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3,45

sur 206 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Mes dernières lectures ont été pour la majorité décevante. J'attends avec beaucoup d'impatience un livre qui sera capable de me donner des frissons. J'ai donc entre mes mains ce livre de Jean-Pierre Andrevon – auteur majeur de la Science-fiction française – et j'espère enfin retrouver ces plaisirs lointains. Avant de me lancer dans la lecture, je tiens à signaler que quelque soit les éditions, je trouve les illustrations magnifiques. J'ai celle de Pocket – signé Eikasia, à qui l'on doit également celle de Coldheart Canyon de Clive Barker (édition j'ai lu) –, une petite fille qui vous zieute avec un regard étrange, ça vous glace le sang.
Le ton est donné, reste à voir l'essentiel qu'est le contenu. le premier constat est affligeant : la narration se fait à la première personne. Nous suivons le récit raconté par un père de famille (dont le nom n'est pas mentionné, ou alors au début et je l'ai zappé). Une histoire somme toute banale. Alors qu'il rentre chez lui, il rencontre son voisin, seulement le pauvre bougre est décédé depuis des semaines. Nous suivrons donc la révolution des non-vivants et la régression des vivants.
Je sors assez mitigé de ce court roman. L'histoire est plaisante, le personnage principal plutôt sympa et l'écriture est belle sauf que… C'EST LENT. Les pages s'enchaînent pourtant avec facilité, mais pas d'action et ça, c'est due au style énervant de la narration à la première personne. le récit aurait pu être mieux exploité.
Beaucoup de chose m'ont choqué. Les événements qui se déroulent durant le livre m'a énormément fait pensé à ceux de la seconde guerre mondiale avec les déportation. D'ailleurs, l'auteur en fait explicitement la remarque. C'est dérangeant. Ensuite, durant la seconde partie du livre, l'auteur use des langages dit « de banlieu » et c'est énervant de buter sur des « sketbat » (pour basket) «caillerat » (pour racaille),…
Jean-Pierre Andrevon use des clichés sur les zombies, mais cela est assumé. Il manque alors l'humour et l'action (présent dans le très bon Zombies Fallaout), un comble pour un roman qui se veut sur les zombies. Toutefois le récit est sauvé par l'écriture de l'auteur, agréable sauf quelques bribes en seconde partie. J'ai bien aimé le personnage principal (et son travail – dans les pompes funèbres). le roman est honorable, mais pas LE roman que je recherche depuis longtemps.
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Soyons franc, sans être le livre de l'année, Un horizon de cendres reste ce qu'on pourrait appeler un classique, pas parce qu'il est recommandé par tous (du moins, je ne crois pas !) mais parce qu'il reprend véritablement le thème du zombie dans sa version classique, sans vouloir sauver ou renouveler le genre, mais attention, le bon côté du zombie, le côté Romero.
Même si Andrevon ne pousse pas la critique de la société aussi loin que le cinéaste, il aborde et/ou effleure certaines thématiques métaphysiques propres à rendre à ce genre horrifique ses lettres de noblesse.
Non, on ne se contente pas de courir et de buter dans le monde des zombies, on réfléchit aussi, on compare la situation actuelle et certains relents historiques, on étudie (plus ou moins) notre démarche propre et nos motivations...

Le héros d'Andrevon n'est pas un surhomme, pas un as de la gachette, pas un héros qui guidera les survivants... Non, lui, il subit, comme nous le ferions tous, cette apocalypse, avec comme seul mobile de survie que la recherche de sa femme et de sa fille, quête à laquelle personne, pas même lui, ne croit...

