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sur 937 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un amour impossible est l'histoire d'amour de Rachel pour Pierre, la secrétaire d'origine modeste et le traducteur nommé à la base Américaine de la Martinerie, Pierre, un pur intellectuel de culture bourgeoise, l'homme de passage et la jeune fille de la petite ville qui n'a pas fait d'études....
Lui, le fils de famille refuse de l'épouser mais ils font un enfant....
L'amour maternel devient alors pour Rachel et Christine le socle d'une vie heureuse. Pierre voit très peu sa fille, des années plus tard, Rachel apprend qu'il la viole,le choc est immense. Un sentiment de culpabilité s'immisce petit à petit entre la mére et la fille. Christine repousse sa mére aprés l'avoir adulée pendant son enfance.....
Christine Angot met en scène une relation très complexe entre amour inconditionnel pour une mére et ressentiment.
Elle dépeint avec sincérité, vérité, authenticité, sur le fil du rasoir, émotion et simplicité une histoire simple, forte et poignante, un grand- pére absent, une grand- mére adorée, un père eloigné manipulateur et pervers, une mére humiliée et méprisée...
Un amour impossible aborde le sujet crucial des " différences de classe", Rachel, courageuse mais déclassée, intelligente et belle, désire follement Pierre, lui aussi,mais avec une distance perverse. Il est lâche, brillant, anticonformiste, ne lui passe aucune faute de syntaxe, refuse de l'épouser car elle nuirait à sa liberté et n'appartient pas à son milieu. Rachel accepte tout et vit pour d'éphémères rencontres.Qu'est donc qu'aimer? Qu'est que cette fureur?Cette humiliation, cette horreur , ce mépris?
Le mépris de Pierre passera forcément par le viol de la fille aprés l'humiliation de la mére . Un amour impossible est un livre implacable même si l'on sent un apaisement dans les dernières pages du texte qui s'achève sur les mots"ici et maintenant" comme sur un nouveau départ possible....
Avec obstination, méticulosité l'auteur fouille sa mémoire et celle de sa mére, leurs silences, leurs douleurs, leurs inconsciences, leurs prémonitions. Petit à petit , ce chapelet de non- dits et de non amour, de mépris,devient nôtre.......Christine Angot traque le mot exact, aiguise sa phrase, égratigne et laboure nos profondeurs intimes....
Tous les amours sont impossibles, tous les amours font souffrir, certains amours réchappent mystérieusement et surtout l'auteur rend vivante, lumineuse , vraie,la relation mére- fille qui domine et rayonne même si le portrait est sans complaisance.....
Je suis " peut - être " réconciliée avec Christine Angot.......
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Entre Rachel et Pierre l'amour est fulgurant, passionné. Elle vient d'un milieu populaire, campagnard tandis que lui est originaire d'un milieu bourgeois, intellectuel. Malgré leur différence sociale et les difficultés qu'ils rencontrent, ils ne cessent de se retrouver et d'être attirés l'un par l'autre, jusqu'à la naissance de Christine que Pierre refuse de reconnaître comme sa fille. Dès lors, les relations entre les deux amants se font plus espacées. Pierre refait sa vie, se marie, a de nouveaux enfants, tandis que Rachel élève seule sa fille, l'entourant de tout l'amour possible.

Aveuglée par les sentiments qu'elle ressent encore pour Pierre, elle le laisse revenir de manière épisodique dans sa vie et s'immiscer dans celle de Christine… A l'adolescence, les relations mère-fille se distendent, se font plus heurtées, plus douloureuses, jusqu'à ce que Rachel apprenne enfin ce qui se passe derrière son dos depuis des années entre Pierre et Christine…


Ayant entendu parler de son roman « L'inceste », je connaissais l'histoire familiale de Christine Angot, mais j'ai véritablement découvert l'écrivain il y a deux ans, avec « Une semaine de vacances », récit autobiographique dans lequel elle raconte une semaine passée avec son père durant laquelle il abuse d'elle alors qu'elle n'est encore qu'une adolescente. L'histoire était crue, emprunte de voyeurisme et donc terriblement dérangeante et m'avait laissé un arrière-goût pour le moins amer… J'ai donc ouvert « Un amour impossible » avec beaucoup de réserves craignant à nouveau d'être livrée à certaines scènes à la limite du soutenable. Heureusement, il n'en fût rien cette fois !

