Combien sont-ils ainsi, à négliger les tableaux des musées qui donnent à voir, au-delà du cadre, le hors champ de notre propre histoire ?
On n’écrit bien l’amour que lorsqu’il manque terriblement, mais on n’explique pas l’amour, on l’écrit, on le vit, on l’attend, on le souffre et on le meurt...
La folie latente est en chacun de nous et, ressurgit lorsque, traqués comme des souris, on ne peut ni fuir, ni lutter…
L’écriture touche lorsqu’elle semble susurrer l’inaudible d’un inconscient bousculé...
Elle ne voyait que les infimes détails de la vie, ceux-là même qui montrent leurs saillances à chaque fois que l’âme s’agite.