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Critique de lirado
Frank Andriat propose avec Voleur de vies un récit sympathique et agréable qui se lit facilement.
L'histoire, plaisante, est racontée sur un ton humoristique et léger. Elle met en scène un jeune personnage franc et attachant surnommé Lézard de sa propre initiative. Pourquoi ? parce qu'il adore ces petites bestioles qui filent comme des fusées et qui, d'une certaine manière, lui ressemble.
Il fera la rencontre de Méduse, une fille spéciale qui l'attirera jusque chez un écrivain, André Ducasnel, clé du roman...
Lézard, c'est certes un voleur de portefeuilles, mais il attire tout de même la sympathie du lecteur. Sa passion pour les cartes d'identité est originale et amusante. Avec Voleur de vies, on plongera un bref instant dans l'univers de ces brigands des rues que Frank Andriat s'attache, par les yeux de Lézard, à décrire au début du roman avec réalisme.
Réalisme, c'est le parfait qualificatif de Voleur de vies, même si la fin révélera une curieuse et déroutante situation qui laissera le lecteur perplexe.
L'histoire, plaisante, est racontée sur un ton humoristique et léger. Elle met en scène un jeune personnage franc et attachant surnommé Lézard de sa propre initiative. Pourquoi ? parce qu'il adore ces petites bestioles qui filent comme des fusées et qui, d'une certaine manière, lui ressemble.
Il fera la rencontre de Méduse, une fille spéciale qui l'attirera jusque chez un écrivain, André Ducasnel, clé du roman...
Lézard, c'est certes un voleur de portefeuilles, mais il attire tout de même la sympathie du lecteur. Sa passion pour les cartes d'identité est originale et amusante. Avec Voleur de vies, on plongera un bref instant dans l'univers de ces brigands des rues que Frank Andriat s'attache, par les yeux de Lézard, à décrire au début du roman avec réalisme.
Réalisme, c'est le parfait qualificatif de Voleur de vies, même si la fin révélera une curieuse et déroutante situation qui laissera le lecteur perplexe.