L'auteur s'intéresse à présent à la relation étrange entre ses parents, relation faite d'admiration, de rejets et d'humiliations mais dont l'emprise était si forte qu'il faudra des années à sa mère pour s'en détacher complètement. Elle revient ensuite sur sa jeunesse heureuse avec une mère aimante, généreuse et forte qui a eu le courage de s'affranchir du qu'en-dira-t-on pour élever seule sa fille et qui s'est battue pour la faire reconnaître. Malgré la rancoeur et les reproches face à l'aveuglement, certains passages sont bouleversants d'amour et de tendresse entre les deux femmes. Christine Angot continue de faire sa thérapie par l'écriture, procédé auquel je n'adhère pas, mais parvient cette fois à émouvoir et à toucher… Un récit largement plus intéressant à mes yeux que son précédent !
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En lisant la quatrième de couverture, je m'attendais au témoignage de l'auteur face au viol et à l'inceste qu'elle a subi par son père.
En fait, ce livre est surtout l'évolution des sentiments entre l'auteur et sa mère, de l'enfance à l'âge adulte.
J'avoue ne pas avoir trop aimé le style d'écriture de l'auteur. Des phrases hachées, souvent répétées. Quant au fond de l'histoire, je ne vois pas trop ce que Christine Angot veut nous communiquer.
Qu'il y ait viol/inceste ou pas, les relations parents-enfants sont souvent conflictuellles ou compliquées, chaque enfant devenu adulte évolue différemment dans la relation familiale suivant les évènements, les contextes, les périodes. Les analyses peuvent aussi être variées.
J'ai donc lu ce livre. Et je pense que je l'oublierai très très vite.
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Plus jamais je ne regarderai un film et lirai le livre après ! Non, plus jamais, surtout si j'ai adoré le film « Un amour impossible », avec Virginie Efira.

L'adaptation cinématographique est exactement conforme à l'histoire, celle de l'auteure, fruit d'un amour impossible. Sa mère, de milieu social modeste, a connu une histoire d'amour passionnée avec un universitaire issu d'une famille très aisée. Mais cet homme manipule la jeune femme en lui disant qu'il est franc, il lui dit tout de suite que le mariage, ce n'est pas pour lui. Et malgré tout, il lui demande un enfant…dont il ne s'occupera jamais. Sauf pour lui faire la pire chose qui existe quand elle sera adolescente.

J'ai adoré le film, plein de vie et de fraicheur, j'ai aimé très moyennement le livre, dont j'ai trouvé l'écriture très plate.
J'ai vu sur Babelio que ce livre avait réconcilié beaucoup de lecteurs avec cette auteure, mais moi, je ne pense pas la lire à nouveau.

« C'est l'histoire d'un amour…♫ » candide et pourri, passionné et pervers.
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Rachel et Pierre sont issus de deux mondes totalement opposés de sorte que Pierre refuse de l'épouser. de cet amour naît Christine. Pierre voit rarement sa fille et Christine et sa mère ont une relation très fusionnelle. Puis Rachel apprend brutalement que Pierre viole leur fille. La relation mère /fille va éclater...
Dans ce livre, C.ANGOT décrit la rencontre de ses parents, son enfance, les répercussions à l'âge adulte de cet inceste et la difficile relation mère fille. La première partie permet de comprendre la situation particulière de cette famille et est à mon goût un peu longue. On se lasse un peu. Puis la partie la plus intéressante pour ma part est celle où les deux femmes se retrouvent quand Christine est adulte. Après une période de révolte contre sa mère, les deux femmes vont pouvoir parler de ce passé difficile et comprendre la position de chacune.
Un témoignage où l'auteur exhorte les stigmates d'un passé lourd qui s'inscrit comme une thérapie libératrice de la parole.
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le titre de cette autobiographie « Un amour impossible » laisse penser, au départ, qu'il s'agit d'un amour impossible entre Rachel, une employée de la sécurité sociale, d'origine juive ; et Pierre, un érudit issu d'une famille bourgeoise. Puis, l'amour impossible semble être, par la suite, celui entre Christine Angot et son père, Pierre, éternellement absent. Pour finalement, se demander si l'amour impossible n'est-il pas celui entre Christine Angot et sa mère qui a laissé faire l'insoutenable ?