Pour faire simple, je dirais que ce petit roman n'a pas de grandes prétentions, mais il aura au moins le mérite de faire plaisir aux férus de zombies qui retrouveront là, à quelques détails près, leur thème de prédilection, tout en sachant que ce bouquin ne restera pas forcément comme un livre de chevet.
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Un horizon de cendres est un récit à la première personne. le narrateur raconte la fin de la civilisation telle qu'on la connaît : les morts sortent de terre, se reconstituent, "reviennent". C'est rapidement le chaos, la panique : cet homme qui a tout du citoyen lambda va rapidement se retrouver au coeur de la tourmente. Il vit à la campagne, avec sa femme et sa fille. Responsable d'un établissement de pompes funèbres, son travail ne lui apporte pas beaucoup de satisfaction mais fait vivre sa famille. On se rend vite compte qu'il fait ce job parce qu'il n'avait pas vraiment su choisir un chemin, alors il a finit par accepter la proposition de son beau-père et travailler pour lui. D'ailleurs, on réalise petit à petit que le narrateur , face aux événements, perd pied et se met à boire "un peu trop" et à "bousculer" sa femme et sa fille.
Qui finissent par le quitter bien entendu, pendant qu'il cuve sur le canapé. Pas le mauvais gars, mais pas Rambo non plus, ni James Bond, et on ne va pas le suivre dans un road movie sanglant et vengeur.
Un horizon de cendres sort du lot des bouquins "zombies" que j'ai pu lire jusqu'ici, parce qu'il propose une arrivée des morts vivants qui est originale, une raison à leur retour aussi (bien que cela reste des suppositions, la télé étant rapidement HS) et un héros comme vous et moi...C'est-à-dire qu'il fait ce qu'il peut pour ne pas devenir cinglé et pour ne pas crever. La fin m'a un peu déçue parce qu'elle était prévisible. Cependant, c'est un roman sympa malgré des personnages un peu caricaturaux et des situations attendues. J'ai apprécié les zombies différents des dévoreurs impitoyables que l'ion nous sert d'habitude.
Du même auteur, j'ai carrément adoré La fée et le géomètre et quelques autres m'attendent dans ma PAL. Un horizon de cendres m'a donné envie de continuer ma découverte de l'auteur, qui sait amener l'horreur dans le quotidien et en même temps nous faire sourire.
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Résumé

La famille Kemper vit dans une belle maison de campagne. le couple a une belle petite fille de sept ans et une adorable chienne labrador. Un soir en rentrant à pied du travail, l'homme croise un... clochard pense-t-il, à l'allure étrange, et à l'odeur plus étrange encore. Lorsqu'il reconnaît son voisin, décédé depuis plusieurs semaines, il s'enfuit...
Quelques jours plus tard, toutes les chaînes de télé ne parlent que du retour des morts parmi les vivants. Apparemment inoffensifs, ils errent de par le monde entier. Les autorités exigent des citoyens qu'ils respectent les « non-vivants ». Kemper, qui trouve la situation de plus en plus grotesque, voit le fossé se creuser entre sa femme et lui lorsqu'elle accueille à bras ouverts le retour de sa mère, décédée cinq ans plus tôt.
La situation dégénère définitivement lorsqu'on surprend une créature dévorer la cervelle d'un chat... vivant.


Mon avis

Voilà un bien étrange petit roman. La première partie m'a un peu agacée, les personnages n'étant pas très sympathiques : Emilie et Clémentine gobent tout ce que dit la télévision, ce qui énerve de plus en plus Kemper, la famille éclate, c'est attendu et sans grand intérêt. L'intrigue a du mal à décoller.
La seconde partie est cependant beaucoup plus originale. Enfermé dans un camp de survivants, Kemper participe à des raids pour éliminer les « non-vivants ». Au final, j'ai été bien accrochée par ce livre. C'est ma première lecture de Jean-Pierre Andrevon et j'ai trouvé son écriture particulièrement brillante et caustique. Ses sarcasmes sur les réactions du gouvernement face à ce genre de situation sont intelligents et perspicaces. le texte est émaillé de références politiques et culturelles toujours utilisées avec pertinence.
Pas de manichéisme : les « non-vivants » semblent souvent plus inoffensifs que les vivants, en tout cas bien moins cruels et destructeurs. Ils ne font que tuer pour survivre. En bref, un bon divertissement, qui offrent des pistes de réflexions vertigineuses. A découvrir.
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Bien mais... Un peu déçue... Un roman pas assez... zombiesque...



Je me faisais une réelle joie de découvrir un roman zombie en dehors du cadre de la littérature jeunesse. Parce que ça faisait longtemps, tout simplement. Toutes mes dernières lectures zombies étaient ciblées pour les ados, et même si j'aime bien aussi, j'avais envie d'un truc probablement plus sombre, plus glauque, plus horrifique (surtout en cette période d'Halloween), avec des persos plus mâtures.

Bon, je ne vais pas dire que ce roman n'a pas rempli ce rôle-là. C'était effectivement plus adulte. Par contre, il m'a manqué un peu de gore... Enfin, disons que sur toute la première partie, j'ai même peiné à dire qu'il s'agissait de zombies.

Ce roman est très court (242 pages), or, pendant toute la première partie, disons une grosse moitié, les zombies ne sont pas du tout effrayants. Alors certes, les morts se relèvent, et envahissent le monde, mais ils ne sont pas le moins du monde agressifs, ne cherchent pas à embêter les vivants. Ils sont juste là... Ils errent - et je passe sur le fait que personne n'en a l'air plus surpris que ça - juste comme ça...

