« … j’ai parcouru la Chine, en train, en bus, en avion, lorsqu’elle n’était pas encore ouverte sur le monde, que Pékin n’avait qu’un seul hôtel pour étrangers, quand il fallait s’arrêter sur la petite route de l’aéroport encore provincial pour laisser passer un troupeau d’oies mené par des enfants comme une estampe de l’artiste inuit Kananginak.
[…] À chaque passage dans le sous-continent [indien] on aperçoit de l’avion, dans le lointain, les cimes himalay...
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