Comme une sorte de réconciliation avec son passé, sa mère et ses secrets les plus noirs, Christine Angot nous livre un récit autobiographique poignant de sa jeunesse, et de la rencontre de ses parents.
En effet, ces derniers, Pierre et Rachel, vivent une intense liaison à la fin des années 1950. de celle-ci, naît Christine Angot, mais pour autant, son père est très clair, il ne souhaite pas épouser sa mère et reconnaitre sa fille. La relation entre Christine et son père est inexistante jusqu'à ce que, contraint, il finisse par la reconnaitre juridiquement. Ces derniers se rencontrent alors un peu plus fréquemment. Mais alors que sa mère est persuadée d'avoir perdu la confiance, la relation qu'elle entretenait avec sa fille ; elle ne se doute pas une seule seconde du mal qui hante Christine.

Des années plus tard, Rachel apprend le secret de Christine. le secret est dévoilé de manière brutale mais ne met pas le lecteur mal à l'aise. En réalité, le sujet est plutôt bien traité, et il est très aisé de comprendre la colère de Christine, ainsi que ses faiblesses.

Il est question d'aborder la colère de Christine Angot, face à sa mère, qu'elle a tant aimée et qu'elle a considérée comme passive face à cet évènement. Leur relation devient conflictuelle. Une analyse des plus justes est confiée par Christine sur les intentions de son père.

Ce roman est une oeuvre expiatoire, libératrice pour son auteur, qui nous permet de connaitre enfin Christine Angot. Malgré ce sujet intolérable, il est facile de lui reconnaitre une facilité d'écriture et de style qui permet de rendre la lecture plaisante. Les dialogues et les correspondances s'insèrent naturellement dans le récit et rendre celui-ci encore plus réaliste et vraisemblable. C'est un sujet noir baigné par une écriture lumineuse.

