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Citations sur Les poisons de Katharz (45)

Azarel. Jusquin avait une relation compliquée avec ce gamin. Il faisait tout son possible pour le détester sans vraiment y arriver. Pourtant, le môme était roux, ce qui en soi méritait des baffes. (page 88)
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C'était typique des pauvres. On ne leur donnait aucune éducation, on les affamait pour les empêcher de réfléchir, et malgré ça, y en avait toujours qui trouvaient le moyen de se faire pousser un cerveau.
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Ô purpurea Digitalis,
Toi qui es rose comme mon entrecuisse,
Surtout quand de mon prince j'imagine le vit
J'ai tant hâte qu'il me marie.
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- Hastard Double-Hache, pour avoir exterminé seul et à coups de tranchoir une quinzaine d’assaillants dans l’avenue Brin Harsnik, pour avoir décapité le banquier Beuneupeu troisième du nom dans ses propres bureaux…
- Y voulait pas m’rendre mon or…
Ténia ignora la voix fluette.
- Enfin, pour avoir fendu le crâne de Chaina la Barbare à cinquante mètres de distance, je vous remets aujourd'hui le titre de Chevalier des Arts du Meurtre. J’y ajoute mes félicitations personnelles, puisque l’une de vos victimes est revenue témoigner post-mortem de l’efficacité létale de vos coups. « Une technique mûre, des armes qui assurent », ce sont ses mots.
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Il y eut un soir, et il y eut un matin. Le démon Sälbeth, qui estoit le dernier de sa race à cause de ce qu'il dormait pendant la Guerre Céleste, se leva et eut faim. Alors, il mit à feu et à sang la Terre d'Airain, dévorant sur son passage les humains, les troupeaux et les petits enfants. Et il vit que cela était bel et bon, surtout les moutons.

Sälbeth était grand et puissant. Dans son dos estoient sept cornes immenses. Son souffle estoit poison, son pas faisoit trembler la terre et son vol semait la mort au-dessous de lui. Aussi, nul n'osait se mesurer à lui.

Mais une femme se leva et dit : "en vérité je vous le dis, nous ne pouvons laisser Sälbeth poursuivre son oeuvre de destruction, car ça commence à bien suffire."
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- Les gens sont méchants.
- Y en a même qui m'appellent Totor !
- Non ?!
- Comme je vous le dit ! Pis alors, là, le coup de la fiancée même pas vierge, c'est le pompon ! Remarquez, moi j'avais rien contre, hein, qu'elle ait un peu d'expérience ! Parce que les vierges, au plumard, entre nous, c'est la barbe. Mais le peuple peut pas comprendre ça. C'est des cons, le peuple.
- Hum-hmm. Je peux vomir dans la corbeille de pétales de roses, là ? Ça ne vous dérange pas ?
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Craquez les, heu... les bonbons bleus avec un flocon blanc ! Il en puisa lui-même un dans sa cartouchière et le déchira. En un instant, les dalles qui étaient encore mouillées par l’ondée nocturne se couvrirent de glace. C’est sur cette magnifique patinoire que cent-cinquante chevaux firent leur entrée au galop. Une petite vingtaine s’écrabouilla avec violence et ridicule sur la masse invisible, qui en recula sous l’impact. Emportées par leur élan, les montures qui avaient passé la porte se vautrèrent dans les grandes largeurs. Les sabots patinaient, tâchant de garder l’équilibre coûte que coûte, avant d’échouer pour partir en tous sens, offrant le spectacle d’une souplesse douloureuse. Tandis que la cavalerie illustrait l’expression « se retrouver les quatre fers en l’air », Sinus vit le moyen d’aggraver encore leur posture.
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Le sorcier dégaina une sorte de papillote de son manteau. Je vous préviens, j'ai un bonbon, et je n'hésiterai pas à m'en servir !
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Frances Respublicae, qui avait acquis sa renommée sous le surnom d'Administrator, était une haute fonctionnaire de la cité légendaire Gallica. Son génie était reconnu par-delà toute la Terre d'Airain, en ce qu'elle était capable de compliquer les lois les plus simples jusqu'à les rendre absurdes.
Dans l'objectif de verrouiller les pulsions violentes de ses concitoyens, elle avait totalement figé la cité dans une sclérose administrative.
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Dame Carasse aimait qu'on la croie vieille pour des histoires de respectabilité, mais elle n'aimait pas quand c'était ses articulations qui le lui disaient. Or, le vol de retour en balai avait semé la rébellion parmi ces dernières. Elle avait mal partout.
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