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Critique de Vianna


Je n'aime pas abandonner la lecture d'un livre et puis à la page 136 je me suis décidée à arrêter là le voyage. Je n'ai pas accroché à ce retour au pays. Je ne connais pas la Grèce, peut être cela m'aurait-il aidée, donné quelques points de repère: des lieux, noms de rues, odeurs, lumières, des sons. Mais là rien ou presque rien: mon imaginaire est resté vague, indécis, en surface. Je ne me suis pas non plus passionnée pour le mystère autour de la lettre Epsilon et toute la réflexion de l'auteur autour des mots commençant par cette lettre.
Pour moi ce sera E comme ennui.
Je retiens, cependant, ce passage évoquant les propos de Caradzoglou, professeur de littérature à l'université d' Athènes sur la femme grecque: « je l'estime infiniment...la seule chose qui m'ennuie chez elle, c'est qu'elle lave les cendriers à peine salis, et qu'elle les dépose ensuite sur l'évier. Elle ne les essuie pas, elle attend qu'ils sèchent tout seuls, ce qui explique que les cendriers sont perpétuellement sur l'évier. Je crois que la femme grecque les considèrent comme des assiettes dans lesquelles certains ont la mauvaise habitude d'écraser leur cigarette. »
Peut être dois je relire ce livre à l'occasion d'un retour de voyage... en Grèce;
et mener ma propre enquête sur le sort que les femmes réservent à leur cendrier...
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