développement des personnalités ultra-complexes comme c'est de rigueur dans dans les séries actuelles, mais pour peu que vous regardiez un peu à côté, CE MONDE BON SANG ! Il s'agit d'un worldbuilding ayant influencé tout un pan de l'Imaginaire (Par-delà les Grands Bois, Les mange-forêts… et même Venom !) dont la prochainement chroniquée Fleur de Dieu de Jean-Michel Ré, avec plus d'originalité que vous n'en trouverez dans trois dystopies Netflix. Mais même ça finalement me pose problème. Parce qu'après 25 premières pages sensationnelles, l'histoire devient un récit d'aventures décousu et somme toute au scénario assez basique. Ça n'enlève rien à son originalité, mais ça reste une pâle exploitation d'un potentiel extraordinaire.

Conclusion

Le Monde Vert n'est pas un mauvais bouquin ; c'est un bon bouquin mal écrit. Et c'est pourquoi je pense qu'une grande partie de ses lecteurs y seront réticents, alors qu'il s'agit malgré tout d'un univers fantastique.
C'est pourquoi si vous vous intéressez un minimum aux backgrounds fournis et que vous avez l'estomac bien accroché, je vous donne rendez-vous dans les Cimes, au sommet du banian là où nichent les oiseaux-sangsues. Après hein, je dis ça, c'est pour votre culture…
Lien : https://cestpourmaculture.wo..
Commenter  J’apprécie          60
Un Luc Besson avant l'heure : un univers riche, de l'action et une absence totale d'histoire et de personnages. le tout baignant dans le mysticisme.

Prix Hugo en 1962, considéré comme un classique de la SF, j'ai un peu de mal à comprendre pourquoi. Après quelques recherches, ce roman n'en ai pas un, il s'agit d'un fix up de cinq nouvelles et cela se ressent parfois dans la non conclusion de certains périples.

Très loin dans le futur, le soleil est en fin de course, l'homme ne s'est pas révélé le plus adapté à cette évolution, à l'inverse de la flore, omniprésente et dangereuse. On voyage en compagnie de quelques personnages dans ce monde à l'imagination débridée mais très vite survolée. Les péripéties s'enchainent sans temps morts, le lecteur n'a pas le temps d'apprécier le monde créé par l'auteur.

"Roman imagé, roman de visionnaire, le Monde vert est avant tout un spectacle."
Le science-fictionnaire, Stan Barrets

On pénètre très,trop, rapidement dans cette foret gigantesque, l'action bat son plein, les cadavres se ramassent à la pelle (comment les Hommes ont-ils pu résister jusque-là demeure un grand mystère)
Plus dérangeant, le récit est souvent coupé par des explications sur l'évolution de la flore et la faune, l'auteur n ayant pas réussi à les intégrer dans la narration de manière convaincante.
Les personnages sont à peine esquissés, une psychologie primaire : moi chef, toi obéir. Si toi pas content, toi banni et na !
Le tout finit dans un gloubi boulga mystico-religieux

Quelques passages durs à avaler : des araignées mutantes longues de quelques kilomètres ont tissé des toiles reliant la lune à la terre ! Une morille symbiotique qui aurait pu être crédible mais rend plutôt l'ensemble grand-guignol.

Peut être novateur en son temps, je pense que c'est un texte profondément ancré dans une période historique de la société et du courant littéraire. Bref, le lire de nos jours n'est pas la panacée.
Commenter  J’apprécie          118
Dans des milliers (millions ?) d'années, le Soleil, sur le point d'exploser, a transformé la Terre en une vaste et immense jungle. Les humains sont très peu à avoir survécu. Ils se sont adaptés mais doivent combattre quantité d'étranges êtres pour simplement survivre : insectes, oiseaux, végétaux, champignons...Ils vivent en petits clans de dix à quinze humains, dans les branches d'un banian géant, monstrueux, si gigantesque qu'il couvre à lui seul un continent entier.