Lien : http://littecritiques.blogsp..
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Un amour impossible, par Christine Angot. Sincérité, pudeur, intelligence, émotion retenue irriguent ce roman. Roman qui est plutôt le masque d'un récit autobiographique. Roman qui est pour moi une surprise.
Les termes employés ci-dessus ne sont pas ceux qui auréolent habituellement l'auteure ou la communicante qu'on entend à la radio ou qu'on voit à la télé. Ils surprennent ceux qui ne retiennent de Christine Angot que ces prestations. Ils me déconcertent, moi qui énonce ces qualificatifs, mais dois avouer n'avoir lu que cet ouvrage de l'écrivaine, laquelle ne m'a jamais véritablement intéressé.
Mais, commentons ! La mère de Christine, Rachel, était une très belle femme, issue d'un milieu très modeste, avec un père juif, très peu présent et très arrogant. À la fin des années cinquante, elle rencontre Pierre, venu, lui, de la bourgeoisie, lettré et imbu de sa culture, ainsi que de sa supériorité sociale. Leur amour est passionnel et ils font un enfant, Christine. Mais Pierre avait posé ses conditions : pas de mariage, pas de présentation à sa famille, pas de reconnaissance de sa fille. Celle-ci sera le produit d'un amour fou et pur… Très pris par ses occupations professionnelles, puis par la famille qu'il fonde avec une autre femme, il ne voit Rachel et Christine que très épisodiquement. Elles restent des mois ou des années sans nouvelles, dépendantes de son bon vouloir et de ses conditions. Il finira tout de même par reconnaître sa fille, mais lui fera payer cher cet acte, en lui faisant subir des viols répétés durant son adolescence. Raccourci outrancier de ma part ? Peut-être pas, car finalement cet homme est bien ce qu'il semble être : un grand manipulateur, un pervers narcissique que la mauvaise foi n'étouffe pas. Pourtant la mère sera longtemps aveuglée par son amour, et Christine le reverra jusque tard.
Ce livre interroge sur l'amour fou et sur l'emprise que les sentiments et les vides comblés exercent sur les personnes, sur Rachel bien sûr, mais aussi sur Christine. Besoin d'amour, besoin de père, justifications laborieuses, autojustifications fallacieuses, accusations commodes, dédouanement, dévalorisation de soi-même, questionnements multiples et au long cours sur ce qu'on devient après un traumatisme grave, voilà en vrac l'oeuvre des pervers narcissiques manipulateurs au sein de leurs victimes. Et c'est ce qu'on trouve dans ce récit.
Mais n'oublions pas qu'”Un amour impossible” concerne d'abord la relation entre l'auteure et sa mère, une relation fusionnelle qui connaît la révolte, le ressentiment puis le dénigrement, le détachement, la réconciliation. le dénigrement se produit quand Christine voit régulièrement son père le week-end, et joue son jeu alors que lui semble totalement ignorer Rachel. Si sa fille semble souffrir en revenant de chez son père, Rachel pense qu'elle-même est en cause et que sa fille la rejette, elle, que tous ont rejetée un jour ou l'autre.
À la fin du roman, se fondant sur du social, délaissant le psychologique, Christine fera une interprétation magistrale de ces agressions, qu'en réalité Pierre infligeait à Rachel au travers de sa fille, en lui signifiant en permanence son infériorité sociale.
Avec un bon sens de la construction et de la progression dramatique, ce livre, bien écrit, est certainement un objet subtil au sein d'une oeuvre plus à vif. Même si l'on n'a pas lu cet auteur, on perçoit un angle de vue nouveau de ce que fut la jeunesse brisée de Christine Angot. Laquelle pourrait désormais exercer son talent autrement, sortir de l'autobiographie.
[http:/www.lireecrireediter.over-blog.com]
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Impression mitigée.
Un recit cathartique de l'auteure sur sa relation avec sa mère, fusionnelle à l'enfance puis perturbée par l'irruption à l'adolescence du père défaillant et incestueux, l'éloignement à l'âge adulte, les reproches sur son acceptation du mépris de cet homme et enfin la réconciliation et la complicité avec elle à la maturité et l'apaisement acquis par l'écriture.
Une écriture soignée mais la narration de cette intimité, sans pudeur et avec un certain détachement est (volontairement ?) dérangeante par son déficit émotionnel.
