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EAN : 9782213689425
101 pages
Fayard (09/03/2016)
2.33/5   3 notes
Résumé :
Qu’est-ce qui coince ? La France n’est pas la Grèce, mais elle se révèle tout aussi incapable de faire les réformes qui lui permettraient d’échapper à un lent déclin. En 2007, Nicolas Sarkozy a promis une « rupture » : elle a été invisible. En 2012, François Hollande a promis le « changement » : il est homéopathique. Pourquoi nos présidents, dotés de larges pouvoirs, se contentent-ils de réformettes ?
Et si la France souffrait d’abord d’anémie démocratique ? ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Que défend ce plaidoyer ? C'est un appel aux politiques et aux citoyens pour rompre avec un système institutionnel qui permet à une minorité de gouverner la France, depuis 2001, date à laquelle les élections législatives sont devenues des élections de pour valoir du parti présidentiel. Cohn-Bendit plaide pour la mise en oeuvre du vote proportionnel, demande à ce que les dates des élections législatives ne suivent pas les présidentielles, pour éviter que le Président dirige la France avec un gouvernement qui représente 20 à 25% des Français. Il appelle à gouverner dans un souci de représentation de tous les Français, d'accepter donc des coalitions, des négociations, d'avoir le souci de résoudre, même s'il faut accepter des compromis, les problèmes des Français, comme le chômage des jeunes, les inégalités croissantes. Appel lancé en vue des élections 2017, peut-être difficile à faire entendre, si chacun continue à vouloir défendre son idéologie au détriment de constats pragmatiques, et si d'élection en élection, on ne renouvelle pas les candidats au pouvoir.
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Opus difficile à lire car il est sectaire.
En parlant de droite ou de gauche de gouvernement, vous mettez des oeillères à votre esprit.
Je suis un "socio", comprendre de gauche, pensant l'humain d'abord (mais après la Nature) et reléguant la finance à son rôle d'outil et non de finalité.
Suis-je un "gaucho" ? Peut-être pour les esprits restreints ou "mainstream".
Doit-on écouter les "fachos" ? Oui !!
Pour les comprendre, leur faire comprendre les risques de telles dérives, mais aussi pour nous adapter à leurs craintes et les prendre en compte.
J'ai confiance envers mes concitoyens pour ne pas remettre un Adolf au pouvoir. Surtout si nous luttons aussi contre les profiteurs et fraudeurs.
100 % de proportionnel aux législatives ? Je suis pour ! Moyennant un minimum de représentativité (5% ? 7% ? c'est ouvert).
Démocratie, étymologiquement = Pouvoir à l'ensemble des citoyens (même les cons, dont je fait forcément parti pour certains)
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