Le clan de Gren va se disloquer, et il va se retrouver seul. Il va rencontrer d'autres humains, et d'autres êtres vivants, qui vont l'aider à trouver enfin un endroit pour vivre heureux. de multiples aventures vont émailler leur recherche de l'endroit idéal, dans ce monde hostile, luxuriant, violent, étonnant.

L'imagination de Brian Aldiss n'a semble-t-il aucune limite ! Son monde est étonnant, et pourtant crédible. Tous les êtres rencontrés sont plus époustouflants et étonnants les uns que les autres. Certains sont sympathiques, gentils, d'autres beaucoup moins. On se laisse happer avec bonheur dans ce monde dangereux et en même temps attrayant. Au fil des pages, certaines évolutions sont expliquées, et paraissent tout à fait plausibles. On entre très vite dans l'histoire, et on ne peut plus en décrocher. Sans superflu, l'écriture est directe, franche, vive, dynamique, avec une pointe d'humour très appréciable.
Commenter  J’apprécie          80

Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Semée de pierres et de fragments de rochers , l'île n'avait rien d'un paradis . Mais ses dimensions réduites constituaient un avantage : elle était bien trop petite pour donner asile aux dangereux végétaux géants qui grouillaient sur le continent .
Commenter  J’apprécie          150
Obéissant à une loi inéluctable, toutes choses croissaient, se développaient dans le désordre et l'étrangeté. La chaleur, la lumière, l'humidité étaient constante. Elles l'étaient depuis..personne ne savait combien de temps. "Depuis quand ?..." "Pourquoi ?..." C'étaient à des questions que nul n'avait plus l'idée de se poser. Réfléchir n'avait plus de sens. Dans ce monde, un seul problème se posait : croître. C'était le règne du végétal. C'était un monde qui ressemblait à une serre.
Commenter  J’apprécie          60
Jadis, il y avait de cela deux mille millions d'années, existait une multitude d'essences. La nature du sol, celle du climat et bien d'autres facteurs encore favorisaient cette diversité. Puis la température s'était élevée ; les espèces avaient proliféré, étaient entrées en concurrence. Le figuier banian, qui s'accommodait fort bien de la chaleur, tirant profit de son système complexe de racines adventives, finit par évincer ses rivaux. Répondant à la pression du milieu, il évolua. S'adapta. Chaque plant s'étendit, grandit, gagna du terrain, protégeant ses souches à mesure que croissaient ses concurrents, développant tronc sur tronc, lançant au loin branche sur branche. Jusqu'à ce que chacun apprenne à cohabiter avec le banian voisin. Alors se constitua un impénétrable fourré où aucun autre arbre ne pouvait survivre. Le banian avait dès lors conquis l'immortalité et sa complexité était sans égale. Il n'y en avait plus qu'un seul sur toute l'étendue du continent où les humains avaient trouvé asile. D'abord roi de la forêt, il était devenu forêt lui-même.
Commenter  J’apprécie          20
Obéissant à une loi inéluctable, toutes choses croissaient, se développaient dans le désordre et l’étrangeté. La chaleur, la lumière, l’humidité étaient constantes. Elles l’étaient depuis… personne ne savait depuis combien de temps. « Depuis quand… ? » « Pourquoi… ? » C’étaient là des questions que nul n’avait plus l’idée de poser. Réfléchir n’avait plus de sens. Dans ce monde, un seul problème se posait : croître. C’était le règne du végétal. C’était un monde qui ressemblait à une serre.
Commenter  J’apprécie          30
L'homme n'est qu'un accident : sinon le monde lui serait mieux adapté.
Commenter  J’apprécie          110

Video de Brian Wilson Aldiss (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Brian Wilson Aldiss
Extrait de l'hommage à Brian Aldiss aux Utopiales 2017 avec N.Spinrad, L.Genefort, G.Klein et L.Queyssi.
autres livres classés : science-fictionVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (418) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4870 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}