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Critique de Fifibrinda
Au crépuscule, une jeune fille et son père s'embarquent pour une nuit de navigation dans la baie de Tunis. le père initie la fille à la navigation, mais cette nuit sera aussi l'occasion d'une rencontre extraordinaire : des dauphins viennent joueur autour de la petite embarcation.
La narration à l'imparfait, l'usage de termes techniques de navigation, les lettrines enjolivées de petits motifs marins … tout cela pourrait donner une impression désuète et décourager le jeune lecteur. Et pourtant, on se laisse prendre à la musique évocatrice du texte, on est sensible à la magie de la nuit, à l'appel du large qui émanent des illustrations …
Les gravures sur bois de May Angeli, leurs couleurs douces et lumineuses font de cet album un très joli livre d'art où la poésie des illustrations épouse la fluidité d'un récit tout simple.
La narration à l'imparfait, l'usage de termes techniques de navigation, les lettrines enjolivées de petits motifs marins … tout cela pourrait donner une impression désuète et décourager le jeune lecteur. Et pourtant, on se laisse prendre à la musique évocatrice du texte, on est sensible à la magie de la nuit, à l'appel du large qui émanent des illustrations …
Les gravures sur bois de May Angeli, leurs couleurs douces et lumineuses font de cet album un très joli livre d'art où la poésie des illustrations épouse la fluidité d'un récit tout simple.