J'avoue que jusqu'à 150 pages environ, je me suis demandé ce que je faisais là. J'ai bien aimé la plume de l'auteur pourtant, mais ça manquait de... mordant... On débute dans un monde parfaitement normal, avec un personnage principal (dont j'ai oublié le prénom) et sa petite famille, sa femme et sa fille. Et puis, il se produit quelque chose, et le héros rencontre un premier zombie. Il en est relativement surpris ( mais j'ai trouvé que ce n'était pas assez) puis rentre chez lui. En quelques jours, les morts se mettent à sortir de partout, toutes les chaînes de télé diffusent des images de ces cadavres qui déambulent tranquilou dans les rues. Mais encore une fois, personne ne s'affole. On ne sait même pas exactement ce qui se passe et ce qui est la cause de ce réveil brutal des défunts. Une théorie est plus ou moins avancée, comme quoi une explosion nucléaire aurait tout détraqué, mais on n'a aucune certitude (soit, ce ne serait pas la première histoire de zombie qui ne fournirait aucune explication sur le pourquoi du comment).
Et voilà, c'est à peu près tout, les zombies errent, les vivants les fracassent en se posant tout de même plus ou moins des questions d'éthique, un zombie passe, boum ! Un vivant lui explose la tronche avec ce qu'il a sous la main. Et c'est tout pour les premiers jours qui prennent donc la moitié du bouquin.

Heureusement, ça finit par bouger, un petit peu tard à mon avis à plus de la moitié sur un livre de 250 pages. L'invasion prend vraiment de l'ampleur, les zombies pululent et commencent à muter. Ils semblent se régénérer, et sont de moins en moins abimés, ils semblent même récupérer de l'intelligence au fur et à mesure des jours qui passent. Pire, ils se mettent à dévorer les gens. Là, ça commence à ressembler vraiment à une histoire de zombies.
Notre héros, qui a perdu sa femme et sa fille (elles l'ont quitté sans laisser d'adresse) se retrouve au milieu d'un groupe de survivant cloitré dans une caserne. Et la peur commence à sourdre dans l'ambiance générale. C'est mieux.

Je ne vous raconte pas tout, et surtout pas la fin (que j'ai bien aimée) mais voilà. J'aime toujours autant mes chers zombies, donc je ne peux pas dire que j'aie passé un mauvais moment pendant cette lecture, surtout qu'elle est plutôt courte, mais ça ne restera pas pour moi LE livre de zombies à lire absolument.

Sympa, mais sans plus quoi. Il m'a clairement manqué quelque chose dans ce roman. de la tension, de l'adrénaline. Je n'ai pas ressenti tout ça, et ne me suis pas franchement attachée au personnage principal.

Mais bon, c'était des zombies ! :D



Cali
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Méfiez-vous ! Ils sortent de partout ! Difficile pour eux de faire peau neuve (quoi que, quoi que…), mais depuis quelques années, ils sortent de terre pour envahir toutes les facettes de l'imaginaire : le cinéma, la littérature, les jeux vidéos, la BD. Ils ? Pas les vampires qui ne cessent d'avoir pignon sur rue depuis belle lurette, mais les zombies, vous savez, ces êtres repoussants à l'odeur putride qui dépeuplent les cimetières, et ne demandent rien de mieux que de vous prendre dans leurs bras avant de s'inviter pour un barbecue party où vous seriez, bien sûr, le plat principal.

Regardez, en peu de temps, il y a eu entre autres Land of the dead, Dance of the dead, Shawn of the dead (difficile de faire sans le mot dead, naturellement), Zombie la cavale des morts, World War Z accompagné de son extension, Guide de survie en territoire zombie, sans oublier une étude récente sur cette culture ne datant tout de même pas d'hier, Zombies, un livre à la couverture... poignante.

Un horizon de cendres s'inscrit dans cette mouvance et le résultat est plutôt réussi. N'ayant jamais été porté sur le phénomène des morts-vivants, je me suis demandé ce qui m'avait poussé vers cette lecture. La couverture de l'édition de poche dans un premier temps – du coup n'hésitez pas à répondre au petit sondage qui m'a été soufflé par cette constatation – et, naturellement, le résumé. Un résumé accrocheur, non dénué d'humour, comme si vous y étiez. Une tonalité que l'on se plaît à retrouver au début du livre. Oubliées les frayeurs enfantines occasionnées à la seule vision des affiches de cinéma d'un autre temps ! A travers le journal du héros de cette histoire, les zombies ne paraissent pas vraiment méchants. Au contraire, il sont même un brin lourdauds. D'accord, ils sont sales, ils ne sentent pas bon, mais on leur donnerait presque le bon dieu sans confession. Et s'ils deviennent un brin collants, il suffit de les réduire en miettes, à coups de hache ou tout autre ustensile tranchant à disposition. Pour les armes à feu, il faut prévoir la cartouchière, ils sont du genre coriaces. Mais ça ne mange pas de pain et, de toute manière, ils se reconstituent peu de temps après. Même ces braves gens de la télé ne s'y sont pas trompés, ils ont su profiter du filon – étonnant, non ? - en faisant revenir les défunts célèbres sur leurs plateaux. de la télé-réalité comme on n'osait pas l'espérer.