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Second roman lu de Madame Angot. J'ai beaucoup aimé ce roman. Cette femme qui accepte tout de l'homme qu'elle aime sans contrepartie aucune. Un statut de maîtresse cachée alors qu'il n'est pas marié mais il est riche, et de mésalliance il n'en veut pas. Mais on ne le saisit qu'au fur et à mesure car au début je pensais qu'il voulait uniquement être libre, être égoïstement libre. Mais il va se marier et l'on comprend alors que Rachel n'était pas assez « bien » pour lui. Socialement il la méprise. Socialement bien sur mais ne peut-on également y voir le mépris de l'homme envers un inférieur, la femme.
De cet amour, une fille va naître et cette même fille sera violée par son père pendant son « droit de garde ». En vieillissant elle tente d'expliquer cette horreur, démontrant à sa mère que, par ce biais, elle n'existait pas pour lui. Les dernières pages m'ont beaucoup moins intéressé, j'aurais préféré plus de détails dans sa relation-réparation avec sa mère.
C'est un amour fusionnel qu'elle vit avec sa mère tout au long de sa vie. C'est très beau cet amour. le style de l'auteur avec ses phrases courtes est très percutant mais je ne me suis à aucun moment identifiée aux personnages comme si j'avais un appareil photo. J'ai vécu cela « de loin ». Je n'ai pas ressenti d'émotion pour les personnages sauf pour Rachel peut-être. Je suis restait dans l'intellect et pas dans l'affect. J'ai écouté Mme Angot à la grande librairie, j'ai bien aimé. Avant la page 156, j'ai lu la quatrième de couverture et cela a gâché ma lecture. Je ne connaissais pas la bio de Christine Angot (et oui il y en a encore..).
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Abandon
Nous somme à la fin des années cinquante en France. Christine est née d'une liaison amoureuse passionnée fougueuse courte, entre Pierre et Rachel. Pierre veut bien « faire » un enfant avec Rachel mais il ne la veut pas dans son monde il ne veut pas la mélanger à sa famille. Il ne veut pas se marier avec Rachel. Il fuit ses responsabilités avant même la naissance de Christine. Il abandonne Christine et sa mère. Parce qu'elle, Rachel la mère de Christine, était juive et sans le sous, il les a rejeté toutes les deux, la mère et la fille. Lui et sa famille n'appartenaient pas « au même monde ». Elles ont mis toutes leurs vies à exorciser ce rejet, cette douleur. Rachel fait tout pour que juridiquement, Pierre reconnaisse sa fille Christine. Mais lui n'accepte qu'à moitié. L'extrême humiliation viendra de ce qu'il pourra leur faire subir par la suite. Pour exprimer une fois encore son rejet il ose exercer le tabou ultime, l'inceste. Il fait tout pour faire mal et si cela se trouve il ne se rend pas compte que ce n'est pas des choses à faire. Il se croit supérieur aux autres, donc il se permet de profiter de l'adolescence et de la pureté de sa propre fille. Il veut l'humilier. A la fin de sa vie à lui, elles ne le regrettent pas, sa mort ne leur fait rien, ce n'était pas quelqu'un de bien.
Un amour impossible permet à Christine Angot de donner sens et d'expliquer sa version sincère du pourquoi de l'inceste et des conséquences, du pourquoi il a agît comme ça. Je pense que c'est une façon pour elle de guérir. Après tout cela, je pense, mais je me trompe peut-être, qu'il doit être difficile d'avoir une vie disons « normale » du point de vue affectif et sexuel. Parce que nous sommes un tout et que l'un ne peut aller sans l'autre. le regard, que les femmes ayant vécu ce genre de choses avec des hommes, peuvent avoir sur les hommes et leur comportement est définitivement mêlé de perversité, cela influence leur affect. Christine Angot est courageuse de nous livrer cela, c'est sa façon de conjurer le sort que d'écrire. Cette histoire n'est pas une histoire pour ne rien dire. C'est une histoire pour clamer et à la fois réclamer la vérité. J'ai lu d'une traite parce que je ne comprenais pas pourquoi il avait envie de se sentir supérieur à quelqu'un que l'on aime et avec qui l'on veut un enfant. J'ai physiquement ressenti de la tristesse.
Christine Angot montre toute la tendresse qui existe entre une mère et sa fille elle explique très bien et fait parler sa mère d'amour. Elle parle de l'amour qui existe entre les enfants et leurs parents. Elle montre la différence entre l'amour dans un couple et celui qui nous lie à nos enfants. Elle parle aussi de ce besoin que nous avons de nous faire aimer et d'aimer l'un ou l'autre sexe.
Merci Christine de nous faire partager ton histoire, je n'avais jamais lu d'histoire de cette sorte. Je conseil cette lecture parce qu'elle parle à la fois du pire et du meilleur.
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