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Critique de Ladybirdy
Une jolie couverture remplie de ballons colorés, un titre parlant « marche où la vie t'ensoleille », un résumé engageant, voilà ce qui m'a donné envie de découvrir ce roman.
Mon avis n'est malheureusement pas à la hauteur de ces jolies promesses.
Ce roman m'a tout de suite rappelé le roman de Raphaëlle Giordano « ta vie commence lorsque tu comprends que tu n'en as qu'une ». Mais sans la conviction et l'inspiration agréable que j'avais pu ressentir dans ce dernier.
L'histoire m'a semblé superficielle avec cette héroïne qui souffre d'avoir un boulot bien payé mais ennuyeux, un futur mari parfait mais encore plus ennuyeux.
Arrive dans une pochette surprise une panoplie de personnages servis sur un plateau d'argent mais pas crédibles pour un sou.
Quant au « Mage », l'enchanteur, les passages de son livre m'ont bien ennuyée, tout comme son monde où la vie est bien rose tout le temps pour autant que tu enchantes ta vie.
Au final à bien y regarder de plus près, la jolie femme sur la couverture ne parvient elle non plus à sourire.
Mon avis n'est malheureusement pas à la hauteur de ces jolies promesses.
Ce roman m'a tout de suite rappelé le roman de Raphaëlle Giordano « ta vie commence lorsque tu comprends que tu n'en as qu'une ». Mais sans la conviction et l'inspiration agréable que j'avais pu ressentir dans ce dernier.
L'histoire m'a semblé superficielle avec cette héroïne qui souffre d'avoir un boulot bien payé mais ennuyeux, un futur mari parfait mais encore plus ennuyeux.
Arrive dans une pochette surprise une panoplie de personnages servis sur un plateau d'argent mais pas crédibles pour un sou.
Quant au « Mage », l'enchanteur, les passages de son livre m'ont bien ennuyée, tout comme son monde où la vie est bien rose tout le temps pour autant que tu enchantes ta vie.
Au final à bien y regarder de plus près, la jolie femme sur la couverture ne parvient elle non plus à sourire.