L'ambiance change du tout au tout lorsque ces chers morts-vivants, en plus de grossir leurs rangs (même le narrateur n'ose pas s'aventurer sur un calcul aussi vertigineux) entreprennent de muter en mangeant la cervelle d'animaux. Un début sur l'échelle de l'évolution du zombie... le décor devient alors apocalyptique. L'Horizon de cendres est là, bien là. de la grisaille plein la tête où le lecteur assiste, avec le personnage principal, à la vie en communauté de quelques hommes et femmes, bien déterminés à survivre.

Le narrateur ne se pose pas d'incessantes questions sur le pourquoi du comment d'une telle invasion. Il n'en a pas le temps. C'est là sans doute aussi, l'une des forces de ce roman où le lecteur se trouve, avec le héros, emporté par la spirale folle d'un monde en déliquescence. Un renouveau pas pire qu'un autre ? C'est en tout cas l'une des questions posée ouvertement par ce livre, signé comme un constat d'échec de l'humanité, incapable de vivre sans détruire. Une tendance chez certains auteurs actuels.
Lien : http://bibliomanu.blogspot.com
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Un livre pas mauvais.

Il est bon, grâce à l'écriture, surtout, qui permet de totalement suivre le narrateur, dans ses découvertes et l'horreur de la situation, de suivre l'évolution des choses.

Un style simple mais assez riche qui donne vraiment l'impression que quelqu'un à qui s'est arrivé nous raconte l'histoire.

Après, c'est assez descriptif : il n'y a pas de coup d'éclat ou de génie, les choses avancent de façon inéluctable et prévisible.

L'ensemble est donc plaisant à suivre mais sans véritable surprise ni originalité particulière.

Plaisant tout de même grâce, encore une fois, au style de l'auteur.
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Un horizon de cendres aborde les choses un peu différent des récits classiques post apocalyptiques de zombies (habituellement chaotiques et plein de violence). On découvre doucement comment le monde bascule (ou du moins la France) et d'un point de vue d'un homme pas spécialement courageux, juste Monsieur-tout-le-monde. En premier lieu, ces revenants sont loin d'être présentés comme terrifiants, simplement des cadavres qui se sont redressés et qui, à part pousser toujours le même son guttural, ne font pas grand-chose. Les choses se corsent graduellement jusqu'au moment où le besoin de cervelle fraiîche devient pressant.

Tout cela aurait pu me plaire si Jean-Pierre Andrevon s'était contenté de nous raconter les faits de son écritures fluide, en se bornant à l'intrigue zombiesque de départ (soit les différentes actions de survie face au fléau, mêlées aux réflexions sur la famille et nos liens avec les morts). La deuxième partie (ça commence aussi dans la première mais en beaucoup moins accentué) est un ramassis de clichés.............
Lien : http://stephanieplaisirdelir..
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Les morts sortent de leurs tombes ! Voilà encore une nouvelle histoire de zombies... Mais pas n'importe quels zombies ! Ceux-ci renaissent en fumée, se recomposent au fil des heures, et évoluent au fil des jours pour devenir de vrais suceurs de cerveau. Et comble de l'horreur : on ne peut les éliminer ! Ils se recomposent en quelques heures même s'ils ont été réduits en cendres !

Le héros de l'histoire est assez attachant, on peut voir son évolution tout au long du roman. Il passe de son travail de directeur de crématorium à une tentative de décapitation de zombie pour finir retranché dans un camp de survie où il pratique des raids inutiles pour tenter de se défendre contre ces non-vivants de plus en plus nombreux. Car tous les morts de la planète sont revenus ! Des milliards de morts qui ont attendu parfois des milliers d'années sous terre.

Un survival qui pourrait être comparé à un film de série B... Malgré une idée plutôt bonne à la base, les clichés liés aux zombies sont trop nombreux pour que cette histoire reste dans la mémoire comme étant un vrai bon roman.

De plus, les nombreuses fautes d'orthographe enlèvent une certaine crédibilité à l'auteur... étant francophone, on peut supposer qu'il a mal (ou pas du tout) relu son roman...
Lien : http://evasion-litteraire.bl..
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Récit Bref, et narration qui s'oriente vite vers un roman zombie plus classique. Les touches d'humour sous la plume d'Andrevon sont un délice. Zombies un horizon de cendres n'est certes pas le grand roman de cet auteur, mais une sorte de récréation assez sympathique.
Lien : http://www.valunivers.fr/blo..
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